[ Contribution ] LES LOBBIES MACONNIQUES ET HOMOSEXUELLES : Une grosse plaie sociale

« Ou soubillaahi Mina Saytani Rajiim ». Il est conseillé de prononcer ce verset coranique avant d’entrer dans les détails de certains satanismes tels que l’homosexualité ou d’autres formes de pratiques pour le moins fantaisistes. Plusieurs de ces phénomènes sont en général rejetés par les sociétés africaines. Rappelons que l’homme, la parole, la religion, et la philosophie sont d’origine africaine. Le métissage culturel est un fait humain, mais dans plusieurs cas, le mieux  est de rester naturel. L’Africain vit ses croyances et sa culture qui couvrent le principal de son quotidien.  Malgré la pauvreté, la franc-maçonnerie, comme  d’autres organisations, n’est pas bien vue dans nos pays d’Afrique. Le peu d’adhérents dont ces loges ou organisations regorgent, sont généralement issus de l’intelligentsia venue des grandes écoles de la France ou de l’Occident. Ces personnes reconnaissent la cause de leur intégration : le manque de moyens financier pour soutenir leur les études à !
 l’époque. La majeur partie de ces hommes ont abandonné ces disciplines, pour un retour à la culture mère.
              La franc-maçonnerie est une forme d'organisation associative, qui recrute ses membres par cooptation et pratique des rituels initiatiques faisant référence à un secret maçonnique et à l'art de bâtir. Elle réunit, dans de nombreux pays répartis sur toute la surface du globe, des personnes qui se sont donné pour but de travailler à leur amélioration spirituelle et morale. Elle s'est structurée au fil des siècles autour d'un grand nombre de rites et de traditions, ce qui a entraîné la création d'une multitude d'obédiences qui ne se reconnaissent pas toutes entre elles. Elle a toujours fait l'objet de nombreuses critiques et oppositions, aux motifs très variables selon les époques et les pays.
           L’Homosexualité est une maladie psychique héritée du colonisateur français. Le peuple n’a jamais embrassé cette fantaisie, qu’il qualifie comme une absence de conscience.  L’homosexualité est une mode de vie, contraire à nos valeurs et a notre façon de faire. Les Hommes ou Femme qui intègrent ces formations, sont en général très intelligentes, mais sont victimes de  l’obsession au  plaisir charnel ou au besoin matériel.
            Les valeurs issues des traditions séculaires au Sénégal sont assises sur un fondement de principes : historique, philosophique, culturel et éducatif. Un peuple solidaire et exemplaire dans sa façon de vie.
Ce qui est surtout impressionnant, la tradition incarne des concepts humanitaires appréciés et appréciables par toute doctrine morale: « teranga, maslah,  sutura, tegiine ». Ces concepts  nous permettent à vivre ensemble. Le « Maslah » vertu est importante dans la vie sociale en nourrissant la communication mais devient une faiblesse si on en abuse parce qu’il nous dévie à tout moment de la vérité des choses.
La culture sénégalaise refuse l’impureté. Les Homosexuels s’organisent intelligemment en «Mbotaii ».  (Club)   pour soutenir leurs causes, dans l’anonymat.  Ces « goor jiigeens »,  en général, sont originaires de grandes familles et proviennent de toutes les couches sociales du pays : citoyens locaux,  fils de riches, marabouts ou président. Ils occupent de lourdes responsabilités dans l’état ou la société civile.  Malgré ce que le coran ou la bible nous enseigne « le Maslah » nous conduit à la déroute en permettant  l’accès des homosexuels partout ou ils désirent: dans les mosquées, églises, chez les marabouts ou Prêtres, mais seulement « Cii sutura ak aii tegiines ».
Le Sénégal vie une situation triste, que personne n’attendait au lendemain du retour de Serigne Touba en plein océan.  Le pays consomme une défaite sociale, spirituelle et économique provoquée par des dirigeants en absence de conscience.  La communication est morte entre les élus et le peuple. Le gouvernement signe des projets de lois sans tenir compte à la raison culturelle du peuple, mais de l’opinion internationale.
          Serigne Moussa Kâ nous a plusieurs fois interpelés, mais malheureusement nos  intellectuels, politiciens et responsables ne portent aucune attention aux écrits de nos poètes et philosophes.

Moussa Ka écrit : (Jassau sakkur).
                              « Bun demmee Tuuba nurook wa Tuuba.
                                Bun genne Tuuba melnii aii koba.
                                Wa yee seegne Tuuba mene suko nax ».
Quand ils rentrent à la ville sainte, ils ressemblent à la population de touba.
Quand ils quittent la ville sainte de touba, ils redeviennent des hypocrites.
Mais personne sur terre ne peut tromper Serigne Touba.
Le coran nous enseigne : At. tawba, S 9 / V 56 : Et ils (les hypocrites) jurent par Allah qu'ils sont vraiment des vôtres; alors qu'ils ne le sont pas.
Nous sommes nés pour vivre ensemble, mais dans une vie organisationnelle et méthodique. Les lois aménagent notre culture de vie et orientent notre société vers la légalité et la transparence. C’est un devoir naturel pour l’homme d’assister son frère, mais surtout d’éveiller la conscience des aux autres.
Proverbe Wolof: « Loo yeenewul sa doom, mba saaw xeet bu ko meeb cii askanu jambur ».   Ce que tu ne veux pas pour ton fils, ne le souhaite à celui d’un autre.
Ce qu’on ne souhaite pas à ses enfants, exemple la drogue ou l’homosexualité, n’encourage pas l’enfant d’autrui à s’adonner à ces pratiques.

Malheureusement, le Sénégal est victime de l’opinion internationale et de la pauvreté. Le ministre de la juste Madicke Niang,  bien que musulman  et mouride, vient de signer une loi contraire à la tradition sénégalaise : L’intégration obligatoire des Homosexuels dans notre système de vie. Les Européens nous prennent pour leurs sujets, autant ils se moquent de nos valeurs, autant ils nous se servent de nos ressources naturelles. L’Europe nous refuse la polygamie, le foulard à l école, et nous admettons en retour que leurs homosexuels viennent passer des weekends de noces ou lune de miel dans nos hôtels et places publiques.