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Police : Oumar Maal réorganise les renseignements, la Dic et la Sûreté urbaine

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Oumar Maal le tout nouveau DGPN

Le patron de la police nationale, Oumar Maal, vient de réorganiser les services de renseignement de la police. Des cadres très compétents, qui étaient pratiquement « mis au frigo » puisque mutés dans des secteurs moins denses par son prédécesseur, Anna Sémou Faye, ont été « rappelés aux affaires ». C’est ainsi que Mame Mberry Ndiaye, jusqu’ici chef du service régional des renseignements généraux de Ziguinchor a été rappelé à Dakar pour occuper le poste de Directeur du service régional des renseignements généraux. Un poste qu’occupait le commissaire Pierre Mendy, bombardé Directeur de la surveillance du territoire (DST).


Un autre as du renseignement, le commissaire Abdoulaye Ba, qui était muté à Fatick, est rappelé à Dakar pour gérer le service du contre-espionnage.


Le Directeur général de la police a également changé les patrons de la Division des investigations criminelles (Dic) et de la Sûreté urbaine (Su). La Dic est dirigée désormais par le commissaire Ibrahima Diop, jusqu’ici patron de la Sûreté urbaine. Il remplace le commissaire Ndiaré Sène qui prend la tête du commissariat central de Thiès.


Le commissaire Ibrahima Diop cède sa place au désormais ex-commissaire du Point E. El Hadji Cheikh Dramé devient ainsi le nouveau patron de la Sûreté urbaine. Modou Diène, ex-directeur des études de l’école nationale de la police et de la formation permanente devient le commissaire central de Dakar, en remplacement du divisionnaire Abdoulaye Diop, nouveau Directeur de la sécurité publique (Dsp).



18 Commentaires

  1. Auteur

    Deug Goongo

    En Novembre, 2015 (08:32 AM)
    Il n'y a pas plus heureux que quelqu'un qui a vu une injustice qui lui a été faite réparée par un autre. J'espère que celles que je subis dans un ministère sera un jour réparée par la seule volonté de Allah.
  2. Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2015 (08:37 AM)
    vous êtes manipulés par oumar maal qui sait pertinement qu'il n'est pas à la hauteur pour gérer la police. déjà , des policiers sont en guerre contre lui.en quoi, dakar est plus importante en termes de renseignements que ziguinchor. Arrêtez seneweb, ne balancez pas n'importe quoi, parce que les gens vous lisent. ne soyez pas la voix de oumar maal qui n'a ni le charisme encore moins le verbe pour diriger la police où il a trouvé des plus ancines que lui
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    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2015 (08:43 AM)
    Monial. Si cette injustice est avérée,tôt ou tard L'omnipotent rendra un verdict sans aucune opposition ni appel. Il est le meilleur des juges.
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    Auteur

    Justice

    En Novembre, 2015 (08:51 AM)
    c'est une bonne chose mais il n'ya point de rupture. chaque nouveau chef place ses hommes c'est décevant. La première rumeur indiquait le brillant commissaire DHIEDHIOU de Kolda comme commissaire central de saint louis. c'est avec deception qu'on apprends que c'est finalement le commissaire BOP, poulain du DGPN qui y va. Le commissaire DIEDHIOU qui est pourtant plus ancien. De meme le commissaire TAMBA qui est à TAMBACOUNDA est de loins leur ancien il est commissaire urbain au moment où ses subordonnés occupent des commissariats centraux.

    A quand la rupture de protégés dans ce pays, pourtant Omar MALL est considéré comme quelqu'un de juste par rapport à ses prédécesseurs

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    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2015 (09:18 AM)
    Le débat sur l’interdiction éventuelle du « voile intégral » dans notre pays, vient d’être relancé dans l’opinion publique et les médias, à la suite des récents propos du Président de la République sur la question de la menace terroriste.

    Les avis sur la question étant partagés entre, schématiquement, ceux qui approuvent cette idée, suivant notamment l’argument qui veut que cette pratique « ne relève point de notre culture et de nos traditions religieuses » ou qu’elle peut constituer « une menace terroriste » pour notre pays. D’autres, comme moi, demeurant profondément dubitatifs quant à la pertinence et l’opportunité d’une telle décision qu’ils trouvent, au contraire, contreproductive et trop superficielle.

    En effet, observons un moment, sans passion, la validité des principaux arguments avancés par les anti-voiles pour se convaincre de leur relative légèreté.

    L’ARGUMENT CULTUREL

    Si l’argument de l’ « authenticité culturelle » invoqué par le Président Macky, stricto sensu et sans intégrer d’autres considérations secondaires, devaient être appliqué à toutes nos attitudes, à nos modes d’habillement et nos discours, très peu de choses subsisteraient en réalité dans notre Sénégal moderne. Tellement certains traits culturels et religieux actuels de notre pays, que l’on a souvent tendance à penser être les nôtres, trouvent leurs sources historiques et origines culturelles dans d’autres horizons (Orient, Maghreb, Occident etc.).

    Le « Tourki Ndiaareem » (déformation de costume « turc ») qui donnera plus tard naissance, en milieu mouride, aux « Baye-Lahad » et autres « Baye-Chouhaïbou », est-il réellement d’origine sénégalaise ? Les fameux « moussor » (déformation de « mouchoirs » de tête) de nos ancêtres et leurs « taille-basse » ou « ndokettes » n’ont-elles rien hérité des modes signares ou celles d’ailleurs ? Sommes-nous aussi certains que nos « simisou alâji » (chemises d’El Hadji de la Mecque), « boné faas » (bonnets de Fez) et autres « maraakiis » (babouches de Marrakech) sont, « culturellement » parlant, bien de chez nous ? Et l’on pourrait continuer indéfiniment les exemples…

    Tout ceci, pour simplement dire que la quête naïve d’une authenticité culturelle parfaite n’est qu’un leurre. Le Sénégal ayant toujours été à la croisée des chemins et au carrefour de plusieurs influences et héritages. Et que le fait qu’une attitude ou pratique ne relève pas de notre héritage culturel ancien n’est pas en soit suffisant pour l’interdire à ceux qui l’auraient librement choisi. Ceci, dans certaines limites claires (décence, ordre public etc.) définies librement par notre peuple.

    Irons-nous ainsi, dans cette même logique, jusqu’à interdire un jour chez nous le port des turbans iraniens ou indiens, celui des keppa juifs ? Les voiles (perçus comme « arabes » par certains) de beaucoup de jeunes sénégalaises voilées, ceux des bonnes sœurs catholiques, sont-ils culturellement plus « sénégalais » que les « burqa » afghans ou iraniens ? En effet, si l’on s’avise d’ouvrir aussi facilement la boîte de Pandore de l’authenticité culturelle, en dehors d’autres arguments moraux et sociologiques démontrés, rien ne s’opposerait théoriquement à ce que notre État puisse un jour, sous l’argument massue et fourre-tout de la « lutte contre le terrorisme », interdire d’autres pratiques que les sénégalais d’aujourd’hui auront du mal à imaginer…

    Pour prendre d’autres exemples plus modernes ou plus parlants (à même de montrer les contradictions sur cette question), que dire de la mode des « saris » indiens chez nos femmes ? Celle des « cheveux naturels » ? Du khessal dévastateur ? Des pantalons serrés ou rabaissés, des « pinws » et d’autres modes actuelles ou passées que la décence m’interdit ici de citer ? Ou étaient nos autorités lorsque des danseuses, mannequins et chanteuses portaient des tenues extravagantes exhibant leurs parties intimes dans les journaux people ? S’il ne s’agissait véritablement que de préserver nos valeurs culturelles, quelles valeurs seraient plus prioritaires à défendre que la « Kersa » (pudeur), le « Jom » (dignité) et la « Soutoura » que nos personnages publics et stars enfreignent quotidiennement au vu et au su de tout le monde (le CNRA y compris), à longueur de clips obscènes, de séries télévisées, de défilés de modes, de « Dakar ne dort pas » stripteaseurs etc. ?

    L’ARGUMENT SÉCURITAIRE

    Qu’en est-il à présent de l’argument « sécuritaire » brandi par d’aucuns pour stigmatiser le port du voile, dit « intégral » ou pas ? Il est autant et même plus léger que le précédent, à notre avis. Pensez-vous sérieusement qu’une kamikaze qui aspire véritablement se faire sauter pour accéder au Paradis en miettes puisse être arrêtée par la seule éventualité de troquer sa Burqa contre nos grands-boubous non moins amples pour camoufler n’importe quelle bombe ? Au contraire, du moment même où cet habillement deviendrait suspect et stigmatisant, les potentiels terroristes n’éprouveraient aucun problème à les échanger contre d’autres modes vestimentaires jugées plus « neutres » pour perpétrer leur forfait. D’ailleurs, à ce propos, un élément contreproductif que les autorités politiques et religieuses qui soutiennent ce harcèlement inédit contre une partie de notre population ne semble pas intégrer dans leur schéma est le risque accru de « radicalisation », à long terme, chez des citoyens innocents se sentant injustement stigmatisés pour leurs choix religieux pourtant à priori inoffensifs pour leurs concitoyens. Je trouve donc, au vu du sérieux de la question sécuritaire, cet argument des plus puérils et même dangereux.

    Et quid de l’argument sur l’impossibilité d’identifier les individus cachés sous un voile intégral ? C’est simple. Les services de sécurité n’auront qu’à demander systématiquement à tout sujet suspect de se découvrir, comme ils le font d’ailleurs pour mieux identifier tous ceux qui portent des lunettes ou d’autres atours jugés gênants.

    De tout ceci il ressort que, quoique ne souscrivant pas nécessairement à certains choix vestimentaires religieux (ne correspondant pas à ma compréhension des textes religieux), je respecte les options différentes librement adoptées par les autres citoyens sénégalais, par conviction religieuse, dans la limite toutefois de nos règles de décence et de respect de l’ordre public. Nous soutenons donc, dans cette polémique, toutes nos sœurs qui auront décidé de couvrir leurs corps, quelles que soient la mode culturelle à travers laquelle elles auraient choisi de le faire. Car préférant de loin leur voile intégral (adopté en réalité par une insignifiante minorité de la population, pour être représentative) à la nudité intégrale et à la burqa pornographique qui pollue quotidiennement nos télévisions et sites web. C’est un droit que leur garantit, jusqu’à preuve du contraire, la Constitution et les règles qui régissent la liberté de culte dans notre pays.

    LA FRANCE N’EST PAS LE SÉNÉGAL

    Au vu de tout ceci, comment pouvons-nous alors comprendre que cette question si importante du terrorisme soit abordée par nos autorités sous l’angle si léger de l’habillement ou même d’une prétendue meilleure « formation des imams » ? Tout simplement par mimétisme idéologique et importation unilatérale de l’approche de cette problématique par des pays comme la France. Pays d’une laïcité extrémiste n’ayant pourtant ni le même rapport historique avec la religion que nous, ni les mêmes types de ressorts internes et modèles de coexistence pacifique à même de faire face aux menaces de l’extrémisme…

    En définitive, je pense qu’il est important et louable que nos autorités prennent de plus en plus au sérieux la question des menaces terroristes pour notre pays. Et, pour ce faire, il est plus qu’urgent qu’une unité sacrée se fasse autour de la plus haute institution du pays, le Président de la République, et des autres institutions garantes de la stabilité nationale. En ce sens, le plus large consensus devrait rapidement se faire, avec un degré élevé de responsabilité citoyenne, au niveau de toutes les franges de la nation : politiques, religieuses, intellectuelles, société civile etc. Ceci, avec un esprit de dépassement et de transcendance sur les questions politiciennes ou partisanes.

    Mais, aussi importante que sera cette unité sur l’essentiel, elle ne pourra se faire qu’avec une plus grande clairvoyance de nos dirigeants dans leurs approches et décisions sur cette question sensible. Approches qui ne devraient nullement s’élaborer n’importe comment, dans les menaces et tentatives d’intimidation envers toute critique objective ou idée opposée émise pour le bien de la nation. Tant notre pays ne dispose point d’arme plus efficace contre les extrémismes que ses ressorts culturels, intellectuels et socioconfrériques endogènes. A condition toutefois que ceux-ci soient plus intelligemment mis à contribution et que nos dirigeants ne se perçoivent plus comme des démiurges s’adressant à des sujets passifs et délobotomisés.

    Malheureusement, cela ne nous semble point, pour le moment, être le cas…



    A. Aziz Mbacké Majalis



    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2015 (09:37 AM)
    Bravo Mr Mbacké, votre argumentaire est indémontable. Seneweb devait publier comme article
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    Auteur

    Bravo

    En Novembre, 2015 (09:51 AM)
    Bravo Monsieur Maal. Voila un Toucouleur qui cherche des hommes compétents mais pas seulement nommer ces parents .Tu as donner l'exemple a tes parents Toucouleur.

    Felicitataion, C'est ca le Senegal qui gagne
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    Auteur

    Saliou Dieng Zaltamba

    En Novembre, 2015 (10:12 AM)
    Le peuple sénégalais soutien le DGPN Omar Maal qui est homme de qualité,compétant,trés sérieux et dévoué c'est un homme de défis,il les a toujours relever mais jamais seul , avec des hommes et des femmes compétants.Je suis sure qu'il va réussir la mission que Mr le président de la république lui a confié. Pour la drogue j'invite Mr le DGPN à amener des chiens à Tamba et sur les axes Mali -Sénégal et sur l'axe menant vers la guinnée Bissau. Tous les camions qui font ces trajets transportent de la drogue et rien que de la drogue et c'est difficile sans chiens détecteurs de trouver la drogue qui est toujours dissimiler dans les chargements.Je suis prét à aider le commissaire Maal dans sa mission.

    SALIOU DIENG,CONSEILLER DEPARTEMENTAL TAMBA :sunugaal: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2015 (11:03 AM)
    bonjour Monsieur le DGPN repensait à la circulation qui sévit actuellement à Dakar.

    Ce que je déplore énormément c'est les Agents Sécurité et de Proximité qui régulent certains artères de Dakar créant des embouteillages monstre qui nous retardent pratiquement tous les matins

    citant comme exemple au niveau du score liberté où un ASP ne laissant pas les feux de signalisation régulé mais chamboule tout il pointe la bas tous les matins aider nous SVP.

    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2015 (11:57 AM)
    la securité et la sureté du senegal entre les mains des toucouleurs

    que prépare Maky?

    préparez vs
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    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2015 (12:18 PM)
     :rigolo: 
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    Auteur

    Republicain

    En Novembre, 2015 (14:39 PM)
    je suis daccord avec le commentaire n 7. sur le cas du commissaire TAMBA: comme cest un diola; et les diolas nont pas droit a aucune promotion; dieu est grand
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    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2015 (15:09 PM)
    la burqua n est pas notre culture est ce que bombass et string dans les plage et jupe court; bas yamba ou cigarette ou encore patial est notre culture sommes nous des hypocriques ? ou seulement compléxés tout ce qui vient de loccident est bon et mauvais ce qui vient de l orient Luttons contre l intégrisme à notre maniere pas comme la France .evitons les stigmatisations et l exclusions sociale qui sont les principales raison des conflits
    Auteur

    Anonyme Saar Mboundou

    En Novembre, 2015 (15:21 PM)
    et le commissaire bassirou dieye kes kil devient un exemple de model good luck cous
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    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2015 (21:53 PM)
    Nous sénégalais nous avons fait l'imprudence d'élire un toucouleur , nous allons le payer cher. Mais on dirait que le prophète aurait prédit qu'à la fin des temps les esclaves dirigeront les nobles.



    L'élection de macky matioudo est un que le châtiment de dieu s'est abattu sur le peuple



    Alla boni toucouleur
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    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2015 (22:08 PM)
    toucouleur yi nio la guente...tak sa seyou wadior...gnanal ton papa a ts les stades de ta vie...
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    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2015 (22:30 PM)
    quand va t on auditer cheick kante ?????
    Auteur

    S. B Mbodji

    En Novembre, 2015 (01:05 AM)
    Monsieur le commissaire , je suis tres comble de vous voir a la tete de cette police , mais ne restez pas les bras sur la table , et se borner a dire oui au chefs , alors que vous savez tres bien que la police a besoin de moyens pour bien faire son travail , j'espere que ceux que vous avez mis en place ne vous decevrons pas , la police est plene d'agent capable , de policiers tres competant tout grades confondus , par exemple prenez la brigade des moeurs qui couvre toute la region du cap vert, convenez avec moi qu'elle n'a pas de monyens pour donner un resultat probant . Comme dans les autres secteurs rien ne marche dans cette police faute de moyens , vous le savez mieux que tout le monde . faite de cette police si decrier , mal aimee , mais laissez moi vous dire une chose , elle fait partie des meilleurs police du monde , mais faute de moyens , les hommes se decouragent , C'est le cas de la police senegalaise , Maky sall etait le ministre de l'interieur il sait tres bien ce qiue vaut cette police , mais si vous avez la trouille de reclamer a vos chefs ce qu'il faut a cette police pour mieux travailler , si non elle ne fera que du sur place , amorphe , decouragee , et mal soutenue par des chfs qui ont peurs de faire des reclamations devant leurs superieurs voila le grand probleme de la police . Faite des tournees dans les commissariats du senegal , ou tout est vetuste , salle , Allant de la tenue des agents aux materiels de travail , absolument rien qui pourait aider a la bonne marche du travail . Monsieur le directeur de la de la police vous avez remplacer une dame de fer en l'ocurence Anna Semou Faye , faute de moyens elle a fait de son mieu , sinon plus que son mieu elle a donnee de tres bons resultats partout ou elle est passe ,son premier poste a sa sortie de l'ecole de police fut la brigade des moeurs ou elle a laissee de bons souvenirs , malgres le manque de moyens qui existaient en ce temps . Alors je vous souhaite un bon sejour a votre poste , En vous disant que le seule probleme de la police est le manque de moyens , et la dicipline .
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