
Dans certains quartiers de Dakar, lorsqu'il s'agit de réveiller les fidèles pour le repas de l'aube (kheudd), les mosquées sont sur le point d'être supplantés par des bongos, tam-tam et autres instruments de musique. Ceux qui le font, bien que conscient des désagréments, prétendent pourtant être au service de la religion.
Un argument battu en brèche par Oustaz Mouhamed Top, imam à la mosquée de Arafat Grand Yoff.
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