«J’ai été impressionné par les œuvres religieuses, culturelles et scientifiques de la bibliothèque»
Les personnalités politiques et religieuses poursuivent leur ballet dans la ville sainte de Touba, à l’approche du Magal. Ce vendredi, le ministre des Relations extérieures et de la Coopération de l’Union des Comores, a prié à la grande mosquée de Touba, en compagnie du Khalife général et de Serigne Bass Abdou Khadre. L’hôte des autorités religieuses de Touba a profité du Sommet de la francophonie pour répondre à une invitation de son pays pour assister au grand Magal. Dans cet entretien Saïd Shale El Aris se dit très ému des similitudes culturelles entre le Sénégal et les Comores.
Quel est l’objet de votre visite à Touba ?
Nous sommes à Dakar depuis le 26 novembre et nous comptons rester jusqu’à la fin du mois pour assister au Sommet de la francophonie. Et nous avons saisi cette occasion, mes collègues et moi, pour venir à Touba, assister à la prière du vendredi, rendre visite aux citoyens de cette ville, mais aussi aux personnalités religieuses de la cité, particulièrement le Khalife et son porte-parole, Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadre. Avec le porte-parole du Khalife, nous avons parlé de la cérémonie qui va se tenir dans le mois à venir, c’est-à-dire le grand Magal de Touba. Cérémonie à laquelle je suis invité, mais malheureusement, je n’aurai pas le temps de revenir parce que c’est dans dix jours. Mais je suis très honoré d’avoir cette invitation que je compte, s’il plaît à Dieu, à d’autres occasions, venir ici soit dans une cérémonie religieuse, intellectuelle ou culturelle.
1 Commentaires
100% Mouride
En Décembre, 2014 (00:18 AM)Participer à la Discussion