Une dame nommée Maïmouna D. est décédée à Dalifort lundi 7 novembre, soit trois jours après avoir bu de l’insecticide. Cette femme de ménage s’est suicidée, d’après sa patronne, pour échapper à un mariage avec un homme qu’elle n’aime pas.
Cette histoire allonge la longue liste des cas de suicide relevés ces dernières années à travers le Sénégal. Pour le sociologue Mbaye Coumba Mbodj, le seul coupable est le déficit de communication. «Les gens ne discutent pas, ne communiquent plus avec leurs proches. Chacun est là, physiquement, mais concentré sur son téléphone portable, sans prêter attention à l’autre qui pourrait avoir des soucis», regrette l’expert.
Cette histoire allonge la longue liste des cas de suicide relevés ces dernières années à travers le Sénégal. Pour le sociologue Mbaye Coumba Mbodj, le seul coupable est le déficit de communication. «Les gens ne discutent pas, ne communiquent plus avec leurs proches. Chacun est là, physiquement, mais concentré sur son téléphone portable, sans prêter attention à l’autre qui pourrait avoir des soucis», regrette l’expert.
Mbaye Coumba Mbodj poursuit : «Les gens ne se sentent pas intégrés chez eux. De plus en plus, nous sommes dans une société individualiste où l’indifférence est la marque de fabrique de chacun. Si l’on y prend garde, le suicide sera toujours dans nos foyers et la plupart des familles vont continuer à perdre des proches.»
11 Commentaires
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Mille fois pire au quotidien en Occidental. Drame mondial pour des gens totalement solitaires en désespoir
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En Novembre, 2022 (08:31 AM)Il ne faut pas être un génie pour le comprendre .
La pression sociale, culturelle, les parents qui n'ont aucune sentiments pour leur enfants et qui les abandonnent pour la plupart à leur propre sort.
La société, qui nous impose un code ou style de vie. Il faut pouvoir, avoir des biens de l'argent. L'argent le seul signe de reconnaissance dans ce pays.
Après le cœur du problème est que le sénégalais n'a pas de cœur, il ne sait pas aimer, pas être bons et gentil ni ne communiqué ouvertement ( tout est tabou pour lui). Il y a également une relation de dominant dominé dans ce pays et qui généré aux des frustrations.Le mari dominant et qui impose tout à sa femme qui a le droit que de mouye reck. les parents envers les enfants qui ne pipent pas un mot et ces mêmes vont reproduirent le même schéma plutard avec leurs enfants.
Il faut revoir toute l'éducation des sénégalais et pour ça madame revoyez l'éducation de vos enfants et choisissez bien vos maris. Ne vous mariez pas par dépit ou nakh khalife ou positon sociale. Et arrêtez d'écouter mes parents et les suivent dans leurs bêtises.
Quand les autres pensent "épanouissement des peonnes", en Afrique avec ses dirigeants corrompus on se demande comment manger à sa faim, 3ème mandat, éliminations d'opposants etc
Le Sage
En Novembre, 2022 (11:47 AM)Des qu un enfant a les moyens,il abandonne ses géniteurs qui crèvent dans des EHPAD comme des objets.
La société mettra en avant le bien matériel au détriment de tout code d éthique,de bonne moralité et moeurs ou chacun sera pour soit et Dieu pour tous.
Les enfants n auront plus l éducation nécessaire pour être un bon citoyen
Avec toutes les conséquences morales,matérielles et sécuritaires qui en découlent.