C'est à Doha que le président du PSG a pris connaissance de la "bombe" Christophe Galtier, à travers la divulgation d'informations dans l'After Foot. Selon nos informations, la direction du PSG ne veut pas se précipiter ni céder à la panique. Bien conscient qu’il y a deux paroles qui vont s’affronter, l’entourage de Nasser Al-Khelaïfi a lancé sa propre enquête pour essayer d’en savoir plus.
En tant qu’employeur, le club parisien veut faire les choses bien pour ne pas se mettre à la faute vis-à-vis d’un de ses salariés. Toujours selon nos informations, au moment des premiers contacts avec Galtier pour le faire venir à Paris, Nasser Al Khelaïfi n’était pas au courant des détails et de la teneur des propos présumément tenus par Galtier, notamment concernant la religion musulmane.
"S’il l’avait su, jamais Galtier n’aurait pu signer au PSG, impossible", dit-on dans l’entourage du patron de QSI. Par ailleurs, la direction parisienne entretient de bonnes relations avec les patrons d’Inéos, l’actionnaire majoritaire de Nice. Et ce malgré le départ de Jean-Claude Blanc vers le groupe de pétrochimie ou la concurrence sur le rachat de Manchester United. De bonnes relations qui devraient permettre au PSG de connaître la véracité des propos de Galtier. S’ils sont avérés, bien sûr, le départ de Galtier ne fait aucun doute. Entre temps, le PSG devrait laisser Galtier s’exprimer publiquement pour exposer sa version potentiellement avant la conférence de presse de veille de match prévue vendredi.
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