Des porteurs de projets sont reçoivent une formation en budgétisation, en gestion des dettes. Le coordonnateur régional du Projet d’appui à la promotion de l’emploi des jeunes et des femmes, Thiérikh Ndong est revenu sur les enjeux de cette formation.
Pour avoir tiré les enseignements des programmes antérieurs destinés à la lutte contre le chômage des jeunes en les aidant à s’engager dans l’auto-emploi, les autorités, par la voix du coordonnateur régional du Projet d’appui à la promotion de l’emploi des jeunes et des femmes, Thiérikh Ndong, ont décidé davantage outiller les porteurs de projets en éducation financière. « Nous avons pris la décision de former en budgétisation, gestion des dettes, négociations financières, services financiers les 55 porteurs de projets sélectionnés lors du premier comité régional de Thiès et dont les dossiers sont en cours d’instruction dans une institution financière partenaire de la place », a-t-expliqué. Après cinq jours de travaux à l’espace jeune de la capitale du rail, la session a pris fin hier.
Outre les modules cités plus haut, il s’est agi de mieux outiller les porteurs de projets à pouvoir construire une confiance solide entre les institutions financières et eux pour un accès durable au crédit et un relèvement significatif du taux d’épargne.
Aussi, selon lui, l’accent a été mis sur la réduction des difficultés liées à l’accès à l’information financière afin d’éviter de les exposer aux dérives dans leur gestion en renforçant le niveau d’alphabétisation et éloigner le risque de surendettement qui pourrait les guetter.
« Toute cette approche du Papejf vise à donner le maximum de chance de réussite à nos jeunes promoteurs évoluant dans les secteurs de l’aviculture, de l’agriculture, du maraîchage, de la transformation des produits locaux et de l’artisanat (bâtiments et travaux publiques, mécanique…) sélectionnés dans notre région », a-t-il confié.
D’après Thiérikh Ndong, toutes ces précautions sont prises en vue de sécuriser les 240 millions de FCfa d’investissement qui doivent produire les résultats escomptés en matière de production et de création d’emplois.
Mbaye BA
Pour avoir tiré les enseignements des programmes antérieurs destinés à la lutte contre le chômage des jeunes en les aidant à s’engager dans l’auto-emploi, les autorités, par la voix du coordonnateur régional du Projet d’appui à la promotion de l’emploi des jeunes et des femmes, Thiérikh Ndong, ont décidé davantage outiller les porteurs de projets en éducation financière. « Nous avons pris la décision de former en budgétisation, gestion des dettes, négociations financières, services financiers les 55 porteurs de projets sélectionnés lors du premier comité régional de Thiès et dont les dossiers sont en cours d’instruction dans une institution financière partenaire de la place », a-t-expliqué. Après cinq jours de travaux à l’espace jeune de la capitale du rail, la session a pris fin hier.
Outre les modules cités plus haut, il s’est agi de mieux outiller les porteurs de projets à pouvoir construire une confiance solide entre les institutions financières et eux pour un accès durable au crédit et un relèvement significatif du taux d’épargne.
Aussi, selon lui, l’accent a été mis sur la réduction des difficultés liées à l’accès à l’information financière afin d’éviter de les exposer aux dérives dans leur gestion en renforçant le niveau d’alphabétisation et éloigner le risque de surendettement qui pourrait les guetter.
« Toute cette approche du Papejf vise à donner le maximum de chance de réussite à nos jeunes promoteurs évoluant dans les secteurs de l’aviculture, de l’agriculture, du maraîchage, de la transformation des produits locaux et de l’artisanat (bâtiments et travaux publiques, mécanique…) sélectionnés dans notre région », a-t-il confié.
D’après Thiérikh Ndong, toutes ces précautions sont prises en vue de sécuriser les 240 millions de FCfa d’investissement qui doivent produire les résultats escomptés en matière de production et de création d’emplois.
Mbaye BA
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