La société Anglogold Exploration Senegal est une filiale du groupe minier sud-africain Anglogold Ashanti cité dans les « Panama papers ». Mais, relève Libération dans son édition de ce mardi, contrairement aux apparences elle n’a aucune activité légale au Sénégal. « Une démarche pour le moins suspecte », note le journal. Qui laisse entendre que la référence sénégalaise n’est qu’un moyen de maquiller une évasion fiscale massive.
Anglogold Exploration Senegal a été montée au Luxembourg auprès d’un intermédiaire du cabinet Mossack Fonseca, Prime Corporate Solutions Sarl. Elle est domiciliée à l’adresse panaméenne de Mossack Fonseca et soumise à la juridiction des îles vierges britanniques. « Un montage complexe qui témoigne de tous les micmacs utilisés par les dirigeants de la compagnie », avance Libération. Qui estime que les autorités sénégalaises devraient ouvrir « des enquêtes poussées » pour y voir clair.
3 Commentaires
Lex
En Juin, 2016 (08:15 AM)Northman
En Juin, 2016 (08:58 AM)Yabon Banana
En Juin, 2016 (09:39 AM)"Se faire entuber générations après générations c'est franchement BON et PROFOND et CONSTANT .........."
Pas de surprise: les premiers à vendre des esclaves noirs étaient des "frères" avec le même taux de mélanine...
Maintenant une belle enveloppe et hop je l'enfonce bien profond dans la plèbe sud saharienne...
Je monte des pt'in de monuments , je construits des piscines-sécurité, je tripatouille la constitution.....Africa Bamboula, Africa Bamboula (Ali Boumo yé)
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