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Serigne Mor Mbaye sur les violences sexuelles – «Nous sommes dans un pays de voleurs»

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Serigne Mor Mbaye
Le sociologue Serigne Mor Mbaye, directeur du Cegid, déconseille aux journalistes de traiter les cas de viol comme des faits divers. S’exprimant lors d’un atelier de sensibilisation des journalistes sur l’impact du traitement journalistique des faits de violences sexuelles sur le bien-être des victimes et de leurs familles, il invite la presse à faire attention quant à la publication des articles portant sur les abus sexuels et leurs conséquences sur les victimes.
Le Cegid (Centre de guidance infantile et familiale), renseigne Serigne Mor Mbaye, a enregistré en deux ans (des) cas de viols dont les victimes n’ont aucun soutien et qui sont tous aussi traumatisées. 

D’où la nécessité, selon lui, de garantir l’effectivité du droit des victimes. «Nous sommes dans un pays de voleurs et l’escroquerie est la base de cette société. Et l’abus sexuel ne doit plus être perçu comme un délit, mais plutôt un crime», a-t-il déclaré.
Selon une enquête menée par l’Unicef, 81% des victimes des violences sexuelles sont des mineurs et 94% des agresseurs sont leurs proches.
Garde des Sceaux, le ministre de la Justice qui a pris part à la rencontre, a fait état de 3000 cas de violences sexuelles qui parviennent, chaque année, aux instances judiciaires.


20 Commentaires

  1. Auteur

    Afrique Li Bre

    En Octobre, 2015 (11:21 AM)
    Je suis pour la République parce que je suis Africain. Je suis pour la démocratie parce que je suis Africain. Je crois que c’est d’abord ça qui fonde notre appel à la démocratie depuis plus de 30 ans. Nous sommes pour la forme de l’Etat républicain parce que nous sommes Africains et, sans la forme républicaine de l’Etat, nous aurions d’énormes problèmes. Et il nous faut accompagner cette forme républicaine par le fonctionnement démocratique des institutions.

    Laurent GBAGBO
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  2. Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (11:21 AM)




    Je ne vois pas le rapport entre PAYS DE VOLEURS et ABUS SEXUELLES.

    Peut-etre voulait-il dire violeurs?



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    Auteur

    Une Afrique Libre

    En Octobre, 2015 (11:26 AM)
    Madame la procureure a dit une phrase qui m’a un peu choqué. En disant que : "nous ne sommes pas là pour voir qui a gagné les élections et qui ne les a pas gagnées". Mais on ne peut pas débattre de la crise postélectorale et ne pas savoir comment les élections se sont passées. Qui a gagné les élections ? (...) Donc la question est là. Qui a gagné les élections ?

    GBAGBO Laurent
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (11:29 AM)
    L’institut Panafricain des Arts Divinatoires IPAD lance une formation

    pour devenir voyant professionnel.

    Cette formation ouverte à tous, prépare et accompagne les personnes qui

    dans un but professionnel souhaite réaliser des consultations de voyance.

    Cette formation propose pendant 10 jours une approche complète du métier

    de voyant en étudiant spécifiquement la numérologie ainsi que le

    fonctionnement de la capacité de voyance.

    Démarrage du stage prévu le 26 octobre 2015

    Les places sont limitées renseignements au 33 823 54 72
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    Auteur

    Qui Vivra Verra

    En Octobre, 2015 (11:30 AM)
    Pendant toutes ces longues années au cours desquelles nous avons si souvent combattu l'arbitraire, l'intolérance et tout simplement l'incompréhension, nous n'avons eu de cesse de proclamer notre foi en la vertu de la liberté, de la démocratie et du partage, comme les meilleurs conditions de la paix tant recherchée par nous tous. Je veux indiquer par mes actes de tous les jours que je crois fondamentalement dans ces valeurs que je place au-dessus de toutes nos contradictions.

    GBAGBO Laurent
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    Auteur

    Qui Vivra Verra

    En Octobre, 2015 (11:30 AM)
    Pendant toutes ces longues années au cours desquelles nous avons si souvent combattu l'arbitraire, l'intolérance et tout simplement l'incompréhension, nous n'avons eu de cesse de proclamer notre foi en la vertu de la liberté, de la démocratie et du partage, comme les meilleurs conditions de la paix tant recherchée par nous tous. Je veux indiquer par mes actes de tous les jours que je crois fondamentalement dans ces valeurs que je place au-dessus de toutes nos contradictions.

    GBAGBO Laurent
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    Auteur

    Qui Vivra Verra

    En Octobre, 2015 (11:31 AM)
    CAMPAGNE DE BOYCOTT DES ELECTIONS.

    Conférence de presse de Mamadou Koulibaly, Boni Claverie, Henri Niava et le FPI au siège de LIDER ce matin..

    Propos de Mamadou koulibaly : La cei est illegale, un ministre comme mabri connait rien de la loi et c'est lui qui viendra nous injurier. Ado,fait tu faux.je suis donc en campagne pour dénoncer la fraude et appeler au boycott. Le boycott doit être actif et les jours à venir seront très durs pour le pays..

    Appretez vous chers camarades au boycott actif.
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    Auteur

    Anonyme Dom Rewmi

    En Octobre, 2015 (11:37 AM)
    Absolument je suis entiérement d'accord avec toi je comprends pas comment le viol est considéré au sénégal comme un délit et non un crime ? surtout un pays qui a voté avec fracas la loi sur la parité et surtout le viol concerne des fillettes agées à peine 13 à 15 ans souvent éléves abusées par leur propre enseignaint .Je pense maitre Sidiki Kaba ministre de la justice fera une loi dans ce sens le viol doit étre un crime . :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal: 
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    Auteur

    Victoire A Mon Afrique

    En Octobre, 2015 (11:47 AM)
    Mot d’ordre du FPI relatif à la Présidentielle du 25 octobre 2015

    Ivoiriennes, Ivoiriens !

    I- Tout est donc joué. Rien n’est donc plus jouable dans une Côte d’Ivoire profondément divisée !

    A la veille de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, en cette année 2015, des formules qui placent les Ivoiriens devant un ultimatum nous viennent à l’esprit :

    - Silence, on vote en Côte d’Ivoire pour porter le chef de l’Etat-candidat à la présidence de la République !

    - Les jeux sont faits. Rien ne va plus. Comme dans un casino !

    - Rompez les rangs ! Circulez, il n’y a rien à voir !

    - Dormez tranquilles. Le chef de l’Etat-candidat à l’élection présidentielle 2015 est déjà élu. Nous maitrisons la situation !

    Tout est donc joué à l’élection présidentielle 2015. Rien n’est donc plus jouable !

    Tout est donc joué ! Rien n’est donc plus jouable dans une Côte d’Ivoire qui devient un long cauchemar confus !

    Tout est donc joué ! Rien n’est donc plus jouable dans une Côte d’Ivoire qui ne s’aime plus quand elle se regarde dans le miroir !

    Tout est donc joué ! Rien n’est donc plus jouable dans une Côte d’Ivoire où les tendances lourdes de la politique montrent surtout un mélange détonant d’apathie civique, de silence prostré et de colère avalée !

    Tout est donc joué ! Rien n’est donc plus jouable dans une Côte d’Ivoire qui sent le soufre et qui fait penser au diable !

    Tout simplement parce que le chef de l’Etat-candidat, M. Alassane Ouattara, a pris le large, comme on le dit dans le Vendée Globe. Il a fait le choix de privilégier le passage en force tant pour les questions liées à son éligibilité que pour celles tenant à l’organisation d’une élection présidentielle juste et transparente, au détriment de la réconciliation.

    En effet, parvenu au pouvoir dans des conditions tragiques, le chef de l’Etat-candidat ne s’est pas transformé en homme d’Etat pour réussir la réconciliation. Il veut la réconciliation par la peur. Il ne veut pas la réconciliation dans l’honneur. Or, la réconciliation est confiance. Elle n’est pas méfiance. Quand on sort d’une guerre, il faut faire la guerre à la guerre. Un Etat moderne est un Etat qui solde la guerre civile atroce en réunissant les deux parties. Réconcilier, c’est accepter de débattre avec sérénité de tous les sujets qui plombent l’avenir d’un pays comme la Côte d’Ivoire. Aussi, ne saurait-il y avoir de sujets qui fâchent.

    Vivre en démocratie, c’est écouter ce qu’on ne veut pas entendre. Or, le chef de l’Etat-candidat veut la réconciliation mais à ses conditions. Cette attitude heurte l’éthique même de la réconciliation. Elle est la poursuite de la guerre. La réconciliation authentique, celle que pratiquent tous les peuples de la terre des hommes, on la fait toujours et partout à conditions partagées. On ne se réconcilie jamais seul parce qu'une partie n'a jamais totalement tort et l'autre, jamais totalement raison. Car c’est dans la contradiction que naît la recherche de la vérité qui vient booster la réconciliation au nom de la paix, facteur de progrès.

    Comment peut-on gagner le développement et la paix si on n’arrive pas à inculquer l’art du vivre ensemble ? “ Vivre ensemble“ n’est-il d’ailleurs pas le slogan qu’affectionne le Rassemblement des Républicains (RDR), ce parti dont M. Alassane Ouattara demeure toujours le président quoique chef de l’Etat ?

    II- L’esprit de compromis et d’ouverture du Président Laurent Gbagbo foulé aux pieds

    Pour recevoir il faut donner, il faut avoir la paume ouverte. Et c’est celui qui est aux commandes de l’Etat qui peut le plus donner. En effet, qui peut appeler à l’union sinon celui qui gouverne ? Le président Laurent Gbagbo l’a si bien compris qu’il a tant donné, même s’il n’a rien reçu en retour. L’essentiel, ici, est qu’il a su se libérer de son idéologie, de son système, de son camp et du Front Populaire Ivoirien (FPI), son parti, pour devenir l’homme de la Nation. Il est resté favorable aux compromis parce que, historien de formation, il sait que c’est ainsi qu’on construit un Etat moderne, une Nation pluriethnique et pluriconfessionnelle. Qui veut faire la réconciliation et la paix doit donc savoir faire des compromis et accepter d’en faire. Le Président Laurent Gbagbo nous a enseignés, par son comportement, son sens de l’éthique et des valeurs, qu’une fois que l’on est au pouvoir et quelles que soient les vexations subies, il faut laisser derrière soi l’amertume, la haine et la vengeance, sinon on reste à jamais leur prisonnier.

    Les négociations pour la réconciliation et la paix sont en elles-mêmes une voie de guérison individuelle et collective, une thérapie. Elles ne peuvent aboutir que si l’on a la volonté de regarder au plus profond de soi-même, dans les replis de son âme pour en extirper les démons qui l’habitent. L’une des choses les plus importantes que le Président Laurent Gbagbo a apprises en négociant la réconciliation et la paix est qu’il devait accepter de se changer lui-même pour pouvoir changer ses interlocuteurs. Car, ils sont des êtres humains, comme lui, avec leurs parcours, leurs mythes, leurs œuvres, leur soif de dignité. En acceptant de se changer lui-même pour changer les autres, dans l’intérêt bien compris de la Nation, le Président Laurent Gbagbo s’est inscrit dans l’histoire de son pays, la Côte d’Ivoire, et non simplement dans celle de son camp qui, du reste, n’est ni séparé ni séparable de la Côte d’Ivoire. En cela, il a su marquer son époque. Il est parvenu à incarner des valeurs et des espérances. Il s’est ainsi hissé au rang d’homme d’Etat.

    Au pouvoir, il a formé un gouvernement si peu ordinaire que l’on pouvait qualifier, à proprement parler, d’équipe de rivaux, avec 72% des portefeuilles ministériels aux mains du Rassemblement des Houphouétistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP, opposition). Pour sa générosité de cœur, son sens de l’humain, son sens du compromis, son esprit d’ouverture, son sens élevé de l’Etat et sa capacité de dépassement, le peuple de Côte d’Ivoire l’a réélu en 2010 mais les mondialisateurs de ce monde sont venus invalider les résultats officiels du Conseil Constitutionnel.

    A l’opposé, la boîte à outils de l’actuel chef de l’Etat-candidat, elle, se réduit à un anti-gbagboisme primaire et obsessionnel, à un optimisme déconnecté du réel. Sous l’œil complaisant et complice des bien-pensants et faiseurs de systèmes, la Côte d’Ivoire est devenue pour les parents, sympathisants ou supposés tels du président Laurent Gbagbo, un Disneyland des horreurs : traques, enlèvements, gel des avoirs, exil, emprisonnements, tortures ou exécutions sommaires et extra judiciaires. Aucune parole, aucun geste du Chef de l’Etat-candidat M. Alassane Ouattara, ne sont venus dissiper le mal vivre des Ivoiriens et extirper la peur immonde qui s’est installée au cœur de leurs vies. C’est dans cette Côte d’Ivoire où le soleil se lève, mais ne brille pas, que survient l’élection présidentielle, ce moment de tous les dangers et ceci même dans un Etat normal.

    Le grossier passage en force du chef de l’Etat-candidat ressemble à la chronique d’un malheur annoncé. En effet, chacun de nous sent, confusément, l’imminence de graves évènements. Il ne peut en être autrement avec un candidat non éligible rendu éligible à la fois par un tour de passe-passe juridique et judiciaire ; avec l’insécurité au coin de la rue, dans les domiciles et autres lieux ; une commission électorale aux ordres, une liste électorale aussi secrète que la formule de Coca-cola, des résultats connus d’avance avec à la clé des pourcentages généreusement octroyés à des candidats selon leur degré d’allégeance à M. Alassane Ouattara et selon leur capacité de nuisance.

    Si la Commission Electorale Indépendante (CEI) ne fait pas l’élection, elle y a une capacité d’influence et de nuisance. Le président de la CEI, M. Youssouf Bakayoko, toujours aux manettes, l’a suffisamment démontré en 2010, par cette tragique et interminable nuit où la Côte d’Ivoire a attendu en vain qu’il fût minuit. Et où l’horloge du temps s’est bloquée à la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne (RTI), selon le bon vouloir de ce président de la CEI et de ses puissants alliés et soutiens, pour se transporter clandestinement et se débloquer subitement à l’Hôtel du Golf, Quartier Général du candidat Alassane Dramane Ouattara.

    En cette année 2015, dans son obsession d’opérer un passage en force, M. Alassane Ouattara et ses appuis ne voient rien venir. C’est pourtant gros comme le point de penalty dans la surface de réparation. Il est même presque établi qu’une victoire dans de telles conditions restera toujours une victoire à la Pyrrhus, éphémère, une victoire d’étape mais sans doute une défaite d’avenir.

    III- Vers la victoire en déchantant.

    En effet, aucune victoire ne peut s’obtenir dans la défaite du processus démocratique. La fin ne justifie pas les moyens, c’est un fondement de la démocratie. L’élection présidentielle à venir, qui voit grandir la défiance de l’électorat, peut être l’évènement fortuit qui fait dégringoler l’échafaudage, par le déchaînement des forces aveugles de violences et de haine. Il est toujours fascinant et inquiétant de voir comment l’histoire peut se mettre en mouvement sur des têtes d’épingle et déclencher une terrible secousse institutionnelle.

    En 2010, dans le dessein funeste de contraindre le Président Laurent Gbagbo à organiser coûte que coûte l’élection présidentielle, l’argument - massue qui devrait laisser tout sceptique sans réplique - était que c’est par les élections générales que la Côte d’Ivoire parviendrait à la paix. Les élections ont été organisées et la Côte d’Ivoire n’est toujours pas en paix, et encore moins réconciliée ! Les mêmes causes perdurant en 2015 risquent de produire les mêmes effets dramatiques. Hélas !

    Au final, la Côte d’Ivoire ne se comprend plus. Il n’y a qu’à regarder les visages des Ivoiriens : même quand ils sourient, les yeux vous disent la douleur. Il n’est pas loin le jour où il nous faudra préparer fleurs et couronnes pour l’enterrement de l’humour, cette carapace protectrice de l’Ivoirien.

    Comme on le voit, l’affliction ivoirienne est profonde et le FPI, toujours aux côtés du Peuple, se doit de lancer un mot d’ordre devant l’urgente nécessité de sauver notre pays.

    IV- Le mot d’ordre du FPI : Barrage par tous les moyens légaux !

    Nous avons un pays à reconstruire, une nation à bâtir. Le FPI, ce parti qui s’inscrit toujours dans l’action responsable, a le devoir de protéger la Côte d’Ivoire d’une aventure sans lendemain. Entre le FPI, le Président Laurent Gbagbo et le Peuple de Côte d’Ivoire, il y a un contrat de confiance à durée illimitée, une fidélité et une loyauté à perpétuité. Le FPI et le Président Laurent Gbagbo portent la Côte d’Ivoire comme un tatouage indélébile. Le FPI estime qu’il n’est ni moral ni éthique de s’octroyer un droit que l’on refuse aux autres.

    En s’arc-boutant sur une éligibilité à controverse, en organisant une élection présidentielle pipée d’avance, le Chef de l’Etat-candidat, M. Alassane Ouattara, prive la Côte d’Ivoire d’une élection juste, ouverte, transparente et apaisée, privant ainsi le FPI, le parti façonné par les élections et pour les élections, du droit de faire campagne à l’élection présidentielle, ce temps fort de respiration démocratique, ce moment de dialogue, d’écoute et de projet dans toute société digne de considération. Pourtant, le FPI qui a un candidat, une audience avérée et un projet, aimerait aussi, à l’instar des autres formations politiques et candidats, aller à la rencontre des populations pour battre campagne et faire triompher son candidat porteur de son projet de société. Par amour pour la Côte d’Ivoire, des Ivoiriennes, des Ivoiriens mais aussi par amour des véritables amis de la Côte d’Ivoire, le FPI qui est l’incarnation des valeurs et des espérances des populations, refuse de se faire le complice et l’accompagnateur bienveillant et docile d’une fraude annoncée.

    Aussi, le FPI se tourne-t-il avec gravité vers le Peuple de Côte d’Ivoire pour lui dire, d’abord les yeux dans les yeux, que le Parti et le Président Laurent Gbagbo ne sont pas candidats à la présente élection présidentielle ; Ensuite, que le Parti et le Président Laurent Gbagbo n’ont pas de candidat à la présente élection présidentielle ; Que le Parti et le Président Laurent Gbagbo ne soutiennent aucun des candidats à la présente élection présidentielle ; Enfin, que le Parti et le Président Laurent Gbagbo n’ont donné aucun mandat à aucun des candidats engagés dans la présente élection présidentielle, à l’effet de les représenter et parler en leur nom en faisant des promesses inconsidérées à tout vent, qui n’engagent qu’eux seuls.

    En conséquence, le mot d’ordre que le FPI lance au Peuple de Côte d’Ivoire est sans ambiguïté aucune : puisque le Chef de l’Etat-candidat, par son passage en force, fait barrage à la participation du Parti du Président Laurent Gbagbo, mais aussi à celle d’autres candidats à l’élection présidentielle 2015, le FPI , à son tour, exhorte instamment le Peuple de Côte d’Ivoire à faire barrage par tous les moyens légaux à l’élection présidentielle du dimanche 25 Octobre 2015. La participation massive au scrutin étant un indicateur primordial de la crédibilité d’une élection, le Peuple de Côte d’Ivoire a le devoir d’ôter à l’élection présidentielle 2015, toute sa crédibilité en observant le présent mot d’ordre. Nulle personne aimant la Côte d’Ivoire, à quelque niveau que ce soit, ne doit se mettre en marge de ce mot d’ordre ou ruser avec lui.

    L’heure n’est donc plus aux temps des hésitations, des calculs, des doutes et de la peur. Nous voici maintenant au temps de la conviction, de la foi, de la cohérence et de l’engagement. Les Peuples et les marchés financiers ont un point commun : une fois lancés, on ne les arrête plus.

    En lançant d’abord le mot d’ordre de faire barrage à l’élection présidentielle par tous les moyens légaux, le FPI est convaincu en cela qu’avec l’adhésion du Peuple, l’échec est peu probable ; mais sans cette adhésion, rien ne peut réussir.

    En lançant ensuite, le mot d’ordre de faire barrage à l’élection présidentielle par tous les moyens légaux, le FPI préfère prendre les devants avant que les devants ne le prennent, comme on dit en Martinique.

    Peuple de Côte d’Ivoire,

    Avec le respect scrupuleux et responsable du mot d’ordre, « Nous aurons raison parce que nous avons raison » (Anatole France). Nous avons raison parce que nous sommes dans la vérité historique. Or, « Il y a quelque chose de plus fort que toutes les armées du monde, c’est l’idée dont l’heure a sonné » (Victor Hugo). Et l’idée dont l’heure a sonné est que la Côte d’Ivoire refuse que son destin se décide ailleurs et par d’autres.

    Le FPI sait que l’avenir nous réserve la joie, la paix et l’épanouissement. IL est tranquille et serein parce qu’il sait que la Côte d’Ivoire se réveillera avec un jour nouveau. La Côte d’Ivoire sera un grand pays qui va donner à l’Afrique et au monde l’exemple d’un Peuple soudé, formé et fort.

    Il y a toujours une clarté dans les ténèbres pour celui qui sait voir. Or, Ivoiriens, vous savez voir loin.

    Salomon a dit cette phrase : « Aussi longue que soit la nuit, le jour se lève toujours ». Dans la lutte et dans l’espoir, salutations affectueuses à toutes et à tous.

    Sangaré Abou Drahamane,

    Membre fondateur du FPI

    Premier Vice-président assurant l’intérim

    du Président du FPI Laurent Gbagbo

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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (11:53 AM)
    L’institut Panafricain des Arts Divinatoires IPAD lance une formation

    pour devenir voyant professionnel.

    Cette formation ouverte à tous, prépare et accompagne les personnes qui

    dans un but professionnel souhaite réaliser des consultations de voyance.

    Cette formation propose pendant 10 jours une approche complète du métier

    de voyant en étudiant spécifiquement la numérologie ainsi que le

    fonctionnement de la capacité de voyance.

    Démarrage du stage prévu le 26 octobre 2015

    Les places sont limitées renseignements au 33 823 54 72
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (12:08 PM)
    Est ce qu'il n'est pas le plus grand voleur ?
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    Auteur

    Maandou

    En Octobre, 2015 (13:22 PM)
    Il faut savoir raison garder. Notre pays n'est ni un pays de voleurs encore moins de violeurs. Cependant, il y a des cas de vols et de viols de plus en plus relayés par la presse.



    Les mots ont leur sens. Psychologue n'est fou, seulement le voisinage est contagieux.



    Alors attention de ne pas glisser.

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    Auteur

    Kaolackois

    En Octobre, 2015 (13:26 PM)
    Hier au journal de 20 h de la RTS, l'élément sur les unités de filtrage d'eau de la SDE pour la consommation était très intéressant. C'est vrai que les kaolackois commencent à s'interesser à cette forme de distribution. Cependant, on ne doit pas les laisser se développer sans contrôle. Certaines unités ne vendent que l'eau sortie de l'osmose inverse. Alors que cette eau est vraiment pauvre en oligo éléments ( sels minéraus et autres ). Donc il faut la revitaliser pour qu'elle soit bonne comme boisson pour la consommation, si non, cette eau est faite pour les machines, radiateur et autres, comme l'explique le Monsieur qui tient une unité dans le reportage. Donc les gens doivent faire très attention.
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (14:25 PM)
    seneweb apprenez dabord a vos copieurs dessayer au moins de savoir faire le resume dun article meme si on ne la pas ecrit...c du nimporte sans tete ni queue
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (14:31 PM)
    QUESTION: UN PAYS OU LA MAJORITE DES VIEUX EST PEDOPHILE VOLEUR OU VIOLEUR PEUT IL ETRE CONTRE DES ACTES CONTRE NATURE? DEUX POIDS DEUX MESURES OU HYPOCRISIE? :interrogation:  :fbhang: 
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    Auteur

    L'éclaireur

    En Octobre, 2015 (15:22 PM)
    Serigne Mor Mbaye est psychologue non pas sociologue, les journalistes sénégalais ont du mal à distinguer psychologue et sociologue. Qu'ils ne comptent sur moi pour la leur apprendre. Ceci étant, il faut savoir raison garder dans l'usage des boutades surtout quand on est psy, il n'y a rien comme base scientifique qui pourrait permettre de déclarer que nous sommes dans un pays de voleur ou de violeur. On ne vole ou viole pas au Sénégal plus qu'ailleurs. Ayons une politique répressive luttons contre ces actes mais soyons mesurés dans les propos.
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    Auteur

    Moi-même

    En Octobre, 2015 (09:13 AM)
    ils ont oublié le i dans violeurs et c'est une omission volontaire parce que effectivement beaucoup ont déjà violés ou touchés abusivement leurs soeurs, nièces, petites soeurs, ou même leurs propres épouses les vilains petits canards
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (11:30 AM)
    Non, non, c'est les touristes toubabs qui sont responsable de la dégradation des moeurs des purs, fiers et vaillants sénagalais. Ils amènent avec eux leur dépravation que ne connaissaient pas les sénégais d'autrefois. Yalla baxne, il n'y a plus de touristes  <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/cool.gif" alt=":cool:">  
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (13:32 PM)
    Cette parenthese de voleurs-escros n'a pas sa place dans le texte.
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    Auteur

    Ong Cegid

    En Octobre, 2015 (14:22 PM)
    Chers internautes,





    Le CEGID souhaite apporter des précisions suite à la publication de cet article.





    Il a été produit dans le contexte d’un atelier de sensibilisation organisé par l’ONG CEGID (Centre de Guidance Infantile et Familiale) en partenariat avec l’Ambassade de Suisse.





    L’atelier portait sur la thématique suivante : l’impact du traitement journalistique des faits de violences sexuelles sur le bien-être des victimes et de leurs familles.







    Les propos repris dans cet article sont issus d’une longue interview du Pr. Serigne Mor MBAYE ayant abordé, en marge, des sujets plus larges.







    Titré ainsi, il dénature le contenu essentiel de l’interview et le message qu’il souhaitait faire passer et qui portait principalement sur le traitement médiatique des faits de violences et de la posture que devraient avoir les journalistes lors de la publication de leur article (déclasser les violences sexuelles des faits divers, neutralité des journalistes, respect de la présomption d’innocence de l’auteur, respect de la victime et de ses souffrances, non utilisation de termes érotisés et provocateurs etc). Le Pr. MBAYE a également mis l’accent lors de son interview sur l’impact psychologique grave que les publications scénarisées et non respectueuses des individus ont sur les victimes et leurs familles ainsi que sur les auteurs. La majorité des familles et des enfants victimes reçus au CEGID sont lourdement affectés par les articles de presse (envie suicidaire, déménagement du quartier etc).Il a également insisté sur le fait que l’Etat était responsable des conséquences graves de ce type de publication sur le bien-être des victimes.







    En outre, une rectification importante doit être apportée : le Ministre de la justice n’a pas pris part à cette rencontre. L’équipe du CEGID a seulement partagé avec les journalistes les chiffres donnés par le Ministre en 2014 sur le nombre de cas de viol recensé au Sénégal dans les institutions judiciaires.







    Cordialement







    L’équipe du CEGID
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