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Prison : Malick Noel Seck transféré au Camp pénal
Le secrétaire général de la Convergence socialiste, Malick Noel Seck, a été transféré en fin de semaine dernière au Camp pénal de liberté 6. Le jeune socialiste condamné à 2 ans de prison ferme par le tribunal des flagrants délits de Dakar pour « menace de mort » et « outrage à magistrat » n’aura passé que dix jours à la chambre 37 de la prison centrale de Rebeuss. Il va purger sa peine au pénitencier de Liberté 6, à moins de bénéficier d’une grâce présidentielle. Plusieurs organisations de défense des Droits de l’homme ont demandé l’annulation de sa condamnation.
21 Commentaires
Deug
En Octobre, 2011 (12:38 PM)Nina
En Octobre, 2011 (12:43 PM)Héros
En Octobre, 2011 (12:44 PM)Yo
En Octobre, 2011 (12:47 PM)Lagaffe
En Octobre, 2011 (12:57 PM)Lyns
En Octobre, 2011 (13:05 PM)Ndiaganiao
En Octobre, 2011 (13:09 PM)wade dolignou yow lagnou gueum ya niou doy thia kaw thia kanam rek
aucun souci president le sénégal est avec toi 75% au premier tour
Freelance
En Octobre, 2011 (13:11 PM)Grandmor
En Octobre, 2011 (13:22 PM)Le Crac
En Octobre, 2011 (13:24 PM)Diop
En Octobre, 2011 (13:30 PM)Khaugn
En Octobre, 2011 (13:33 PM)3lampes
En Octobre, 2011 (14:08 PM)Dfre
En Octobre, 2011 (15:25 PM)Aly
En Octobre, 2011 (16:12 PM)Chef De Chambre
En Octobre, 2011 (16:43 PM)M.n.s
En Octobre, 2011 (17:25 PM)Pdt du Conseil Constitutionnel
Réf : 11/CS/SG/MNS/003
Objet : Doléance du peuple sénégalais aux membres du Conseil constitutionnel
Nous sommes venus vous rappeler aujourd’hui, le serment tacite que vous avez fait au peuple sénégalais en acceptant votre statut de membre du Conseil constitutionnel. Vous avez juré de fidèlement remplir vos fonctions, de les exercer en toute impartialité dans le respect de la Constitution, de garder le secret des délibérations et des votes, de ne prendre aucune position publique, de ne donner aucune consultation sur les questions relevant de la compétence du Conseil. Il nous semble aujourd’hui que vous avez manqué à vos engagements et à votre parole, et que vos séminaires, vos rassemblements, ne sont que les signes avant-coureurs d’une forfaiture annoncée.
Or la candidature de Wade aujourd’hui ne relève pas uniquement de considérations juridiques ou constitutionnelles, elle est tout simplement immorale. La presse et l’opposition s’empressent de dénoncer une troisième candidature du chef de l’Etat, en vertu des engagements qu’il aurait pris de ne jamais se représenter et des modifications qu’il aurait lui-même apportées à la Constitution, nous la refusons au nom de la dignité nationale.
Nous tenons à vous rappeler que les fonctions du chef de l’Etat exigent une intégrité sans faille destinée à garantir la dignité sénégalaise. Parce que nous aspirons à vivre dignement, nous voulons mettre un terme au fatalisme du peuple sénégalais qui par résignation a fini par accepter les abus de l’Etat, l’assistanat, et l’opprobre. Ce que nous exigeons, c’est la restauration des valeurs républicaines dont Wade lui-même, dans son double langage, se réclame lorsqu’il réaffirmait : « … avec force son attachement à l’observation stricte des règles de transparence et d’éthique dans la gestion des affaires publiques».
Nous vous invitons à le prendre au mot et à revisiter les dix ans de malversations financières que nous venons de traverser. Les contradictions multiples du chef de l’Etat, ses revirements, ses manquements à la parole donnée, le détournement manifeste des deniers publics par les membres de son entourage et de sa famille, sa tentative de corruption d’un membre du Fmi et son implication directe dans l’assassinat de Maître Babacar Sèye lui interdisent de briguer pour une troisième fois la magistrature suprême.
- On n’organise pas de festival dans un pays sans électricité et sans feux rouges.
- On ne construit pas de statue de la «renaissance» dans un pays sans hôpitaux.
- On n’engage pas le salaire des retraités dans des escroqueries financières.
Wade doit tomber, l’honneur du Sénégal l’exige ! Nous sommes venus chez vous manifester nos ressentiments et vous désigner comme les responsables de nos souffrances quotidiennes. Wade peut aujourd’hui violer l’éthique républicaine sans en souffrir les conséquences, à cause d’hommes comme vous. Demain, lorsque la parole sera à la rue, nous reviendrons plus nombreux afin que vous nous rendiez des comptes. «Vivre coûte beaucoup, mourir également. Faire front exige de la dignité». Il ne sera pas dit que nous ne vous avons pas offert la possibilité de faire front avec nous.
Le Secrétaire Général
Malick Noël SECK
Ampliation : Membres du Conseil Constitutionnel
Malick Noël SECK
Peulh Bi
En Octobre, 2011 (17:54 PM)Ragal
En Octobre, 2011 (18:17 PM)avec sa grande geule thimm way
On S En Fou
En Octobre, 2011 (19:02 PM)Pepes
En Octobre, 2011 (20:12 PM)Participer à la Discussion