La Chambre officielle de commerce d’Espagne au Sénégal ( CAMACOES) a organisé, ce 28 mai à Dakar, la deuxième édition du programme "Tierra Firme". Initiative qui s’inscrit dans la dynamique de lutte contre le chômage des jeunes et surtout une alternative à l’émigration irrégulière. Au Théâtre national Daniel Sorano, ont été distingués plus de 200 bénéficiaires de ce programme de formation et d’insertion professionnelle, financé par la Direction générale des Relations avec l’Afrique du gouvernement des Îles Canaries.
A cette cérémonie de remise de diplômes, ont été présents les différents partenaires du gouvernement espagnol notamment l’ambassadrice d’Espagne au Sénégal, Maria Dolores Ríos Peset, le directeur général des relations avec l'Afrique, Luis Padilla, les représentants d’institutions espagnoles basées au Sénégal, le directeur de l'Office national de Formation professionnelle (ONFP), Mamadou Lamine Bara Lo, entre autres participants.
Les Îles Canaries, porte d’entrée vers l’Europe, sont témoins de milliers de tragédies familiales causées par l’émigration irrégulière. À la recherche d’une avenir meilleur, des centaines de milliers de migrants sénégalais et d’autres nationalités bravent l’Atlantique qui noie plusieurs rêves. Pour remédier à ce fléau, le gouvernement des Îles Canaries, avec la collaboration de la CAMACOES ainsi que d’autres partenaires, ont mis en place le programme "Tierra Firme" (terre ferme). Ce, dans l’optique d’offrir à de jeunes Sénégalais des opportunités concrètes de formation professionnelle et d’insertion dans des secteurs clés tels que l’hôtellerie, la construction, les énergies renouvelables, l’agriculture et le textile.
Après, une formation théorique et un stage pratique en entreprise, plus de 200 jeunes sénégalais ont reçu, pour cette deuxième édition du programme "Tierra Firme", leurs diplômes qui leur faciliteront leur insertion professionnelle. Comme lors de la phase pilote évaluée en 2024, ces jeunes ont été formés dans les centres professionnels au Sénégal avec l’appui des institutions des Canaries quant au renforcement de ces formations. Avec des filières qui répondent aux besoins des entreprises sénégalaises et espagnoles installées au Sénégal.
L’ancien président de la CAMACOES, Raphaël Rodriguez, de rappeler, malgré tout, que la migration (légale) peut avoir un impact positif sur l’économie d’un pays. D’ailleurs, « le gouvernement espagnol vient de mettre en place un programme de régularisation de presque 700.000 migrants qui sont arrivés en Espagne dans les dernières années et qui sont absolument essentiels pour soutenir le développement économique de notre pays », fait il savoir.
typiquement senegalais incapable de se debrouiller seul , et les problemes sont toujours de la faute de quelqu'un d'autre.
Répondre à jo
Xeme il y a 3 mois
Logiquement pour rester dans sa ligne le sinistre Madiambal Diagne doit s'y opposer. C'était pourtant le même programme espagnol sous Wade quand Madiamb1l s'y opposait jusqu'à titrer dans son Quotidien:
"Mieux vaut une fin atroce qu'une atrocité sans fin ".
Pour les sénégalais que la presse a réussi à empêcher de comprendre, sachez que la participation espagnole aux financements de la GOANA, l'implantation d'élevages de races de volailles, les visas de migrants saisonniers, sont tous des différents éléments du même programme depuis 2006.
Répondre à Xeme
Kumbail y a 3 mois
Il y a encore une grande distance entre la realite de l immigration et ce que l on connait du phenomene et les solutions preconisees
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il y a 3 mois
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Commentaires (5)
typiquement senegalais incapable de se debrouiller seul , et les problemes sont toujours de la faute de quelqu'un d'autre.
Logiquement pour rester dans sa ligne le sinistre Madiambal Diagne doit s'y opposer. C'était pourtant le même programme espagnol sous Wade quand Madiamb1l s'y opposait jusqu'à titrer dans son Quotidien:
"Mieux vaut une fin atroce qu'une atrocité sans fin ".
Pour les sénégalais que la presse a réussi à empêcher de comprendre, sachez que la participation espagnole aux financements de la GOANA, l'implantation d'élevages de races de volailles, les visas de migrants saisonniers, sont tous des différents éléments du même programme depuis 2006.
Il y a encore une grande distance entre la realite de l immigration et ce que l on connait du phenomene et les solutions preconisees
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C'est au Sénégal de former ces enfants.
Merci
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