La partie civile balaie d'un revers de main ses allégations. Car lorsqu'elle s'est rendue à la parcelle, sise à Sangalkam, l'officier de la gendarmerie avait déjà construit la fondation d'un bâtiment et une pancarte sur laquelle est inscrit "Agbo" y était fixée. C'est par la suite qu'elle a saisi un huissier pour faire le constat avant de déposer une plainte depuis 2014. Comme Agbo a nié être propriétaire du terrain, l'avocat de la partie civile a demandé qu'on lui en donne acte.
Quant à la défense, elle dénonce une citation abusive. Elle explique le retard du procès par le fait que l'officier supérieur de la gendarmerie était en mission onusienne de 2014 à 2017. Considérant la plainte comme un abus, la robe noire demande une réparation du préjudice et réclame la somme de 6 millions Fcfa. Le verdict est attendu le 14 novembre prochain.
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