Les Lioncelles du basket-ball ont concédé leur troisième défaite consécutive (51-82) contre le Pays-Bas, samedi, lors de la troisième journée des matchs de poule de la Coupe du monde des moins de 19 ans qui se déroule Vilnius (Lituanie).
Pour rappel, les Lioncelles du basket-ball ont perdu par forfait (20-0), jeudi, contre le Canada, en match d’ouverture. Vendredi, elles ont aussi perdu contre la France (23-77).Le Sénégal évolue dans le groupe C du Mondial avec le Canada, la France et les Pays-Bas.
6 Commentaires
Bou
En Juillet, 2013 (14:06 PM)Basketmen
En Juillet, 2013 (14:07 PM)Yuri70
En Juillet, 2013 (14:07 PM)Socé , Peulh , Sérére Diola
En Juillet, 2013 (14:25 PM)2: si tu te mari avec une femme wolof alors que tu es d'une autre ethnie , tu as 80% de chance que tes enfants deviennent wolof
Le Combat Est Historique
En Juillet, 2013 (14:44 PM)PAUVRETE, INSECURITE, MENSONGES, PROVOCATION, RECONCILIATION L’ETEAU SE RESSERE AUTOUR D’ALASSANE OUATTARA
Ceux qui savent observer peuvent remarquer que le président ivoirien n’est plus serein. Lui qui croyait cacher son incapacité à gérer la Côte d’Ivoire avec de gros mensonges et des chiffres est surpris le danger qui le guette se trouve dans son propre village, le nord de la Côte d’Ivoire.
Le 1er juillet a été une journée de réflexion pour Alassane Dramane Ouattara en tournée dans son village, le nord de la Côte d’Ivoire. En effet, ce jour là, le cortège de Fidèle Sarasoro, Directeur de l’Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réinsertion (Addr) a été attaqué sur la route de Kong par des hommes armés non identifiés. Un gendarme a perdu la vie au cours de cette attaque. Le 2 juillet, une autre attaque par des individus non identifiés lourdement armés s’est produite non loin de Kong. On a voulu confondre ces individus à des coupeurs de route. Mais quels coupeurs de route osera-t-il à s’en prendre au cortège présidentiel au point de tuer un gendarme ? Que recherchent ces types de coupeurs de route qui coupent même la route du président ? En tout cas, ce sont ces questions là que les ivoiriens ordinaires se posent. Que voulaient démontrer ces coupeurs de route bizarres ?
Le dimanche 14 juillet, ces nouveaux types de coupeurs de route ont osé ligoter deux personnalités de l’Etat : le sous préfet de samatiguila Patrice Gueu. Le convoi du maire adjoint de la commune, Mamadou Diaby, a également subi une attaque des individus lourdement armés qui ont délesté l'autorité municipale de ses biens, sur l'axe Samatiguila-Odienné. De sources sécuritaires, ce sont plus de 40 cas d’attaques à mains armées en 3 mois au nord. De sorte que commerçants, opérateurs économiques et autres fonctionnaires de l’Etat craignent cette région. Au moment où nous mettons sous presse, des sources concordantes nous informent que la clinique AIBEF de Duékoué (région du Guémon) a été cambriolée dans la nuit de mardi à mercredi par des bandits emportant plus de 200 mille francs FCFA. A abidjan où reigne le Centre de Coordination des Décisions Opérationnelles (Ccdo) les bandits continuent de braver l’autorité sécuritaire.
LA GROGNE DES IVOIRIENS
Les Ivoiriens ont fain. Aucun ivoirien n’est épargné . La pauvreté est criante. Dans la nouvelle boucle du cacao, les planteurs ont du mal à boucler les saisons. Comme sous la punition de Dieu, il n’y a pas de pluie depuis deux ans. Les plantations ne produisent plus . Selon un pêcheur du village de Kpéhiri dans la commune de Soubré, « depuis deux ans le fleuve nawa ne donne plus de poissons ». A abidjan, les fonctionnaires n’arrivent plus à boucler le mois. Le marché est devenu si cher. En tout cas, pro-ouattara comme pro-gbagbo crient famine en Côte d’Ivoire. Or donc le président a menti en promettant des milliards aux ivoiriens. Plus deux ans après son naccession au pouvoir, il n’y a aucun signe de miliards. Des fonctionnaires reclament aujourd’hui même des mois d’arriérés de salaires.
LA RECONCILIATION NATIONALE , UN ECHEC CONFIRME
Il faut craindre qu’on ne retombe dans des violences plus graves si la réconciliation échoue.ALASSANE OUATTARA n’a vraiment pas envie d’aller à la réconciliation. La preuve, ses provocations inutiles qui font dire aux observateurs qu’il ne connait rien en matière politique. « on ne peut pas vouloir la réconciliation et mener une chasse aux militants pro-gbagbo. Dans ce cas là avec qui veut-il aller à la réconciliation ? ». Plus de deux ans après la crise politico-militaire, la réconciliation est toujours e panne en Côte d’Ivoire, alors que la commission chargée de conduire ce processus est censée boucler bientôt ses travaux.
Réconciliation: le mot est sur toutes les lèvres. Il est même devenu le chant préféré du président Ouattara. Le problème est fondamental. Même étant à la Haye le président Gbagbo continue d’exiger le recomptage des voix. Parce qu’il suppose que c’est lui qui a gagné les élections et que la victoire lui a été volée par Alassane et la France. Pendant ce temps comme un sourd, Alassane ouattara exige un pardon de la part du FPI qui selon lui aurait été la cause de la crise postélectorale. La réconciliation a pour objectif de préparer le terrain pour la
présidentielle de 2015, à laquelle M. Ouattara est d’ores et déjà candidat.
Membre de la CDVR, Mgr Siméon Ahouana, l’évêque de Bouaké (centre), a fait remarquer qu’il a "des préoccupations" concernant la prochaine présidentielle.
Le président de la Lidho est plus direct: « il faut craindre qu’on ne retombe dans des violences
encore pires ».
Comme on peut le constater, il y a un vrai dialogue de sourd qui risque d’emporter le régime de Ouattara parce qu’en fin de compte le peuple se soulèvera quand il en aura marre. "La réconciliation est un tout", a fait savoir Anaky Kobena qui continue d’appeler Alassane Ouattara à prendre "les décisions politiques d'exception" requises pour parvenir à la réconciliation des ivoiriens « Il est grand temps que le chef de l'Etat se décide, s'informe largement et prenne en compte ce qui est la vox populi en Côte d'Ivoire".
Il est la clé de voûte de nos institutions, lui seul décide en dernier ressort », a renchéri le président CDVR, Charles Konan Banny, à l'issue d'un colloque sur les causes de la crise ivoirienne. Pourtant Alassane Ouattara ne veut pas entendre tous ces précieux conseils de ses oreilles. Il persiste dans un bras de fer inutile avec le FPI. Alors que les
Ivoiriens attendent de lui le saut qualitatif qui sauvera la Côte d’Ivoire.
« Enfin de compte l’on se rend bien compte que Ouattara n’est pas venu à la tête de la Côte d’Ivoire pour sauver le pays mais pour régler ses propres comptes à quelques Ivoiriens » a fait remarquer Abou Cissé lors d’un entretien avec WWW.Eclairdafrique.com
Le FPI a appelé le gouvernement à conduire avec lui des négociations qui ne soient pas "l'otage d'un simple effet d'annonce et d'une communication politique de mauvais aloi", pour favoriser la réconciliation nationale. Tout en restant ferme et intransigeant sur ses exigences relatives à la "libération immédiate et sans condition" du leader de sa jeunessee, Justin Koua, à l'arrêt des "persécutions", des " enlèvements" et de l'emprisonnement de ces membres, au paiement effectif des arriérés au titre du financement public des partis politiques, au dégel des avoirs, à la désignation "consensuelle" d'un "arbitre" et d'un "comité de suivi" par les deux parties.
Mais les hésitations de Ouattara et de son clan démontrent qu’ils demeurent fébriles face au FPI. Ouattara a peur de faire un pas pour ne pas se laisser surprendre par le fpi, un parti dont le président ne tarit pas d’éloge. Au FPI, la seule solution pour que la Côte d'Ivoire retrouve sa cohésion et se trouve dans une amnistie totale et la libération de Laurent Gbagbo en détention à La Haye.
Muslim
En Juillet, 2013 (17:52 PM)Participer à la Discussion