Cette chaude et douce friction entre les corps n’enrichit pas seulement nos esprits et nos cœurs, elle enrichit aussi nos âmes. Trop souvent, le sexe est vu comme un acte dénué de sens ou même mauvais, commis par deux personnes incapables de se contrôler, ou alors uniquement comme un moyen vers une fin : des bébés !
On peut défendre l’idée qu’avoir un orgasme est une expérience spirituelle très forte. Quand cela t’arrive avec un partenaire avec qui tu te sens aimée, apaisée et en sécurité, c’est une expérience encore plus extraordinaire, car cette relation unique te fait prendre conscience du caractère incroyable de l’acte sexuel et de la beauté et de la force des corps comme chose sacrée.
Le point G, cette zone découverte depuis 1940 !
Notons que le point G est une réalité puisque c’est un gynécologue allemand, Ernest Grafenberg, qui l’a formellement identifié dans les années 1940 alors que tout le monde avait la tête ailleurs, en raison de l’actualité guerrière du moment. Selon lui, le point G serait une zone du vagin, située à environ 2,5 cm de l’entrée, reconnaissable à son aspect bombé et sa muqueuse un peu plus râpeuse que sur les autres zones de cette partie intime. Si la science le dit, c’est donc que c’est vrai. Il n’y a plus qu’à chercher…
Beaucoup d’entre nous ont subrepticement cherché ce point G quand leur chéri tournait le dos. En vain ! Soit on s’y prend mal parce que la quête de ce Graal sexuel nous met mal à l’aise – et là, on a bien tort -, soit on ne le trouve pas parce que c’est un grand timide qui ne se montre que quand on a besoin de lui. Autrement dit, le point G peut n’être perceptible que lorsqu’il se gonfle d’excitation parce qu’on est bien occupée ailleurs. La solution ? Quand la température monte, il est temps de chercher ce « passage secret » à tâtons, comme un jeu sexuel suggestif…
Rechercher le point G à deux !
L’union fait la force, c’est bien connu ! Alors plutôt que de chercher toute seule, dans le noir, essayons plutôt d’inviter notre chéri à faire de douces trouvailles. Disposé à répondre à nos attentes ? Ne restons pas sur nos (mauvaises) positions. Pas question de jouer les timides : à quatre pattes, les fesses relevées et les reins creusés, on s’offre à la caresse de notre homme. Lequel devra oublier sa tendance naturelle à l’ascension sociale et viser plutôt les sous-sols. En massant la partie basse, il devrait sentir une zone bien délimitée, de la taille d’une pièce de monnaie, réagir assez vite à ses sollicitations. A condition d’y aller à pas de loup : une caresse suggestive et lente fera mieux qu’un grattage excité comme un jour de tirage du gros lot (...)
L’imaginaire collectif, le point G, c’est le nec plus ultra en matière de préliminaires. Sans doute. Mais le reléguer au seul lever de rideau a souvent pour effet de l’inhiber au point qu’il ne se découvre aucune raison de jouir de son existence. Notamment pendant la pénétration. Or, à ce stade, le point G sait se rendre utile.
Une fois qu’on l’a « logé » à peu près pendant les préliminaires, on ferme les yeux pour bien visualiser son emplacement et on positionne son bassin vers l’arrière de manière à provoquer de nombreuses rencontres inopinées entre le point G et le pénis. Et plus si affinités. L’une des positions qui permet les meilleures performances est le chevauchement inversé (on tourne le dos à notre chéri en position d’amazone…).
Le sexe, c’est comme la musique, ça s’apprend. On s’initie au solfège du corps en apprenant à reconnaître les touches sensibles, les zones qui mettent un bémol au plaisir ou celles qui, comme un dièse, le rehaussent. Et pour progresser en faisant des gammes routinières, tout artiste du genre doit s’impliquer, rechercher une sonorité particulière à chaque caresse sur les « touches » pour que les gammes améliorent la qualité du jeu. Il ne faut pas s’attendre à descendre la barre du métronome à pleine vitesse dès la première exécution, mais à gagner, cran après cran, la virtuosité qui procure une grande jouissance.
Sachez que nous sommes égaux devant le droit de jouir !
Nous sommes tous égaux en droits et notamment devant le droit de jouir. Mais pas vraiment égaux devant le plaisir. Parce que l’on traîne avec soi toutes sortes de freins culturels, psychologiques ou physiques. Si nos sens sont tout à fait capables de nous envoyer au septième ciel, notre cerveau fait souvent obstacle au plaisir. Il va nous falloir du temps pour dénouer les nœuds de notre histoire personnelle qui entravent notre jouissance à fond de cale. Pourtant, du temps, on en a si l’on ose enfin s’autoriser à prendre du « bon » temps. En se mettant chaque jour au défi de gagner un peu de terrain sur nos inhibitions, notre point G ne pourra bientôt plus se cacher derrière une muraille imprenable. Nous sommes toutes programmées pour le plaisir, qu’on se le dise !
35 Commentaires
Ass
En Juillet, 2011 (01:28 AM)Sweet
En Juillet, 2011 (01:29 AM)Goudi
En Juillet, 2011 (01:58 AM)Door Mou Danou
En Juillet, 2011 (02:10 AM)Edaw
En Juillet, 2011 (02:16 AM)Keumbeul
En Juillet, 2011 (02:25 AM)Stromae
En Juillet, 2011 (03:10 AM)Khalif General
En Juillet, 2011 (03:24 AM)Zzzz...
En Juillet, 2011 (03:44 AM)Paroles d'idiot. Il arrive parfois a la la "science" de se tromper.
Thioga
En Juillet, 2011 (04:34 AM)Adm Seneweb....
En Juillet, 2011 (07:25 AM)!!!!!!!
En Juillet, 2011 (07:52 AM)@niaf
En Juillet, 2011 (07:56 AM)Mame
En Juillet, 2011 (08:21 AM)Says
En Juillet, 2011 (08:21 AM)NIAF yay saysay !!!
NIAF yay saysay !!!
Acd
En Juillet, 2011 (08:40 AM)@niaf @niaf
En Juillet, 2011 (09:08 AM)Aïcha
En Juillet, 2011 (09:11 AM)Senegal Nekh Na
En Juillet, 2011 (09:18 AM)Nafi
En Juillet, 2011 (09:31 AM)Reply_author
En Avril, 2022 (15:22 PM)Broooo
En Juillet, 2011 (09:44 AM)Mlchel
En Juillet, 2011 (10:03 AM)Le sexe est un plaisir infiniment grand. Et chaque jour le plaisir n'est pas le même.
Ne dit on pas quand c'est doux c'est bon ?
Bon appetit!
Fantis
En Juillet, 2011 (10:04 AM)Beaucoup, même vos prof d'université, complètent leur connaissance sur le ne, l essentiel c est d informer juste, d'éduquer
Taala
En Juillet, 2011 (10:21 AM)July 7th, 2011 admin
Ce fameux lieu de la jouissance suprême relève-t-il du fantasme ou peut-on espérer le dénicher un jour ? La réponse en 6 étapes à tester sans hésiter.
1. ETAPE 1 : FAIRE CONFIANCE À LA SCIENCE !
Le point G, mythe ou réalité ? Réalité, forcément, puisque c’est un gynécologue allemand, Ernest Grafenberg, qui l’a formellement identifié dans les années 1940 alors que tout le monde avait la tête ailleurs, en raison de l’actualité guerrière du moment. Selon lui, le point G serait une zone du vagin, située à environ 2,5 cm de l’entrée, reconnaissable à son aspect bombé et sa muqueuse un peu plus râpeuse que sur les autres zones de cette partie intime. Si la science le dit, c’est donc que c’est vrai. Il n’y a plus qu’à chercher…
2. ETAPE 2 : CHERCHER AU BON MOMENT
Beaucoup d’entre nous ont subrepticement cherché ce point G quand leur chéri tournait le dos. En vain ! Soit on s’y prend mal parce que la quête de ce Graal sexuel nous met mal à l’aise – et là, on a bien tort -, soit on ne le trouve pas parce que c’est un grand timide qui ne se montre que quand on a besoin de lui. Autrement dit, le point G peut n’être perceptible que lorsqu’il se gonfle d’excitation parce qu’on est bien occupée ailleurs. La solution ? Quand la température monte entre Jules et nous, il est temps de chercher ce « passage secret » à tâtons, comme un jeu sexuel suggestif…
3. ETAPE 3 : TRAQUER LES BONNES VOLONTÉS
L’union fait la force, c’est bien connu ! Alors plutôt que de chercher toute seule, dans le noir, essayons plutôt d’inviter notre chéri à faire de douces trouvailles. Disposé à répondre à nos attentes ? Ne restons pas sur nos (mauvaises) positions. Pas question de jouer les timides : à quatre pattes, les fesses relevées et les reins creusés, on s’offre à la caresse de notre homme. Lequel devra oublier sa tendance naturelle à l’ascension sociale et viser plutôt les sous-sols. En massant la partie basse, il devrait sentir une zone bien délimitée, de la taille d’une pièce de monnaie, réagir assez vite à ses sollicitations. A condition d’y aller à pas de loup : une caresse suggestive et lente fera mieux qu’un grattage excité comme un jour de tirage du gros lot.
4. ETAPE 4 : DÉPASSER LES PRÉLIMINAIRES
Dans l’imaginaire collectif, le point G, c’est le nec plus ultra en matière de préliminaires. Sans doute. Mais le reléguer au seul lever de rideau a souvent pour effet de l’inhiber au point qu’il ne se découvre aucune raison de jouir de son existence. Notamment pendant la pénétration. Or, à ce stade, le point G sait se rendre utile.
Une fois qu’on l’a « logé » à peu près pendant les préliminaires, on ferme les yeux pour bien visualiser son emplacement et on positionne son bassin vers l’arrière de manière à provoquer de nombreuses rencontres inopinées entre le point G et le pénis. Et plus si affinités. L’une des positions qui permet les meilleures performances est le chevauchement inversé (on tourne le dos à notre chéri en position d’amazone…).
5. ETAPE 5 : FAIRE SES GAMMES !
Le sexe, c’est comme la musique, ça s’apprend. On s’initie au solfège du corps en apprenant à reconnaître les touches sensibles, les zones qui mettent un bémol au plaisir ou celles qui, comme un dièze, le rehaussent. Et pour progresser en faisant des gammes routinières, tout artiste du genre doit s’impliquer, rechercher une sonorité particulière à chaque caresse sur les « touches » pour que les gammes améliorent la qualité du jeu. Il ne faut pas s’attendre à descendre la barre du métronome à pleine vitesse dès la première exécution, mais à gagner, cran après cran, la virtuosité qui procure une grande jouissance.
6. ETAPE 6 : CROIRE EN SA BONNE ÉTOILE
Nous sommes tous égaux en droits et notamment devant le droit de jouir. Mais pas vraiment égaux devant le plaisir. Parce que l’on traîne avec soi toutes sortes de freins culturels, psychologiques ou physiques. Si nos sens sont tout à fait capables de nous envoyer au septième ciel, notre cerveau fait souvent obstacle au plaisir. Il va nous falloir du temps pour dénouer les nœuds de notre histoire personnelle qui entravent notre jouissance à fond de cale.
Pourtant, du temps, on en a si l’on ose enfin s’autoriser à prendre du « bon » temps. En se mettant chaque jour au défi de gagner un peu de terrain sur nos inhibitions, notre point G ne pourra bientôt plus se cacher derrière une muraille imprenable. Nous sommes toutes programmées pour le plaisir, qu’on se le dise !
TopSante
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Tendance : Ces filles qui se font entretenir par des big boss ; grand appartement, villa, voiture, m...
Taala
En Juillet, 2011 (10:25 AM)SEXE : 6 ÉTAPES POUR TRAQUER VOTRE POINT G
July 7th, 2011 admin
Ce fameux lieu de la jouissance suprême relève-t-il du fantasme ou peut-on espérer le dénicher un jour ? La réponse en 6 étapes à tester sans hésiter.
1. ETAPE 1 : FAIRE CONFIANCE À LA SCIENCE !
Le point G, mythe ou réalité ? Réalité, forcément, puisque c’est un gynécologue allemand, Ernest Grafenberg, qui l’a formellement identifié dans les années 1940 alors que tout le monde avait la tête ailleurs, en raison de l’actualité guerrière du moment. Selon lui, le point G serait une zone du vagin, située à environ 2,5 cm de l’entrée, reconnaissable à son aspect bombé et sa muqueuse un peu plus râpeuse que sur les autres zones de cette partie intime. Si la science le dit, c’est donc que c’est vrai. Il n’y a plus qu’à chercher…
2. ETAPE 2 : CHERCHER AU BON MOMENT
Beaucoup d’entre nous ont subrepticement cherché ce point G quand leur chéri tournait le dos. En vain ! Soit on s’y prend mal parce que la quête de ce Graal sexuel nous met mal à l’aise – et là, on a bien tort -, soit on ne le trouve pas parce que c’est un grand timide qui ne se montre que quand on a besoin de lui. Autrement dit, le point G peut n’être perceptible que lorsqu’il se gonfle d’excitation parce qu’on est bien occupée ailleurs. La solution ? Quand la température monte entre Jules et nous, il est temps de chercher ce « passage secret » à tâtons, comme un jeu sexuel suggestif…
3. ETAPE 3 : TRAQUER LES BONNES VOLONTÉS
L’union fait la force, c’est bien connu ! Alors plutôt que de chercher toute seule, dans le noir, essayons plutôt d’inviter notre chéri à faire de douces trouvailles. Disposé à répondre à nos attentes ? Ne restons pas sur nos (mauvaises) positions. Pas question de jouer les timides : à quatre pattes, les fesses relevées et les reins creusés, on s’offre à la caresse de notre homme. Lequel devra oublier sa tendance naturelle à l’ascension sociale et viser plutôt les sous-sols. En massant la partie basse, il devrait sentir une zone bien délimitée, de la taille d’une pièce de monnaie, réagir assez vite à ses sollicitations. A condition d’y aller à pas de loup : une caresse suggestive et lente fera mieux qu’un grattage excité comme un jour de tirage du gros lot.
4. ETAPE 4 : DÉPASSER LES PRÉLIMINAIRES
Dans l’imaginaire collectif, le point G, c’est le nec plus ultra en matière de préliminaires. Sans doute. Mais le reléguer au seul lever de rideau a souvent pour effet de l’inhiber au point qu’il ne se découvre aucune raison de jouir de son existence. Notamment pendant la pénétration. Or, à ce stade, le point G sait se rendre utile.
Une fois qu’on l’a « logé » à peu près pendant les préliminaires, on ferme les yeux pour bien visualiser son emplacement et on positionne son bassin vers l’arrière de manière à provoquer de nombreuses rencontres inopinées entre le point G et le pénis. Et plus si affinités. L’une des positions qui permet les meilleures performances est le chevauchement inversé (on tourne le dos à notre chéri en position d’amazone…).
5. ETAPE 5 : FAIRE SES GAMMES !
Le sexe, c’est comme la musique, ça s’apprend. On s’initie au solfège du corps en apprenant à reconnaître les touches sensibles, les zones qui mettent un bémol au plaisir ou celles qui, comme un dièze, le rehaussent. Et pour progresser en faisant des gammes routinières, tout artiste du genre doit s’impliquer, rechercher une sonorité particulière à chaque caresse sur les « touches » pour que les gammes améliorent la qualité du jeu. Il ne faut pas s’attendre à descendre la barre du métronome à pleine vitesse dès la première exécution, mais à gagner, cran après cran, la virtuosité qui procure une grande jouissance.
6. ETAPE 6 : CROIRE EN SA BONNE ÉTOILE
Nous sommes tous égaux en droits et notamment devant le droit de jouir. Mais pas vraiment égaux devant le plaisir. Parce que l’on traîne avec soi toutes sortes de freins culturels, psychologiques ou physiques. Si nos sens sont tout à fait capables de nous envoyer au septième ciel, notre cerveau fait souvent obstacle au plaisir. Il va nous falloir du temps pour dénouer les nœuds de notre histoire personnelle qui entravent notre jouissance à fond de cale.
Pourtant, du temps, on en a si l’on ose enfin s’autoriser à prendre du « bon » temps. En se mettant chaque jour au défi de gagner un peu de terrain sur nos inhibitions, notre point G ne pourra bientôt plus se cacher derrière une muraille imprenable. Nous sommes toutes programmées pour le plaisir, qu’on se le dise !
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En Juillet, 2011 (21:20 PM)Participer à la Discussion