Le sénégalais Tidiane Fall vient d’écrire une nouvelle page de la littérature sénégalaise à travers son Roman Naufragés de la vie, publié aux éditions L’Harmattan Sénégal.
Economiste du développement, doublé d’un littéraire, l’auteur est actuellement expert au bureau du Programme des Nations Unies pour le Développement(PNUD) à Dakar.
Dans son roman qui constitue son premier ouvrage, l’auteur y développe principalement la thématique des pratiques qui relèvent de l’imaginaire telles que la divination et qui dans notre société actuelle constituent souvent des stratégies de survie devant l’adversité.
Naufragés de la vie développe d’autres thématiques comme l’hypocrisie, la méchanceté et l’intolérance avec tout ce que cela comporte comme impact négatif sur notre vécu quotidien et sur les relations interpersonnelles.
La thématique de la pauvreté y est aussi développée dans ces différentes manifestations telle que la mendicité, la précarité et la marginalité.
Aussi, les différentes thématiques du roman qui peuvent constituer des centres d’intérêt pour le lecteur, sont construites autour d’une vision manichéenne de la société sénégalaise. : Le bien et le mal, l’imaginaire et le réel, la pauvreté et l’opulence, la folie et la lucidité, la vie et la mort.
Avec une forte connotation psychologique, ce roman apparait comme un regard critique de l’auteur sur la société dans laquelle il vit. Il s’agit donc pour lui de partager cette vision à travers les différentes thématiques développées. L’écriture apparait donc pour lui comme un besoin de communiquer, de partager.
Passionné de littérature, l’auteur se dit influencé pendant sa jeunesse par le célèbre homme de lettres sénégalais Birago DIOP. Ce dernier avait l’habitude d’offrir à sa famille des livres de conte et autres ouvrages littéraires. Ce qui faisait qu’il ait avons grandi dans un cadre <
En effet l’éminent homme de lettres était très proche de son père qui vétérinaire comme lui l’assistait durant les week end dans sa clinique de point E, devenu aujourd’hui la maison des écrivains <
8 Commentaires
Anonyme
En Février, 2017 (10:09 AM)Un milliard neuf cent millions de francs CFA ont été subtilisés à partir des cartes bancaires prépayées de la BGFIBank, indiquent des sources concordantes au sein de cette banque. À l’effet de quoi, une douzaine d’agents de la structure bancaire a été interpellée en fin de semaine dernière, parmi lesquels Martin Réténo (l’un des responsables de la monétique), Kery Bouka (directeur du département informatique), Pearce Bouyou (responsable produit). Soupçonné d’avoir fomenté le coup ou d’en avoir discrètement supervisé la réalisation, l’Ivoirien Edgard Anon (ADG, directeur du territoire et donc de toutes les filiales nationales et sous régionales) a été, lui aussi, interpellé à l’aéroport de Libreville alors qu’il rentrait d’un voyage à l’étranger, le dimanche 12 février dernier.
Ayant d’abord été relâché par les agents de la Police de l’air et des frontières (Paf), il a été prié, ce lundi 13 février en arrivant à son lieu de travail, «de rendre les clefs du véhicule et de l’habitation de fonction pour résider dans un hôtel en attendant la suite de l’enquête ouverte par la Police judiciaire», indique une autre source de la banque. Il lui serait reproché d’avoir conduit le projet de carte Visa prépayée lancé par BGFI, en rejetant les services de sécurité et de vérification proposés par Visa, l’entreprise promotrice de la fameuse carte bancaire internationale. Autrement dit, BGFIBank devait assurer elle-même la sécurité du système et s’engageait ainsi sur tous les risques y afférents. Cette imprudence lui coûte aujourd’hui la perte sèche de 1,9 milliard de francs CFA. Aucune assurance n’ayant été prise, Visa International ne saurait procéder au moindre remboursement ni à un quelconque dédomagement.
Selon des sources policières concordantes, une dame de nationalité ivoirienne est arrivée il y a quelque temps à Libreville et a procédé à l’acquisition de plusieurs centaines de ces cartes Visa prépayées, littéralement vendues à la criée ces derniers mois par la banque d’Henri-Claude Oyima. Elle a ensuite quitté le Gabon avec sa cargaison de cartes. L’alerte ayant donné lieu à la découverte du pot aux roses a été lancée par Visa International après avoir constaté de nombreux retraits de montants importants à partir de trois pays d’Europe dont la Suisse et la Belgique. «Tous ces retraits frauduleux ont été effectués avec les cartes bancaires achetées par la dame ivoirienne», soutient une source proche du dossier.
Il serait également reproché à Edgard Anon d’avoir externalisé la sécurisation des cartes Visa prépayées de BGFIBank, la confiant à Chaka Card Systems, une entreprise n’ayant fait ses preuves qu’en Afrique l’Ouest et spécialisée dans les plateformes de personnalisation de cartes et des solutions d’identification et de sécurité. Il n’est cependant pas encore indiqué si Edgard Anon avait quelques intérêts dans ladite structure.
La semaine dernière une folle rumeur sur les réseaux indiquait que de nombreux clients de BGFIBank ne parvenaient pas effectuer les opérations utiles avec les fameuses cartes prépayées, tout comme celles d’un bon nombre d’étudiants de l’Université Omar Bongo ont été «avalées», c’est-à-dire non restituées par les guichets automatiques de banque. Marc Ona, figure de la société civile gabonaise, a notamment indiqué que «c’est de façon confidentielle que les centaines de clients, détenteurs de cartes Visa prépayées BGFIBank ont appris l’arrêt de ce produit bancaire. Quid des clients qui ont déposé de l’argent sur ces comptes virtuels ? Ceux qui se plaignent de ne pas pouvoir utiliser les cartes sont gentiment priés d’écrire une lettre de réclamation pour se faire rembourser.»
Pour l’heure, de nombreux directeurs seraient suspendus de leur fonctions au sein de BGFI tandis que tous les contrats, passés par Edgard Anon avec des prestataires extérieurs, ont été rompus. L’enquête se poursuit qui devrait certainement innocenter bien de personnes actuellement en garde à vue et permettre de faire payer les vrais auteurs de cette grosse entourloupette financière.
Anonyme
En Février, 2017 (10:09 AM)Bienvenu
En Février, 2017 (12:26 PM)Anonyme
En Février, 2017 (13:03 PM)On parle de lettres et voilà ce que Seneweb nous sort:: "Ce qui faisait qu’il ait avons grandi dans un cadre "
Moussouma guiss niou niak diom ni Seneweb. Critique takhoul niou amélioré wou. Chaque jour les mêmes conneries.
Le Sénégal est devenu un pays de nullards et gueulards.
Anonyme
En Février, 2017 (15:32 PM)Baayfaal
En Février, 2017 (16:48 PM)Faal N'Diga Yaraam.Bonne continuation.
Rapadiola
En Février, 2017 (13:48 PM)Baba
En Février, 2017 (14:18 PM)Participer à la Discussion