Déjà, deux pèlerins sénégalais aux lieux saints de l’islam ont perdu la vie. L’annonce est du chargé de la sécurité au commissariat pour le pèlerinage à la Mecque, le colonel Djibril BA.
Le premier à perdre la vie faisait partie du premier vol de pèlerins sénégalais. Il est décédé à Médine. Son identité n’est pas encore déclinée, indique le chargé de la sécurité. L’autre candidat au pèlerinage décédé, fait partie du vol 4. La victime est d’un âge avancé, renseigne le colonel Djibril Ba qui précise toutefois que ses origines ne sont pas encore connues. La victime a perdu la vie avant de rejoindre l’Arabie Saoudite. Elle est morte à Dakar.
La chute d’une grue fait 87 morts
Par ailleurs, la chute d’une grue dans la grande mosquée de la Mecque a fait au moins 87 morts. Interrogés sur l’origine des victimes de l’accident, le colonel Djibril Ba ne dispose pas de beaucoup d’informations. Et ne saurait dire, pour l’heure, si des Sénégalais font partie de l’accident. Cependant, tient-il, à préciser, la plupart des pèlerins sénégalais arrivés en Arabie Saoudite sont actuellement à Médine. Pis, affirme t-il, l’identification des personnes touchées par l’accident devrait prendre plusieurs jours.
L’accident aurait également fait au moins 183 blessés. Le gouverneur de la région de La Mecque, le prince Khaled Al-Faiçal, a ordonné l’ouverture d’une enquête sur l’accident. Selon, les médias occidentaux, la chute de la grue serait due à de mauvaises conditions météorologiques.
32 Commentaires
Anonyme
En Septembre, 2015 (16:50 PM)Opotri
En Septembre, 2015 (16:54 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (16:54 PM)Comble
En Septembre, 2015 (17:06 PM)Saliou
En Septembre, 2015 (17:07 PM)Senegambie
En Septembre, 2015 (17:09 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (17:11 PM)Janus
En Septembre, 2015 (17:33 PM)A voir vous n'avez pas peur du ridicule
Anonyme
En Septembre, 2015 (18:20 PM)aucune rigueur
Anonyme
En Septembre, 2015 (18:24 PM)Baye Zaal
En Septembre, 2015 (19:21 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (20:18 PM)Ben-laden...!
En Septembre, 2015 (20:20 PM)Ça, c'est un Fort Signal (11 SEPTEMBRE) de la part du bon DIEU envers ces Milliers de FANATIQUES Musulmans (genre: Boko Haram - DAECH- AL-QAÏDA -qui TUENT au nom de leur "Dieu-Allah" et à tous ceux qui se croient meilleurs,juste parce que musulman -Ces soit disant "PRIVILÉGIÉS D'Allah" )
Ces Morts ne me font pas du tout plaisir,car "Bakéén,Bakêên là rêk" mais vôtre Comportement SANGUINAIRE,Insensible et surtout MÉCHANT envers les autres religion me pousse à me braquer.....
REVEILLEZ vous MUSULMANS..!!!!
Hak
En Septembre, 2015 (23:02 PM)Ibadan
En Septembre, 2015 (23:42 PM)Les ordres de "Doro" sont exécutés à la lettre.
Qu'Allah accueille les victimes au paradis.
Anonyme
En Septembre, 2015 (10:27 AM)Anonyme
En Septembre, 2015 (13:02 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (01:26 AM)Anonyme
En Septembre, 2015 (03:23 AM)Anonyme
En Septembre, 2015 (08:20 AM)Anonyme
En Septembre, 2015 (10:43 AM)Anonyme
En Septembre, 2015 (12:03 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (12:06 PM)Africamoykmt
En Septembre, 2015 (13:32 PM)Sourate 111 : AL-MASAD (LES FIBRES)
5 versets - Pré-Hégire
-----------------------------------------------------------------------------
Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
1. Que périssent les deux mains d'Abu-Lahab et que lui-même périsse.
2. Sa fortune ne lui sert à rien, ni ce qu'il a acquis.
3. Il sera brûlé dans un Feu plein de flammes.
4. de même sa femme, la porteuse de bois ,
5. à son cou, une corde de fibres.
On se fout vraiment de nous. S'il a un problème avec son oncle qu'est ce que ça peut nous apporter en passant notre vie à réciter ça? En croyant que Allah va venir nous sauver? Vous rêvez trop.
Dites comment il est mort votre prophète!!! empoisonné. Pourquoi? Parce qu'il a fait trop de bétises. Dites combien de femmes il a eu!!! plus de 10. Combien on lui a donné? Pas beaucoup!!! le reste ça fait parti du butin. On tue les tribus, on prends les biens et on se les partages ainsi que les femmes...
C'est votre Allah qui autorise ça? Apparament oui.
Il a même sorti une sourate sur "le butin".
Si votre allah est avec vous? C'est quoi ce 11 septembre? Un attentat contre allah ou c'est allah qui a fait l'attentat?
Dites, combien il y a eu de version de coran? N'est ce pas trois? Ils sont ou les autres? Détruits!!!
Ou sont ce qui ont fait ces trois corans? Tous assassinés. Il est vraiment malade votre allah. Son prophete s'est fait empoisonné. Ceux qui ont fait les trois coran sont tous assassiné. Et depuis, en 1400, c'est toujours la guerre qui continue, chiite, sunite!!!! Combien de personnes en sont morts?
Il ne voyait pas venir tout ca votre allah?
Il nous a sorti une religion de mort je dirai.
Nous avons beaucoup à aprendre. Mais à ce jour, d'après tout ce que j'ai vu ou entendu, ma conclusion est que c'est le diable qui se cache derrière l'islam, comme les autres rélions. Vous priez pour lui, vous luis donnez plus de force.
Reflechissez 2 secondes, qu'est ce qui fait autant de misère dans ce monde? Les guerre, les maladies... Pourquoi les noirs souffres partout dans le monde? Le diable vous a volé votre identité. A vous de trouvez le vrai créateur. Lui il ne sera pas celui qui va faire souffrir son peuple qu'il a créé.
Ahayaasherahaya
En Septembre, 2015 (14:39 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (14:55 PM)L'histoire de celui qui le premier a insulté le Prophète () et la fin funeste qui fut la sienne constituent une leçon pour tous ceux qui seraient tentés d'offenser notre Prophète bien-aimé ().
Après trois ans d'appel à Allah en secret, le Prophète () reçut l'ordre de s'acquitter de sa mission de façon ouverte en commençant par avertir ses plus proches. Aussitôt il se hâta de mettre en œuvre les instructions émanant de son Seigneur.
Il () se dirigea vers la Bathâ`, escalada le mont Safa et s’écria : "Wa sabâhah (Ô, calamité du matin !). Cette alerte en Arabie était donnée par la personne qui à l’aube remarquait une armée ennemie se dirigeant vers sa tribu". Quand le Prophète () fit cet appel, les gens s’enquirent de savoir qui l’avait émis. On leur dit que c’était Muhammad (). Les gens de tous les clans de Quraysh se précipitèrent dehors. Tous ceux qui le pouvaient, vinrent ; ceux qui en étaient incapables envoyèrent un autre à leur place. Quand toute la tribu de Qoraysh se réunit autour lui, le Messager d’Allah () appela chaque clan par son nom et leur dit : "Si je vous dis que derrière cette colline se trouve une armée ennemie qui se prépare pour vous attaquer ce matin ou au plus tard ce soir, allez-vous me croire ? " "Ils répondirent tous d’une seule voix : « Nous ne t’avons jamais entendu dire un mensonge. » Le Prophète () dit : "Alors je vous préviens contre un châtiment aussi terrible qu'imminent". Son oncle Abou Lahab se leva avant que personne ne bronche et dit : "Puisses-tu périr au cours de cette journée ! C'est pour nous faire entendre une chose pareille que tu nous as fait venir !".
En conséquence, Abou Lahab reçut de la part d'Allah et en vertu de la sourate Al-Masad (sourate 111) une condamnation selon laquelle il souffrira pour toujours et connaîtra une perte irrécupérable. Et c'est ce qui lui est arrivé parce qu'il est mort mécréant, ce qui lui vaudra, dans l'au-delà, un séjour éternel en Enfer. Sa perte s'est aussi manifestée à travers la victoire réalisée par Muhammad () et la propagation à grande échelle de son Message. Mais il faut dire que la sanction la plus ignoble qu'il a reçue restera sans conteste celle d'avoir une malédiction immortalisée par la sourate 111 qui sera lue jusqu'au Jour de la Résurrection.
Aussi sa fin a été triste, lamentable et catastrophique en raison de la maladie incurable appelée «al-‘adasa» qu'Allah lui fit subir. Il s'agit d'un bouton mystérieux qui ressemble à une lentille. C'est une maladie que les Qurayshites craignaient et détestaient plus que la peste pensant qu'elle était mortelle et contagieuse. C'est pourquoi lorsqu'elle infecta Abou Lahab, ses enfants ont commencé à prendre leur distance vis-à-vis de lui. Ils ne purent rien pour lui. Après sa mort il était resté trois jours sans que personne ne se soit aventuré à se rapprocher de son cadavre ou à chercher à l'enterrer de peur de la contagion. Il dût alors rester ainsi jusqu'à ce que sa maison commence à dégager une odeur insupportable.
Craignant d'encourir des reproches, ses fils furent obligés de lui faire la toilette du mort en jetant de l'eau sur lui à partir d'une bonne distance de crainte d'être infectés par sa maladie. Ensuite ils le lancèrent dans un lieu et jetèrent des pierres dessus.
Dans une autre version il est dit que ses fils, craignant d'encourir des reproches ont dû louer les services de certaines personnes pour l'enterrer.
Une troisième version relate qu'ils ont creusé un trou et l'ont poussé dedans à l'aide de longs bâtons. Ensuite ils jetèrent des pierres dessus jusqu'à ce qu'il fût complètement dissimulé.
Telle fut donc la fin de celui qui le premier insulta de notre Prophète ().
Les membres de la famille d'Abou Lahab se sont imbibés depuis leur tendre enfance de la façon dont leur père combattait l'Islam et son Prophète sans tenir compte des liens de parenté, sans honte et sans morale aucune. Ainsi l'épouse d'Abou Lahab avait pris l'habitude de mettre sur le chemin du Prophète () et de ses Compagnons des épines et d’autres objets nuisibles. Elle faisait la navette en colportant les fausses rumeurs et en suscitant la sédition et la discorde en vue de briser l'unité des musulmans pour les mettre aux prises les uns contre les autres.
Aussi son fils 'Utba était connu à La Mecque comme étant l'un des plus coriaces ennemis du Prophète (). Son hostilité et son agressivité s'étaient violement manifestées lorsque, se préparant pour un voyage d'affaires avec son père au pays du Levant, il confia a ce dernier : "Je jure par Allah qu’avant de partir j'irai voir Muhammad pour lui faire entendre des blasphèmes qui l'incommoderont".
Il alla donc en toute hâte voir le Prophète () et, une fois en sa présence lui dit après l’avoir couvrit d’insultes qu'il ne croit guère à celui "qui se rapprocha et descendit encore plus et fut à deux portées d'arc ou plus près encore" faisant allusion aux versets 8 et 9 de sourate An Najm (sourate 53).Pour toute réponse, le Prophète () leva ses mains et dit : "Ô Allah, lâche sur lui l'un de Tes chiens !". De retour chez son père celui-ci lui demanda : "Mon fils, qu'est-ce que tu lui as dit ?" Il lui fit un compte rendu de ce qu'il avait dit au Prophète ().
Abou Lahab lui dit : "Qu'est-ce qu'il t'a répondu ?" "Il a dit", reprit le fils : "Ô Allah, lâche sur l'un de Tes chiens !". Le père lui dit : "Mon fils, je jure par Allah que, à la suite de son invocation contre toi, je ne peux plus garantir ta sécurité".
Le narrateur raconte : "Nous avons marché jusqu'à un endroit appelé Chara, un lieu où vit un grand nombre de lions. Nous nous sommes installés à côté de l'ermitage d'un moine qui nous interpella ainsi : "O Arabes, pourquoi avez-vous choisis cet endroit qui pullule de lions au point qu’ils y viennent paître comme un troupeau de brebis ?".
Abou Lahab nous dit alors : "Vous savez combien je suis âgé et combien donc mes appréciations sont justes. Je vous le dit en toute franchise : cet homme (le Prophète) a invoqué Allah contre mon fils – par conséquent je suis tout à fait inquiet pour sa sécurité et je vous serais très reconnaissant si vous parvenez à le sauver".
Juste après ils entendirent de loin les rugissements d’un lion, 'Utba tremblant de tout son corps se rappela l’invocation faite contre lui par le Prophète () et dit : "Malheur à moi, certainement ce lion va me dévorer en réponse à l'invocation faite contre moi par Muhammad. Muhammad m'a tué alors qu'il se trouve à La Mecque et moi je suis au pays du Levant. Il n'y a personne au monde plus véridique que Muhammad". Ensuite, on présenta le dîner mais il n'y toucha pas. A la tombée de la nuit ils mirent leurs bagages autour d'eux et placèrent 'Utba en leur centre. Alors qu'ils dormaient un lion s'est furtivement introduit parmi eux, flairant et reniflant leurs têtes une à une jusqu'à ce qu'il fût à la hauteur de 'Utba. Hubar raconte : le lion était venu sentir nos visages mais, n'ayant pas trouvé ce qu'il cherchait, il se ressaisit pour faire un premier bond et le voilà sur les bagages. Il fit un second bond et atterrit près du visage de 'Utba, puis le frappa sur la tête jusqu'à la fendre. Avant son dernier souffle, 'Utba lança : "Ne vous ai-je pas dit que Muhammad est le plus véridique des êtres humains"? Et il rendit l'âme. Abou Lahab dit alors : "Ne vous ai-je pas dit (moi aussi) que je craignais pour lui à cause de l'invocation de Muhammad?" "Effectivement", lui répondirent-ils, "tu avais bien compris qu'il n'avait aucune chance d'y échapper. "
Anonyme
En Septembre, 2015 (15:02 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (16:05 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (16:13 PM)La religion de l'Islam
Preuves que l'islam est la vérité
La Bible est le livre sacré du judaïsme et du christianisme. La Bible chrétienne est constituée de l’Ancien et du Nouveau Testament, mais les versions catholique romaine et orthodoxe de l’Ancien Testament sont légèrement plus volumineuses parce que ces églises acceptent certains livres que les protestants n’acceptent pas. La Bible juive ne comprend que les livres que les chrétiens connaissent sous le nom d’Ancien Testament. De plus, la disposition des canons juif et chrétien diffèrent considérablement.[1] La venue du prophète Mohammed a été prophétisée à la fois dans l’Ancien et le Nouveau Testament.
Il est communément admis que Jésus et ses apôtres parlaient l’araméen. L’araméen a été couramment parlé jusqu’en l’an 650, environ, puis a été supplanté par l’arabe.[2] La Bible que l’on retrouve de nos jours n’est cependant pas fondée sur les manuscrits araméens, mais sur des versions grecques et latines.
(Le fait de citer des prophéties de la Bible ne signifie pas que les musulmans acceptent la Bible contemporaine comme révélation divine dans toute son intégralité.)
Le fait que sa venue soit prophétisée par un autre prophète n’est pas une condition requise pour qu’un prophète soit accepté et reconnu. Moïse, qui était un prophète envoyé au peuple de Pharaon, n’avait été annoncé par aucun prophète avant lui. Abraham a été envoyé par Dieu à Nimrod, mais aucun prophète n’avait prédit sa venue. De même pour Noé, Lot et d’autres qui étaient tous de vrais prophètes envoyés par Dieu sans que leur venue n’ait jamais été prophétisée par un autre prophète. La preuve de l’authenticité d’un prophète ne se limite donc pas à des prophéties faites sur lui; elle inclut le message qu’il a à transmettre, les miracles qu’il accomplit, etc.
Discuter des prophéties demeure un exercice délicat, car il implique de faire le tri parmi de nombreuses versions et traductions de la Bible et des manuscrits récemment découverts, et de faire des recherches sur des mots hébreux, grecs et araméens. La tâche devient particulièrement difficile lorsque l’on sait que « toutes les copies de la Bible émises avant l’invention de l’imprimerie (au 15e siècle) présentent des variantes textuelles ».[3] Voilà qui n’est pas un sujet facile pour les non initiés. Les meilleurs témoignages nous viennent donc d’experts dans le domaine, contemporains ou non, qui ont reconnu ces prophéties.
Nous avons des témoignages d’individus parmi les premiers juifs et les premiers chrétiens, des rabbins et des moines, qui témoignent du fait que Mohammed était bel et bien l’homme auxquelles faisaient allusion des prophéties bibliques bien spécifiques. En voici quelques exemples.
Le prophète attendu
Les juifs et les chrétiens de l’ère pré-islamique, en Arabie, attendaient un prophète. Avant la venue de Mohammed, l’Arabie était un pays partagé par des juifs, des chrétiens et des païens, et les trois groupes se faisaient la guerre à l’occasion. Les juifs et les chrétiens disaient aux païens : « Le temps est venu pour que le prophète illettré apparaisse parmi nous afin de faire revivre la religion d’Abraham. Nous nous joindrons à lui et nous vous livrerons une guerre acharnée à ses côtés. » Mais lorsque Mohammed apparut pour de bon, certains crurent en lui et d’autres le rejetèrent. C’est pourquoi Dieu a révélé :
« Et quand leur vient, de Dieu, un Livre confirmant celui qu’ils ont déjà entre leurs mains – alors qu’auparavant ils priaient pour obtenir une victoire décisive sur les mécréants – et lorsque leur vient ce qu’ils savent, au fond, (être la vérité), ils refusent d’y croire. Que la malédiction de Dieu soit sur les mécréants! » (Coran 2:89)
Le premier témoin fut Bahira, un moine chrétien qui reconnut que Mohammed était un prophète alors que ce dernier était encore tout jeune. Il dit à l’oncle de Mohammed :
« …un brillant avenir attend ton neveu; alors ramène-le rapidement chez lui. »[4]
Le second témoin fut Waraqah bin Nawfal, un érudit chrétien qui mourut peu de temps après une rencontre seul à seul avec Mohammed. Waraqah reconnut que Mohammed était le prophète de son époque et qu’il avait reçu la révélation comme l’avaient reçue Moïse et Jésus.[5]
Les juifs de Médine attendaient avec impatience la venue d’un prophète. Les troisième et quatrième témoins furent leurs deux grands rabbins, Abdoullah bin Salam et Moykhayriq.[6]
Les cinquième et sixième témoins furent deux rabbins yéménites, Wahb ibn Mounabbih et Ka’b al-Ahbar. Ka’b trouva dans la Bible de long passages de louanges et la description du prophète par Moïse.[7]
Le Coran dit :
« N’est-ce pas pour eux un signe que les savants des enfants d’Israël en soient informés? » (Coran 26:197)
Anonyme
En Septembre, 2015 (16:20 PM)Le verset est explicite quant au fait que le prophète attendu sera issu des frères des juifs. Abraham eut deux fils : Ismaël et Isaac. Les juifs sont les descendants du fils d’Isaac, Jacob. Les Arabes, quant à eux, sont les descendants d’Ismaël. Les Arabes sont donc les frères des juifs. La Bible affirme :
« … il (Ismaël) assurera sa place en face de tous ses semblables. » (Genèse 16:12)
« Il (Ismaël) s’établit en présence de tous ses frères. » (Genèse 25:18)
Les enfants d’Isaac sont les frères des Ismaélites. De même, Mohammed est issu des frères des Israélites car il était un descendant d’Ismaël, le fils d’Abraham.
3. Dieu mettra Ses paroles dans la bouche du prophète attendu
Le Coran dit, au sujet de Mohammed :
« Et il ne prononce rien selon ses propres désirs. Ce n’est rien d’autre qu’une révélation [qui lui est] inspirée par (l’ange Gabriel) » (Coran 53:3-4)
C’est très similaire à ce que dit le verset 18:18 du Deutéronome:
« Je leur susciterai, du milieu de leurs frères, un prophète semblable à toi; Je mettrai mes paroles dans sa bouche et il leur dira tout ce que Je lui commanderai. » (Deutéronome 18:18)
Le prophète Mohammed a été envoyé avec un message à transmettre à toute l’humanité, y compris les juifs. Tous les hommes, y compris les juifs, doivent accepter sa mission prophétique, affirmation qui est soutenue par les paroles suivantes :
« Le Seigneur suscitera pour vous un prophète comme moi, issu de votre peuple, l'un de vos frères: écoutez-le. » (Deutéronome 18:15)
4. Un avertissement à ceux qui rejetteront ce prophète
La prophétie continue ainsi:
Deutéronome 18:19 : « Si un homme n'écoute pas Mes paroles que ce prophète aura prononcées en Mon nom, alors c'est Moi-même qui en demanderai compte à cet homme. »
Voici le témoignage de certains érudits qui ont cru que cette prophétie faisait référence à Mohammed.
Premier témoignage
Abdoul-Ahad Daoud, l’ex-révérend et prêtre catholique romain David Benjamin Keldani de la secte des chaldéens unis a écrit, après sa conversion à l’islam, un livre intitulé « Muhammad in the Bible » (Mohammed dans la Bible). Au sujet de cette prophétie, il a écrit :
« Si ces mots ne faisaient pas référence à Mohammed, cela signifierait que cette prophétie ne s’est jamais réalisée. Jésus lui-même n’a jamais prétendu être le prophète auquel il est fait allusion dans ce verset. Même ses disciples étaient d’accord; ils attendaient la seconde venue de Jésus pour voir se réaliser la prophétie (Actes 3:17-24). Cela demeure un fait incontesté que Jésus, lors de sa première venue sur terre, n’était pas un prophète semblable à Moïse, et que lors de sa deuxième venue, cette prophétie ne pourra correspondre à ce qu’il sera alors. Selon l’Église, Jésus reviendra en tant que juge et non comme législateur. Or, celui dont parle la prophétie viendra avec la loi dans sa main droite. »[3]
Deuxième témoignage
Muhammad Asad est né Leopold Weiss en juillet 1900, dans la ville de Lvov, en Pologne (qui faisait alors partie de l’empire autrichien). Il était descendant d’une longue lignée de rabbins, lignée rompue par son père, qui avait décidé de devenir avocat. Asad lui-même reçut une éducation religieuse approfondie, ce qui allait permettre, croyait-on, de garder bien vivante la tradition rabbinique familiale. Il était devenu expert en hébreu assez tôt dans sa vie et il connaissait assez bien l’araméen. Il avait étudié l’Ancien Testament dans sa forme originale, de même que les textes du Talmud, de la Mishna et la Gémara, et avait approfondi ses connaissances de la compliquée exégèse biblique, le Targum.[4]
Au sujet de ce verset du Coran :
« Ne mêlez pas la vérité au mensonge et ne cachez pas sciemment la vérité. » (Coran 2:42)
Muhammad Asad écrit :
« Mêler la vérité au mensonge signifie altérer les textes bibliques, ce dont le Coran accuse les juifs à plusieurs reprises (et qui a d’ailleurs été prouvé par un examen textuel objectif), tandis que cacher sciemment la vérité fait référence à leur mépris ou à leur interprétation délibérément erronée des paroles de Moïse dans le passage biblique qui dit :
« Le Seigneur suscitera pour vous un prophète comme moi, issu de votre peuple, l'un de vos frères: écoutez-le. » (Deutéronome 18:15)
et des paroles attribuées à Dieu Lui-même :
« Je leur susciterai, du milieu de leurs frères, un prophète semblable à toi; Je mettrai mes paroles dans sa bouche et il leur dira tout ce que Je lui commanderai. » (Deutéronome 18:18)
Les « frères » des enfants d’Israël sont évidemment les Arabes, et plus particulièrement les mousta’ribah (« arabisés ») parmi eux, dont la descendance remonte à Ismaël et Abraham. Et comme c’est à ce groupe qu’appartenait la tribu (Qouraish) de laquelle faisait partie le prophète Mohammed, le passage biblique cité plus haut ne peut faire référence qu’à sa venue. »[5]
Anonyme
En Septembre, 2015 (16:30 PM)John 14:16 “Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu'il demeure éternellement avec vous. »
Dans ce verset, Jésus promet qu’un autre « consolateur » viendra. Dans cet article, nous discuterons donc de ce « consolateur ».
Le mot grec paravklhtoß, ho parakletos, a été traduit comme « consolateur ». Parakletos signifie plus précisément « celui qui plaide la cause de quelqu’un d’autre, un intercesseur. »[1] Le mot grec paravklhtoß, ho parakletos, a été traduit comme « consolateur ». Parakletos signifie plus précisément « celui qui plaide la cause de quelqu’un d’autre, un intercesseur. » Le ho parakletos est une personne, en langue grecque, et non une entité incorporelle. En langue grecque, chaque nom possède un genre, c’est-à-dire masculin, féminin ou neutre. Dans les chapitres 14, 15 et 16 de l’Évangile selon Jean, le ho parakletos est une personne. Tous les pronoms, en grec, s’accordent en genre avec les noms auxquels ils réfèrent et ici, le pronom « il » est utilisé en référence au parakletos. Le Nouveau Testament utilise le mot pneuma, qui signifie « souffle » ou « esprit », qui est l’équivalent grec de ruah, le mot hébreu pour « esprit » utilisé dans l’Ancien Testament. Pneuma est un mot grammaticalement neutre et est toujours représenté par un « il » impersonnel.
Toutes les Bibles d’aujourd’hui sont tirées d’« anciens manuscrits », le plus ancien datant du quatrième siècle. Il n’y a pas deux anciens manuscrits qui soient identiques.[2] Toutes les Bibles imprimées de nos jours sont constituées de manuscrits qui ont été rassemblés, mais qui ne proviennent pas d’une source unique et définitive. Les traducteurs de la Bible tentent habituellement de « choisir » la version qu’ils croient être la bonne. En d’autres termes, comme ils ne savent pas quel « ancien manuscrit » est le bon, ils décident, pour nous, de la meilleure « version » pour un verset donné. Prenez Jean 14:26, par exemple. Jean 14:26 est le seul verset de la Bible qui associe le parakletos au Saint Esprit. Mais les « anciens manuscrits » ne vont pas du tout dans le même sens. Par exemple, dans le fameux Codex Syriacus, écrit aux environs du cinquième siècle et découvert en 1812 sur le Mont Sinaï, le texte de 14:26 dit « paraclet, l’esprit » et non « paraclet, le Saint Esprit ».
Pourquoi devons-nous accorder autant d’importance à cela? Parce que dans la langue biblique, un « esprit » signifie tout simplement un « prophète ».
« Bien-aimés, n'ajoutez pas foi à tout esprit; mais éprouvez les esprits, pour savoir s'ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde.»[3]
Il est intéressant de savoir que plusieurs érudits bibliques ont considéré le parakletos comme une « personnalité indépendante ayant le pouvoir de sauver » et non comme le Saint Esprit.[4]
La question est donc : le parakletos, le consolateur annoncé par Jésus était-il le « Saint Esprit » ou une personne – un prophète? Pour répondre à cette question, nous devons bien comprendre la description du ho parakletos et voir si elle correspond à un esprit ou à un être humain.
Si nous poursuivons notre lecture au-delà de 14:16 et de 16:7, nous découvrons que Jésus avait prédit les détails de l’arrivée et de l’identité du parakletos. Ainsi, dans le contexte de Jean 14 et 16, nous découvrons les faits suivants :
1 ésus a dit que le parakletos était un être humain :
John 16:13 «… il vous annoncera les choses à venir. »
John 16:7 « En effet, si je ne m'en vais pas, le consolateur ne viendra pas à vous. »
Il est impossible que le consolateur soit le « Saint Esprit », parce que celui-ci était présent bien avant la venue de Jésus et tout au long de son ministère.[5]
Jean 16:13 réfère au paraclet en utilisant le pronom « il » sept fois et non le « il » impersonnel. Aucun autre verset de la Bible ne contient sept pronoms masculins. Par conséquent, le paraclet est une personne et non un esprit.
2. Jésus est appelé « parakletos » :
« Et si quelqu'un a péché, nous avons un avocat (parakletos) auprès du Père, Jésus Christ le juste. » (1 Jean 2:1)
Ici, nous voyons que le parakletos est un intercesseur physique, un être humain.
3. La « divinité » de Jésus est une invention qui est venue plus tard :
Jésus n’a jamais été perçu comme « divin » jusqu’au Concile de Nicée, en 325. Avant cela, tous, à l’exception des juifs, le reconnaissaient comme un prophète de Dieu, tel qu’indiqué par la Bible :
Matthieu 21:11 « ...Et la foule qui l'accompagnait répondait: « C'est Jésus le prophète, de Nazareth en Galilée. »
Luc 24:19 « … Jésus de Nazareth. C'était un prophète qui agissait et parlait avec puissance, devant Dieu et devant tout le peuple. »
4. Jésus a prié Dieu d’envoyer un autre parakletos :
John 14:16 « Et moi, je demanderai au Père de vous donner un autre consolateur de sa cause, afin qu'il reste pour toujours avec vous. »
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Prophéties bibliques sur Mohammed (partie 3 de 4): Les prophéties du Nouveau Testament sur Mohammed
Description: Les preuves bibliques démontrant que Mohammed n’est pas un faux prophète. Partie 3 : Une discussion sur la prophétie mentionnée dans Jean 14:16 au sujet du « paraclet » ou « consolateur », et la façon dont Mohammed correspond à cette prophétie.
par IslamReligion.com
Publié le 31 Mar 2008 - Dernière mise à jour le 31 Mar 2008
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John 14:16 “Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu'il demeure éternellement avec vous. »
Dans ce verset, Jésus promet qu’un autre « consolateur » viendra. Dans cet article, nous discuterons donc de ce « consolateur ».
Le mot grec paravklhtoß, ho parakletos, a été traduit comme « consolateur ». Parakletos signifie plus précisément « celui qui plaide la cause de quelqu’un d’autre, un intercesseur. »[1] Le mot grec paravklhtoß, ho parakletos, a été traduit comme « consolateur ». Parakletos signifie plus précisément « celui qui plaide la cause de quelqu’un d’autre, un intercesseur. » Le ho parakletos est une personne, en langue grecque, et non une entité incorporelle. En langue grecque, chaque nom possède un genre, c’est-à-dire masculin, féminin ou neutre. Dans les chapitres 14, 15 et 16 de l’Évangile selon Jean, le ho parakletos est une personne. Tous les pronoms, en grec, s’accordent en genre avec les noms auxquels ils réfèrent et ici, le pronom « il » est utilisé en référence au parakletos. Le Nouveau Testament utilise le mot pneuma, qui signifie « souffle » ou « esprit », qui est l’équivalent grec de ruah, le mot hébreu pour « esprit » utilisé dans l’Ancien Testament. Pneuma est un mot grammaticalement neutre et est toujours représenté par un « il » impersonnel.
Toutes les Bibles d’aujourd’hui sont tirées d’« anciens manuscrits », le plus ancien datant du quatrième siècle. Il n’y a pas deux anciens manuscrits qui soient identiques.[2] Toutes les Bibles imprimées de nos jours sont constituées de manuscrits qui ont été rassemblés, mais qui ne proviennent pas d’une source unique et définitive. Les traducteurs de la Bible tentent habituellement de « choisir » la version qu’ils croient être la bonne. En d’autres termes, comme ils ne savent pas quel « ancien manuscrit » est le bon, ils décident, pour nous, de la meilleure « version » pour un verset donné. Prenez Jean 14:26, par exemple. Jean 14:26 est le seul verset de la Bible qui associe le parakletos au Saint Esprit. Mais les « anciens manuscrits » ne vont pas du tout dans le même sens. Par exemple, dans le fameux Codex Syriacus, écrit aux environs du cinquième siècle et découvert en 1812 sur le Mont Sinaï, le texte de 14:26 dit « paraclet, l’esprit » et non « paraclet, le Saint Esprit ».
Pourquoi devons-nous accorder autant d’importance à cela? Parce que dans la langue biblique, un « esprit » signifie tout simplement un « prophète ».
« Bien-aimés, n'ajoutez pas foi à tout esprit; mais éprouvez les esprits, pour savoir s'ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde.»[3]
Il est intéressant de savoir que plusieurs érudits bibliques ont considéré le parakletos comme une « personnalité indépendante ayant le pouvoir de sauver » et non comme le Saint Esprit.[4]
La question est donc : le parakletos, le consolateur annoncé par Jésus était-il le « Saint Esprit » ou une personne – un prophète? Pour répondre à cette question, nous devons bien comprendre la description du ho parakletos et voir si elle correspond à un esprit ou à un être humain.
Si nous poursuivons notre lecture au-delà de 14:16 et de 16:7, nous découvrons que Jésus avait prédit les détails de l’arrivée et de l’identité du parakletos. Ainsi, dans le contexte de Jean 14 et 16, nous découvrons les faits suivants :
1 ésus a dit que le parakletos était un être humain :
John 16:13 «… il vous annoncera les choses à venir. »
John 16:7 « En effet, si je ne m'en vais pas, le consolateur ne viendra pas à vous. »
Il est impossible que le consolateur soit le « Saint Esprit », parce que celui-ci était présent bien avant la venue de Jésus et tout au long de son ministère.[5]
Jean 16:13 réfère au paraclet en utilisant le pronom « il » sept fois et non le « il » impersonnel. Aucun autre verset de la Bible ne contient sept pronoms masculins. Par conséquent, le paraclet est une personne et non un esprit.
2. Jésus est appelé « parakletos » :
« Et si quelqu'un a péché, nous avons un avocat (parakletos) auprès du Père, Jésus Christ le juste. » (1 Jean 2:1)
Ici, nous voyons que le parakletos est un intercesseur physique, un être humain.
3. La « divinité » de Jésus est une invention qui est venue plus tard :
Jésus n’a jamais été perçu comme « divin » jusqu’au Concile de Nicée, en 325. Avant cela, tous, à l’exception des juifs, le reconnaissaient comme un prophète de Dieu, tel qu’indiqué par la Bible :
Matthieu 21:11 « ...Et la foule qui l'accompagnait répondait: « C'est Jésus le prophète, de Nazareth en Galilée. »
Luc 24:19 « … Jésus de Nazareth. C'était un prophète qui agissait et parlait avec puissance, devant Dieu et devant tout le peuple. »
4. Jésus a prié Dieu d’envoyer un autre parakletos :
John 14:16 « Et moi, je demanderai au Père de vous donner un autre consolateur de sa cause, afin qu'il reste pour toujours avec vous. »
Anonyme
En Septembre, 2015 (14:35 PM)Participer à la Discussion