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Fin tardive des Galas de lutte : Les mesures drastiques du CNG pour lutter contre le phénomène

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Fin tardive des Galas de lutte : Les mesures drastiques du CNG pour lutter contre le phénomène
Entre la convocation, les « Touss » (prestation des lutteurs) et la préparation mystique, ce serait un euphémisme de dire que les manifestations de lutte tirent trop en longueur. Une situation qui semble avoir un impact sur l’attractivité de la lutte. C’est la crainte du Comité National de Gestion de la Lutte (CNG), qui a dévoilé les nouvelles dispositions pour mettre un terme à ces prolongations « lassantes » pour les amateurs. Pour la lutte avec frappe, les mesures stipulent que l’heure de convocation devra être « strictement » respectée par les lutteurs sous peine de subir des pénalités.

« Les lutteurs seront tenus de commencer la préparation physique et mystique dans leur ‘’Thioumoukaye’’ conformément aux étapes définies par ce programme », précise le communiqué du CNG parvenu à Seneweb.

Les nouvelles dispositions prévoient qu’une fois que les lutteurs sont appelés dans l’aire de combat, ils seront désormais autorisés à avoir au maximum 3 bouteilles et une durée de 10 minutes leur sera accordée pour achever leur préparation.

 « En cas de dépassement du temps ci-dessus prévu, il sera appliqué au contrevenant une retenue de 25% sur le reliquat de son cachet. Si le lutteur continue sa préparation, 5 minutes après les 10 mn objet de la première retenue, il lui sera appliqué une pénalité de 1% sur le reliquat par minute supplémentaire », évoque le communiqué. 

De nouvelles dispositions ont été aussi instaurées pour la lutte sans frappe. Elles concernent la pesée qui se fera entre 10 h et 15h ;  la répartition de la mise par catégorie de poids et la répartition des gains entre autres dispositions.




4 Commentaires

  1. Auteur

    Abdou

    En Janvier, 2022 (21:33 PM)
    25 % saf na deh...mbeur yii wagni len bouteilles yii
    • Auteur

      Reply_author

      En Janvier, 2022 (01:07 AM)
      il était temps. Depuis Senghor  on vient tout juste en 2022 de mettre à jour le réglement de la lutte. Franchement l'Afrique!!!!
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    • Auteur

      Reply_author

      En Janvier, 2022 (01:13 AM)
      Mais décidemment ça ne suffit pas l'interdiction des bouteilles mystiques qui sont sales et qui puent mais surtout qui n'ont de mystiques que le nom seraient une très très bonne chose, l'interdiction des marabouts dans l'enceinte de l'arène, un marabout sera autorisé à entrer s'il prouve qu'il a vrai un métier et qu'il paye des impôts, l'interdiction des gris gris qui puent et qui ne servent à rien à part montrer la grosse peur du lutteur qui ne s'est pas beaucoup entrainer, la réglementation des promoteurs qui font du blanchiment d'argent à travers la lutte, luc n'étoie encore son nez en lisant ce que j'écris, et enfin l'interdiction à vie de l'arène nationale aux lutteurs nervis, la prison à vie aux lutteurs nervis. Parmi les nervis les plus connus il y'en a un qui a totalement perdu le respect du peuple sénégalais, avant il était roi des arènes par accident, aujourd'hui il est roi des nervis par sa propre volonté, honte à toi. 
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  2. Auteur

    En Janvier, 2022 (21:41 PM)
    Merci beaucoup enfin. Les bonnes mesures commencent. On paye on commande. 
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    Auteur

    En Janvier, 2022 (00:22 AM)
    Non ça ne suffit pas: il fallait dire interdiction de bouteilles et autres kharfa khoufa dans l'aire de jeu. Tout bain et consorts diit être fait ds un rndroit dédié et le guèèw reservé uniquement aux combats!
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    Auteur

    En Janvier, 2022 (02:37 AM)
    C'est injuste. Les lutteurs actuels à qui on veut appliquer un règlement soit disant rigoureux ne sont nullement responsables de pratiques dans la lutte qui remontent d'avant leur naissance. Ces pratiques qu'on veut erradiquer tout de suite et maintenant alors qu' elles sont elles-mêmes assimilées comme faisant partie de la lutte pose problème.  Les lutteurs ne doivent pas porter seuls cette responsabilité parce qu' ils ne constituent qu'un segment du monde de la lutte. Pour assainir ce sport il faut impliquer et responsabiliser tout le monde pour qu'ensemble (y compris les lutteurs) on puisse trouver la bonne formule et le bon timing. Jouer au gendarme n'est pas là solution. Je ne vois aucune raison pour que les lutteurs perdent de l'argent dans ça.  Le CNG doit sensibiliser d'abord sur ce problème et convaincre en mettant les moyens qu'il faut. 

    Wa salam. 
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