Le gérant des Blackburn Rovers, Steve Kean, a indiqué vendredi que l’ancien international sénégalais El Hadj Ousseynou Diouf, 29 ans, ne fera pas partie de son équipe pour la saison prochaine, souhaitant une offre avant la fin de la période des transferts. « Il ne sera pas impliqué dans notre équipe. Il apparaît de temps en temps. Nous essayons de prendre une nouvelle direction avec les nouveaux joueurs que nous tentons de recruter dans le club », a déclaré M. Kean, qui a toutefois salué l’apport de Diouf à son club. « Il a toujours été super pour nous. A chaque fois que nous avons besoin de son aide, il a été très efficace dans les buts. Mais avec l'apparition de joueurs plus jeunes, nous ne voulons pas qu’il reste ici sans jouer », a-t-il ajouté. Diouf a été informé de la décision et ne l’a pas mal pris, a-t-il indiqué par ailleurs.
Selon de nombreux tabloïds anglais, habitués aux frasques du Bad Boy sénégalais, son côté « méchant» ne serait pas étranger à ce départ précipité de Blackburn. Dernier exemple cité, il aurait raillé le buteur des Queens Park Rangers Jamie Mackie, alors que ce dernier était couché sur le sol victime d’une fracture, lors d’un mach de Coupe de la FA, à Edwood Park.
70 Commentaires
Lui Même
En Août, 2011 (17:39 PM)-Bêtte comme YAWOU DIAL
-Conne comme KOUTHIA
-Idiotte comme SANNEX
ABDOULAYE WADE est,et restera votre chef pr tjs.
*Vive ABDOULAYE WADE,
le meilleur président du sénégal de tt les tps.
*Vive KARIM WADE,
le futur président du sénégal après son père.
*Vive FARBA SENGHOR,
le vrai serviteur du maitre.
Reply_author
En Juillet, 2022 (14:59 PM)SONKO ne peut rencontrer MBALLO qu'autour des thèmes suivants :
1. le troisième mandat
2. les legislatives
3 la situation en Casamance
4. L'affaire Adji SARR
Connaissant Macky , il n'accepeterait jamis qu'un Chef d'Etat étranger en visite au Sénégal puisse parler des trois premiers thèmes .En conséquence, seul l'affaire ADJI SARR pourrait tere au centre de leur rencontre
Deugs
En Juillet, 2022 (16:58 PM)[email protected]
En Août, 2011 (17:40 PM)Lemz
En Août, 2011 (17:40 PM)Lipo
En Août, 2011 (17:40 PM)Nagoo
En Août, 2011 (17:41 PM)Eto mom mougui lal 20 million d euro par an mais xolal defoul bena commentaire
El Diouf
En Août, 2011 (17:41 PM)Ok
En Août, 2011 (17:42 PM)Patisco
En Août, 2011 (17:42 PM)Vive wade et ses alliés 75% au premier tour
Grdballack
En Août, 2011 (17:45 PM)Reply_author
En Juillet, 2022 (14:30 PM)Reply_author
En Juillet, 2022 (14:30 PM)Fra
En Août, 2011 (17:45 PM)Ndiaganiao
En Août, 2011 (17:46 PM)wade dolignou yow lagnou gueum ya niou doy thia kaw thia kanam rek
Aucun souci wade le peuple est avec toi
El NiÑo
En Août, 2011 (17:48 PM)Tarkhis
En Août, 2011 (17:50 PM)Lass
En Août, 2011 (17:51 PM)Damis
En Août, 2011 (17:52 PM)Shoot for the moon and even if you fail you'll land with the stars
Bonne chance Diouf
Des
En Août, 2011 (17:57 PM)Labara
En Août, 2011 (17:58 PM)Kayfi
En Août, 2011 (18:02 PM)Juste Passant
En Août, 2011 (18:07 PM)Leuk
En Août, 2011 (18:09 PM)C'est bien ce qui lui arrive : il a une trop grande gueule et ses frasques tout le monde les connaît.
Ce n'est pas parce que tu as de l'argent qu'il faut faire le malin et te comporter comme un enfant gâté.
Allez hop, tu vas pouvoir entraîner les cadets de l'équipe du Sénégal, lol
Yourgun
En Août, 2011 (18:12 PM)Koumen
En Août, 2011 (18:26 PM)Senegaaaaaaaal
En Août, 2011 (18:33 PM)merci Diouf et laisse la place à d'autres jeunes qui ont plus de merités que toi.
@diouf
En Août, 2011 (18:37 PM)Angola Battu !!
En Août, 2011 (18:51 PM)Bakkr
En Août, 2011 (18:59 PM)Aso
En Août, 2011 (18:59 PM)La Gazette
En Août, 2011 (19:07 PM)POURQUOI LA DEGRADATION PREMATUREE ?
Les infrastructures routières, au Sénégal, ont ceci en commun : elles se détériorent quelque temps après leur réalisation. Jusqu’à créer un malaise dans le milieu du Btp et au plus haut sommet de l’Etat, le maître d’ouvrage. Qu’est-ce qui explique ces errements ? Les réponses fournies à cet effet à La Gazette par des techniciens du Btp sont édifiantes
La scène s’est passée en 2002 sur la Route Nationale numéro 1 (RN1), à hauteur de Diouroup (20 kilomètres de Fatick). Le président Abdoulaye Wade, en tournée dans le Sine-Saloum, donne l’ordre au cortège de s’arrêter. Aussitôt dit, aussitôt fait. Il sort de sa voiture, touche l’asphalte étalé sur la chaussée « garnie » de nids-de-poules et lance : « Désormais, je veux des routes dont la capacité de résistance est d’au moins 50 ans. Je demande à tous les démembrements de l’Etat du Sénégal à s’engager pour relever ce défi ». Le projet est ambitieux, mais fait sourire les « hommes de l’art » qui indiquent que « c’est utopique de penser à réaliser au Sénégal une route dont la durée de vie dépasse au plus 15 ans ». Abdoulaye Mbodji, directeur technique de l’entreprise Jean Lefebvre Sénégal (Jls) s’offusque d’emblée : « Quand le président Wade disait qu’il allait faire des routes dont la durée de vie est de 50 ans, on savait que c’était des blagues ». Car selon les techniciens du Btp, la durée de vie maximale d’une route ne dépasse pas 15 ans. L’ambition du président Wade est-elle alors une simple déclaration d’intention ou une folie de grandeur démesurée ? On peut le penser en raison du fait que des initiatives ont été prises depuis cette date, mais, le défi est, jusque-là, loin d’être relevé.
La plupart des routes qui ont vu le jour ces dernières années, se sont détériorées en l’espace de quelques années, pour ne pas dire, quelques mois. Les exemples de la route Fatick-Kaolack, de Kaolack-Mbirkilane, de Bargny-Fass Mbao (pour ne citer que celles-là) sont patents. Pourquoi les routes ne tiennent-elles donc pas longtemps au Sénégal ? Les réponses sont multiples et diverses, mais un fait reste constant : Au Sénégal, comme dans beaucoup de pays africains, la construction de routes se fait sans normes. Elle se fait « avec des manquements allant de la conception des cahiers de charges à la maintenance (entretien) des infrastructures routières, en passant par l’exécution des travaux ». Il y a alors une grande possibilité de verser dans la médiocrité. Loin des critères d’excellence qui caractérisent un ouvrage fait « dans les règles de l’art ». Les infrastructures routières du Sénégal, ont fini de montrer des carences dues à des erreurs dans la conception répertoriées dans les dossiers des cahiers de charges, à des matériaux inadaptés, à une mauvaise exécution des travaux ou à un manque d’entretien des ouvrages…
ERREMENTS DANS LES TECHNIQUES UTILISEES
Dans la conception des cahiers de charges, on peut déceler deux séries de problèmes. Si l’Etat ou tout simplement le client a besoin de se faire construire une route, ce sont d’abord, les bureaux d’études qui soumissionnent. Dès qu’un bureau d’études gagne le marché, il élabore un cahier de charges basé sur les investigations menées sur le terrain. Si donc, il y a manquements à la conception, le jeu est faussé dès le départ. Or, le hic des bureaux d’études sénégalais est qu’ils se basent le plus souvent sur du « déjà fait ». « Nous travaillons en étroite collaboration avec les bureaux d’études, mais, il faut noter que les dossiers d’appels d’offres de la plupart de ces bureaux d’études sont faits sur la base de résultats réchauffés. Ils ne font que du « copier/coller » », regrette Abdoulaye Mbodji, directeur technique de l’entreprise Jean Lefebvre/Sénégal. Dans un langage moins codé, lorsque, dans une course, on fausse le départ, il est évident qu’on la perd d’avance. Si les techniciens des bureaux d’études ne prennent pas la peine de faire des études globales sérieuses de terrain pour déterminer les matériaux, les dimensionnements et les modules adéquats pour faire la conception des ouvrages, les conséquences ne peuvent qu’être néfastes quant à la qualité des ouvrages.
Sur le plan technique, les prescriptions entre différents acteurs de la construction routière sont toujours contradictoires. La voie est donc ouverte aux contre-performances ! Les différents acteurs « ne s’appuient jamais sur une connaissance locale et avérée des performances mécaniques des matériaux locaux », notamment les graveleux latéritiques. Les valeurs très dispersées données aux caractéristiques élastiques des matériaux, comme le module de déformation dans les rapports techniques des Dossiers d’Appel d’Offres (Dao), sont des éléments assez illustratifs. Sur les routes renforcées du Sénégal, la plupart des couches de base traitées au ciment subissent des déformations intenses ou atteignent une place de rupture prématurée. Il y a alors un problème avec les méthodes de dimensionnement utilisées au Sénégal. Cela démontre qu’en matière d’études routières, il n’y a pas de spécifications sérieuses appliquées comme normes auxquelles il doit être fait référence pour la latérite-ciment. Ces constations sont aussi valables dans les méthodologies d’approches des sols de plate-forme. Et à ce niveau, les techniques d’études des sols support sont aussi variées que les Bureaux d’études chargés d’effectuer les travaux routiers.
L’emploi de modules élevés diminue considérablement les épaisseurs de mise en œuvre et corrélativement les coûts d’exécution dans un projet. Leur surévaluation entraîne des épaisseurs de chaussée faible, donc un sous-dimensionnement des ouvrages. Le choix du module de la latérite améliorée au ciment et de sa résistance en flexion est déterminant dans l’application du dimensionnement rationnel aux structures routières. Ceci pose la nécessité de bien les définir au risque de ne pas atteindre les durées de service prévues. « Nous avons fait des études qui ont montré que les acteurs du Btp pèchent dans le choix des modules qui traduisent les capacités portantes des matériaux. Ils sont unanimes à dire que le module de la latérite est de 15000 bars alors que nos études ont montré que 10000 bars suffisent largement pour déterminer le module de ce matériau. Pis, au lieu d’envoyer des chefs de mission dans les chantiers, les maîtres d’ouvrage envoient le plus souvent des avocats qui ont tendance à ne défendre que le cahier de charges », accuse Abdoulaye Mbodji. En tout cas, une telle situation est fortement préjudiciable à la qualité de la route qui voit ainsi sa durée de vie réduite.
Le problème des matériaux est également devenu crucial au Sénégal. Il y a une forte raréfaction de matériaux. Pas assez de latérite et de basalte utilisés dans la construction de route. On retrouve ces matériaux à Ngoundiane Diack dans le département de Thiès ou dans le Kédougou, une zone complètement enclavée. Or, plus le tronçon de route à construire est loin de ces zones, les coûts de transport sont répercutés sur le coût de l’ouvrage. Mais, le problème le plus sérieux est celui de la latérite qui reste le matériau le plus utilisé au Sénégal. Non seulement la latérite devient rare, mais une latérite de qualité reste, de plus en plus, introuvable. Pis, une erreur monumentale sur le choix du Cbr (Californian Berius Ratio) de la latérite se glisse toujours dans tous les appels d’offres. Jusqu’aux années 90, il était convenu qu’ « une latérite à utiliser en fondation doit toujours avoir un Cbr de 60 ». Aujourd’hui, compte tenu de la raréfaction de ce matériau, les bureaux d’études ont tendance à rendre conventionnel un Cbr de 30 en fondation pour la même latérite. Or, c’est le Cbr qui détermine grossièrement la qualité ou la capacité de la latérite. « Plus le Cbr est grand, mieux est la latérite. Pour une bonne qualité des routes au Sénégal, il faut plutôt les faire avec un Cbr de 60 », informe le géotechnicien Abdou Lahat Ndiaye. Malheureusement, cette faute lourde commise par les techniciens est encore plus présente dans beaucoup de cahiers de charges.
Pis, au niveau de l’exécution des travaux, si une des trois entités en présence à savoir le maître d’ouvrage (l’Etat ou son représentant) qui pilote le bureau de contrôle, le bureau d’études et l’entreprise chargée d’exécuter les travaux tenue de respecter les injonctions du chef de mission, faillit à sa mission ou s’enlise dans une défaillance organisationnelle, les conséquences sont néfastes à la qualité de la route.
Même si les différentes entités que sont le bureau d’études, le bureau de contrôle et les entreprises encourent des sanctions en cas de manquement. Le bureau de contrôle et le maître d’ouvrage ont aussi la possibilité de faire arrêter les travaux déjà faits (chose rare) lorsque ceux-ci ne sont pas exécutés dans « les règles de l’art », c’est-à-dire suivant le cahier de charges.
PROCEDURES BIAISEES
Lorsque le maître d’ouvrage veut se faire construire une route, il est d’abord tenu de faire appel aux bureaux d’études. Le bureau d’études sélectionné va sur le terrain, fait ses investigations du point de vue géotechnique et géologique, de l’environnement et de la structure de la chaussée. C’est à la suite de ces travaux d’une équipe pluridisciplinaire mise en place pour les besoins, que le bureau d’études fait un cahier de charges et dit de quelle façon il veut que ce tronçon de route soit exécuté. Dans ce cahier de charges établi sur la base d’arguments techniques, il y a des critères de sélection auxquelles chaque entreprise soumissionnaire doit répondre, suivant le code des marchés publics du Sénégal qui détermine les critères de sélection des entreprises soumissionnaires. L’article 60 de ce code indique que « l’appel d’offres est la procédure par laquelle une autorité contractante attribue le marché, après appel à la concurrence, au candidat réunissant les conditions de qualification qui remet l’offre conforme évaluée la moins disante, sur la base de critères quantifiés en termes monétaires préalablement portés à la connaissance des candidats, sans négociation. L’appel d’offres peut être ouvert ou restreint. Il est dit ouvert lorsque tout candidat peut remettre une offre, et restreint lorsque seuls peuvent remettre une offre les candidats qui y ont été directement invités par l’Autorité Contractante…. »
Seulement, dans le milieu du Btp, il est facile de relever des couacs. Il y a souvent des compromissions dues à une dangereuse complicité entre les bureaux d’études, les bureaux de contrôle et les entreprises. L’absence de normes pour la construction de routes au Sénégal, laisse alors libre court à des dérives de toutes sortes. Au-delà de ces problèmes techniques, des aspects administratifs minent les dossiers d’appels d’offres. L’épineuse question de la corruption, de népotisme et de favoritisme dans la passation des marchés gangrène également le milieu du Btp. Même si les clauses contenues dans les cahiers de charges sont claires, les critères de sélection sont parfois volontairement exagérés pour éliminer la concurrence.
Alors que plus le nombre de soumissionnaires est grand, plus le maître d’ouvrage a une chance d’avoir de bons prix et de pouvoir apprécier la qualité des travaux. Comme tous ceux qui s’activent dans le Btp se connaissent, une entente tacite entre eux peut aussi être vite trouvée. Des entreprises aptes à soumissionner peuvent trouver une entente pour laisser une d’entre elles gagner un marché. Une entreprise peut aussi faire un black-out devant un marché pour laisser passer une autre moyennant un « dédommagement ». « Tout ceci aboutit à la mauvaise qualité des routes et ne joue pas en faveur de la fiabilité et de la bonne foi des entreprises choisies pour la réalisation des routes », se lamente Dominique Ndong, ingénieur polytechnicien. De ce point de vue, l’exagération des critères de sélection peut jouer sur la fiabilité des études techniques qui guident le cahier de charges.
Pis, le maître d’ouvrage a facilement la possibilité d’éliminer une entreprise en fixant les critères de sélection au-dessus de ses capacités. Si dans l’appel d’offres pour la réalisation d’un tronçon de route qui doit coûter 10 milliards, on exige des entreprises soumissionnaires un chiffre d’affaires de 20 milliards, cela sous-entend que toutes les entreprises sénégalaises sont quasiment éliminées d’avance. Ça a été le cas dans l’appel d’offres pour le marché de l’autoroute à péage. Il a fallu que l’entreprise Jean Lefebvre/Sénégal (Jls), pour contourner la mesure, fasse appel à des partenaires chinois pour se présenter au nom de « Talix Group ». A ces critères, du reste, restrictives, il faut ajouter les cahiers de prescription technique (Cpt) qui renferment des aspects visant à éliminer une ou des entreprise(s). L’illustration est faite dans l’appel d’offres pour la réalisation du tronçon de route Thiaroye/Fass Mbao. Il était indiqué, dans le cahier de charges que le tout venant (mélange de différents tas de matériaux utilisés dans le Btp) sera traité « au ciment et en centrale ». Là, c’est l’entreprise qui dispose d’une centrale qui a tendance à faire un meilleur prix parce que tout disponible chez elle. Par contre, celle qui ne dispose pas de cette capacité, risque de se confronter à un investissement plus élevé. Toutes ces considérations faussent la concurrence et influent sur la qualité des routes.
Le problème de la bonne foi et du respect des engagements des entreprises constitue aussi un obstacle. Pour preuve, certaines des entreprises auxquelles l’Aatr avait attribué les marchés ces dernières années, n’ont pas honoré leurs engagements. C’est le cas par exemple, du Groupe Disso S.A. Cette entreprise a été épinglée, par décision N°…/09/ARMP/CRD du 13 Janvier 2009, par le comité de règlement des différends de l’Armp, statuant en formation disciplinaire. Sur la saisine de l’Aatr, le Groupe Disso a été accusé d’avoir fourni, dans le cadre d’un appel d’offres, de fausses déclarations pour gagner le marché des travaux d’entretien courant des routes non revêtues du réseau classé de la région de Louga. Les faits ? A la suite de l’évaluation technique des offres du marché sus visé, l’AATR a constaté qu’un certain « Cheikh Wade est proposé au poste de géotechnicien par le Groupe DISSO S.A », alors que ce dernier travaille à temps plein à l’APIX (Agence chargée de la promotion de l’investissements et des grands travaux) et dit n’avoir pas autorisé le Groupe DISSO S.A. à utiliser son CV. Tout cela implique une différenciation qui fausse la concurrence et influe dans la durée de vie de la route.
Babou Birame FAYE
Salindja
En Août, 2011 (19:16 PM):)haaa
Tete
En Août, 2011 (19:21 PM)Joetra
En Août, 2011 (19:25 PM)Me Augustin Senghore
En Août, 2011 (20:06 PM)Babs
En Août, 2011 (20:11 PM)Serigne Mb
En Août, 2011 (20:15 PM)Doudou
En Août, 2011 (20:20 PM)@joetra
En Août, 2011 (20:24 PM)DIOUF ,continue sur ta lancée ,t'as jamais baissé les bras alors persévère .
Courage
...
En Août, 2011 (20:33 PM)Mo
En Août, 2011 (20:38 PM)Eto'o Fils
En Août, 2011 (20:42 PM)Emancipée
En Août, 2011 (20:54 PM)bon sénégalais ne doit jamais donner cette image négative aux yeux du monde. Certes, il a eu a nous faire danser mais jamais de finale, jamais de coupe, pour le Sénégal. Il avait un talent cependant, c'est une personne sans niveau intellectuel, sans savoir-vivre, qui est mal entourée, mal conseillée et qui doit réapprendre certaines valeurs : éthique, gratitude, politesse, reconnaissance, courtoisie, modestie, discrétion, constance, entre autres...
Pour vivre heureux, vivons cachés : il se fait trop de mauvaise pub alors que "thiatt" bakhoul. Il n'est pas la seule vedette du foot, pourtant, il fait trop parler de lui. Durant son parcours, il a rencontré des gens vrais qui pouvaient beaucoup lui apporter (il n y a pas que l'argent dans la vie..) mais il les a snobés préférant s'entourer de gens superficiels et indifférents. Dommage !
Alimata
En Août, 2011 (20:55 PM)Ma K O Wax
En Août, 2011 (20:59 PM)Poésie Pour Diouf
En Août, 2011 (21:04 PM)Khaaaaaaaaa
En Août, 2011 (21:32 PM)J Aime Mon Pays La Casamance
En Août, 2011 (22:09 PM)C...con...
En Août, 2011 (22:16 PM)...
En Août, 2011 (22:41 PM)Koulibaly Mamadou
En Août, 2011 (22:58 PM)Balotelli......
En Août, 2011 (23:32 PM)Djivo
En Août, 2011 (23:33 PM)Bruce
En Août, 2011 (23:45 PM)Cor
En Août, 2011 (23:57 PM)Tivaoune
En Août, 2011 (00:11 AM)Llamados
En Août, 2011 (00:42 AM)Réveillez vous ce gars n'est pas un professionnel
Comment expliquer qu'il soit foutu dehors de Blackburn qui n'est pas man Un ni liverpool ni Arsenal ni Chelsea
ils voulaient le faire depuis l'année dernière puis ils l'ont prêté aux rangers de Glasgow
Comment peut il en être autrement quand ses coéquipiers sont en préparation de pré-saison et lui est en train d'animer une soirée à saly
Soyons réalistes il est indéfendable regardez sa trajectoire niveau football de Liverpool à Blackburn en passant par Bolton
Momo
En Août, 2011 (00:55 AM)Souy Doom
En Août, 2011 (01:12 AM)Baala ngay wouti siiw demal woutti yar, ndak yarou soogueu siiw moo gueuneu woor
han han han han
Un Passant
En Août, 2011 (05:24 AM)il n'a que ce qui lui revient sans jalousie ni parti pris
Sam
En Août, 2011 (07:56 AM)Wak Sel
En Août, 2011 (08:19 AM)Vfs
En Août, 2011 (08:33 AM)Biche
En Août, 2011 (09:14 AM)Fanns
En Août, 2011 (12:17 PM)Pourquoi tant de haine envers DIOUF, certains journalistes Sénégalais sont parfois jaloux.
Emancipée
En Août, 2011 (12:35 PM)Il est mal entouré, mal conseillé, pas de charisme et une fois qu'il n'a plus besoin de toi, il ne te connait plus.
Koleuré ak pastef lou bakh la sii niit mais à condition d'avoir eu une bonne éducation gage de savoir-vivre, d'un bon état d'esprit, d'une bonne mentalité. Quand on est respectueux et modeste, on est aimé par tout le monde : talent ou pas talent.
En Tout Siplicité
En Août, 2011 (15:18 PM)Que vaut la compétence sans l'éthique comme base.
Si DIOUF est un modèle pour lla jeunesse du SENEGAL je desespère pour mon pays.
Je cite com modèle à mes enfants les hommes et les femmes de ce pays pétris de YAAR DE TEGUINE DE SOUTOURA DE SAVOIRS DE SAVOIR VIVRE DE SAVOIR ETRE.
Maintenant com ds ce pays posséser de l'argent est pour beaucoup de personnes un titre de noblesse,bonjour les anti modéles les anti valeurs...
Information Fausse
En Août, 2011 (17:39 PM)EFFECTIF BLACKBURN 2011 2012
Premier League anglaise Coupe d'Angleterre Coupe de la Ligue anglaise
Gardiens
N° J B
1 Paul Robinson 2 0
13 Mark Bunn 0 0
Défenseurs
N° J B
2 Míchel Salgado 2 0
3 Martin Olsson 2 0
4 Christopher Samba 0 0
5 Gaël Givet 0 0
6 Ryan Nelsen 1 0
7 Brett Emerton 1 0
31 Grant Hanley 2 0
33 Josh Morris 0 0
35 Jason Lowe 0 0
38 Myles Anderson 0 0
39 Adam Henley 0 0
Milieux de terrain
N° J B
8 David Dunn 2 0
10 Mauro Formica 2 1
12 Morten Gamst Pedersen 2 1
14 Radosav Petrovi? 1 0
14 Amine Linganzi 0 0
15 Steven N'Zonzi 2 0
23 David Hoilett 2 0
26 Herold Goulon 0 0
Attaquants
N° J B
11 Vince Grella 0 0
20 Rubén Rochina 1 0
22 Nick Blackman 1 0
25 David Goodwillie 2 0
30 Jason Roberts 2 0
37 Zac Aley 0 0
42 El Hadji Diouf 0 0
Effectif Blackburn 2011 2012
En Août, 2011 (17:44 PM)EFFECTIF BLACKBURN 2011 2012
Premier League anglaise Coupe d'Angleterre Coupe de la Ligue anglaise
Gardiens
N° J B
1 Paul Robinson
13 Mark Bunn
Défenseurs
N° J B
2 Míchel Salgado
3 Martin Olsson
4 Christopher Samba
5 Gaël Givet
6 Ryan Nelsen
7 Brett Emerton
31 Grant Hanley
33 Josh Morris
35 Jason Lowe
38 Myles Anderson
39 Adam Henley
Milieux de terrain
N° J B
8 David Dunn
10 Mauro Formica
12 Morten Gamst Pedersen
14 Radosav Petrovi?
14 Amine Linganzi
15 Steven N'Zonzi
23 David Hoilett
26 Herold Goulon
AttaquantSs
N° J B
11 Vince Grella
20 Rubén Rochina
22 Nick Blackman
25 David Goodwillie
30 Jason Roberts
37 Zac Aley
42 El Hadji Diouf
Tj
En Août, 2011 (18:20 PM)Doumo Lo
En Août, 2011 (19:08 PM)King
En Août, 2011 (09:11 AM)TU ES NUL
Tortu Unedai
En Août, 2011 (23:39 PM)Participer à la Discussion