L’Agence de l’Informatique de l’Etat (qui répondra très prochainement au nom de Sénégal Numérique) a organisé avec ses partenaires Transnumerik, Microsoft ainsi que la Délégation Générale du Québec à Dakar l’évènement « ADIE ATERIK DAYS 2022 » ce mercredi 16 février.
L’ADIE qui se positionne comme un partenaire stratégique pour la digitalisation de l’administration sénégalaise ainsi que les entreprises privées, a initié cet atelier afin d’en faire un rendez-vous de partage auprès des différents acteurs concernés par ses solutions pour une administration innovante et performante.
Des structures incontournables dans l’écosystème du numérique ont assisté à cet évènement : le ministère de l’Economie Numérique et des Télécommunication était représenté par M. Achime Ndiaye, la Délégation générale du Québec à Dakar représentée par Mme Christiane Bétie, Microsoft avec Souleymane Haidara et Transnumerik en présence de son Directeur Général M. Mody-Oury Ba.
Dans son mot d’ouverture, le Directeur général de l’Agence De l’Informatique de l’Etat Cheikh Bakhoum a magnifié la coopération avec ces différentes structures tout en insistant sur le rôle essentiel des directeurs des systèmes d’information des structures de l’Etat. « A chaque étape importante de notre activité, vous êtes là en tant qu’acteurs majeurs et points focaux. Vous êtes nos ambassadeurs dans vos entités respectives. Vous nous aidez à inciter vos collègues à utiliser nos services comme la messagerie que nous avons déployée avec notre partenaire Microsoft, ici présent », a souligné M. Bakhoum.
Une table ronde, modérée par le journaliste Ousmane Gueye, a regroupé un panel d’experts pour notamment débattre sur la question de la digitalisation de l’Administration au Sénégal, sur les opportunités qu’offre la cloudification des différentes données utilisateurs, ainsi que leur hébergement et d’autres solutions innovantes. Elle avait pour thématique « les enjeux de l’Administration sénégalaise ».
5 Commentaires
Important
En Février, 2022 (15:07 PM)C EST DOMMAGE !
-
qui ta dit que ca ninteresse personne... ya plein de senegalais hautement qualifies dans le numerique... mais qui se soucie de les impliquer dans quoi que ca soit... on prefere les seminaires et autres blablas...nothing
Répondre
+1
-0
Signalier
Permalink
{comment_ads}Reply_author
En Février, 2022 (18:35 PM)-
Certes L'ADIE fait beaucoups d'efforts, mais le problème est l'écosystème digital des choses du numérique, de l'internet, en général les infrastructures réseaux de télécommunications ont été monopolisés par des intérêts étrangers et privés qui en ont fait une machine à créer d'énormes bénéfices au dépends des populations qui se retrouvent dans une situation de monopole qui exclues la majorité jeunes dans les écoles, lycées et universités par des tarifs exorbitants, élitistes et sélectives, et par sa longue durée de cette situation fait que ce pays se retrouve en retard sur les autres dans l'adoption du numérique dans l'économie et dans les affaires de leur vie quotidienne des populations. La penetration de l'internet dans les foyers est très faible et ironiquement certains cherchent à faire la confusion et l'amalgame de l'accès l'internet par le mobile en nomade avec l'existence physique de la broadband fixe haut débit dans chaque maison, qui aujourd'hui devrait être Gigabit en terme de débits si depuis le début l'objectif était de tout faire pour ne pas rater la nouvelle révolution numérique qui était nouvelle pour tout le monde. Mais hélas hélas aujourd'hui au constat comme dit plus haut il ne serve que des intérêts privés et néocolonialistes et la sous région est devenue la partie du monde la plus mal connectée et où l'internet est le plus chère et le plus lent.
Répondre
+1
-0
Signalier
Permalink
{comment_ads}Reply_author
En Février, 2022 (20:13 PM)Reply_author
En Février, 2022 (20:30 PM)L'excursion des populations et le laisser faire de l'état sont tels que maintenant partager avec la famille voisine sa connexion internet pour permettre ses élèves et étudiants de mener à bien leurs études pour contourner le blocage tarifaire est devenu un délit fondé sur l'illégalité que traque la police et la gendarmerie au seule bon vouloir de l'opérateur qui monopolise l'accès à l'internet fixe en violation des droits des personnes aux biens et services qu'elles ont aqui dûment par leurs argents.
-
Là où on entend L'ADIE et la RATP
Répondre
+0
-0
Signalier
Permalink
{comment_ads}Reply_author
En Février, 2022 (20:31 PM)L'exclusion des populations et le laisser faire de l'état sont tels que maintenant partager avec la famille voisine sa connexion internet pour permettre ses élèves et étudiants de mener à bien leurs études pour contourner le blocage tarifaire est devenu un délit fondé sur l'illégalité que traque la police et la gendarmerie au seule bon vouloir de l'opérateur qui monopolise l'accès à l'internet fixe en violation des droits des personnes aux biens et services qu'elles ont aqui dûment par leurs argents.
Lebaolbaol Tigui
En Février, 2022 (16:09 PM)Seneweb va effacer mon commentaire
C'est Pitoyable!!!
En Février, 2022 (21:02 PM)Avant de penser 5G, Cloud, pensez à mettre du 4G partout dans le senegal. il y'a des endroits au senegal où c'est du EDGE que l'on a et non du 3G ou 4G.
Pensez à imposer aux operateurs de vendre de l' internet haut débit en illimité. Tous les operateurs nous proposent des connections en données, 2Gigats, 5 gigats, ... il faut que le senegal entre dans l'ère où on achete des connections pour 1 mois, 1 jour, 1 semaine en illimité.
Enfin, stabiliser l'électricité au senegal, car sans electricité on ne peut pas se connecter sur internet.
Participer à la Discussion