Ce week-end, la police et la gendarmerie ont initié une série d'opérations de sécurisation dans plusieurs localités du pays, pour “transférer la peur dans le camp des malfaiteurs” et “restaurer le capital confiance dont bénéficiait les les forces de sécurité”.
Rien que dans la région de Dakar, mille six cent quatre vingt-neuf (1689) personnes ont été interpellées pour vérification d'identité et autres infractions, informe “L'Observateur”.
Le vendredi, lors d'une opération diurne, 174 interpellations ont été dénombrées par la police. Dans la nuit du vendredi au samedi, 716 autres personnes ont été raflées. Et dans la nuit du samedi au dimanche, 315 personnes ont eu la malchance de croiser le chemin des forces de la police.
La gendarmerie, pour sa part, a mis la main sur 658 personnes durant une opération menée sur toute l'étendue du territoire de la légion ouest (région de Dakar).
13 Commentaires
Anonyme
En Février, 2017 (07:26 AM)Leupaleup
En Février, 2017 (07:56 AM)Anonyme
En Février, 2017 (08:04 AM)Anonyme
En Février, 2017 (08:40 AM)Anonyme
En Février, 2017 (08:43 AM)Anonyme
En Février, 2017 (09:01 AM)Anonyme
En Février, 2017 (09:29 AM)Anonyme
En Février, 2017 (09:44 AM)Nono
En Février, 2017 (09:50 AM)Anonyme
En Février, 2017 (10:29 AM)Anonyme
En Février, 2017 (11:43 AM)Yatt
En Février, 2017 (12:22 PM)Si c'est à des fins de "statistiques" et de mettre la pression sur les populations par des rafles (ramaass en wolof), c'est scandaleux.
Le terme rafle a une connotation d'acte de terreur et rappelle les sombres moments des dictatures : tous ceux qui ont un certain âge se souviennent des ramaass gratuits que le GMI faisaient naguère dans les quartiers à la veille des grands événements politiques ou des moments de mécontentement populaires.
Durant ces ramaass, la mère de famille pouvait être "embarquée" à 20 h 30 alors qu'elle allait à la boutique d'en face de chez elle pour acheter du sel et lorsqu'il s'agissait de ramaass général, la carte d'identité n'était même pas demandée.
La sécurité est actée par un bon fonctionnement de la justice, le refus des "interventions" des seurignes, politiciens, hommes d'affaires généreux et influents ainsi que les actes de corruptions sur les dépositaires des pouvoirs publics.
D'ailleurs, les chiffres avancés ici pour un seul week-end (1689 pour la gendarmerie et 1205 pour la police) sont inquiétanst : combien seront relâchées ? Et si le journaliste était professionnel, il aurait demandé le tri par motif d'interpellation.
Après cela, le citoyen pourra apprécier.
Anonyme
En Février, 2017 (14:04 PM)Que la police ainsi que la gendarmerie respectent leur déontologie : ne pas racketter les automobilistes à tout va au bord des routes , c'est aussi une insécurité flagrante !
Le mot rafle n'est pas concevable pour un vrai journaliste ; une descente de police dans les quartiers insécurisés eut été plus adéquate.
Sauf que les gros bonnets du banditisme sont bien à l'abri dans leurs maisons avec un garde qu'ils payent avec des cacahuètes : toute l'année ce sont des vols à coup de millions qui se font en toute impunité.
si les jeunes avaient un travail, ils n'iraient pas volés et agressés la population.
Des rues mal ou pas éclairées sont aussi une insécurité, et là silence radio ....
on construit pour plaire aux religieux une autoroute à coup de milliards mais les hôpitaux n'ont pas de matériel technique, pas de médicaments, pas de médecins et personnel suffisants ......cherchez l'erreur ? ce n'est qu'une démonstration bidon pour préparer les listes électorales favorables à ??????
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