Billets de francs CFA actuellement en circulation.
En théorie, la nouvelle monnaie de la Cédéao, baptisée éco, doit entrer en circulation en 2020. Mais c’est sans compter les difficultés inhérentes à sa mise en place, et aussi les réticences de certains pays de l’UEMOA à abandonner le franc CFA. Analyse.
L’avenir de la zone franc n’est plus un sujet tabou en Afrique de l’Ouest, où les opinions et les économistes débattent désormais publiquement de son futur. Ce ne fut pas toujours le cas.
Dans le sillage de l’année 1994 qui a vu Paris imposer de façon unilatérale, et sous la pression conjointe du FMI et de la Banque mondiale, une dévaluation du franc CFA (il a perdu la moitié de sa valeur), le mot dévaluation est longtemps resté tabou. Quant à la question de l’avenir de la zone franc, elle n’était abordée que dans les cercles restreints des économistes africains et des africanistes parisiens. Mais ces dernières années, les opinions ouest-africaines ont changé la donne, en même temps que la Cédéao relançait son vieux projet monétaire datant des années 1980.
Car ce qui n’était qu’une perspective lointaine est devenu une actualité brûlante fin 2017, lors du sommet de la Cédéao à Abuja. Le communiqué final du sommet précise ceci : « Les chefs d’État et de gouvernement ont réitéré leur ferme volonté à œuvrer à l’atteinte des objectifs des Pères fondateurs de la Cédéao de doter la région d’une union monétaire en vue d’accélérer la construction d’un espace de prospérité et de solidarité. À cet égard, ils ont exhorté les États membres à prendre les mesures nécessaires pour le respect des principaux critères de convergence nécessaire à la mise en place d’une union monétaire viable et crédible. » La task force mise en place pour définir les mécanismes et les modalités de cette future monnaie est priée d’accélérer la cadence, ce qu’elle fait depuis lors, jusqu’à l’adoption début juillet, du nom de la monnaie – ce sera l’éco – et de son taux de change, qui sera flexible.
Paris se défend
Parallèlement, en France, un discours apaisant voit le jour. Les officiels et les institutions comme la Banque de France, s’ingénient à répondre aux arguments d’une partie de l’opinion africaine qui taxe le franc CFA « d’impôt colonial ». Ils rappellent que le compte d’opération du Trésor français, où sont logées la moitié des réserves de change des huit pays de l’UEMOA, n’est qu’un pot commun qui sert à garantir la convertibilité du franc, et en aucun cas une ponction faite sur la richesse des pays concernés.
La démonstration a beau être facile – ce compte ne pèse que quelques milliards d’euros, il est rémunéré, et reste à disposition de leurs propriétaires, à savoir les pays de l’UEMOA –, elle n’arrive pas à convaincre tout le monde. Car le CFA est avant tout une affaire politique, notamment pour les nouvelles générations. C’est « une survivance du passé au relent colonialiste », avancent les partisans de la disparition du CFA, survivance qui n’a plus lieu d’être à l’heure où l’Afrique avance à marche forcée vers son intégration économique, plaident-ils.
Les débats sont si passionnés que certains acteurs perdent parfois leur sang-froid et leur retenue diplomatique. Ainsi, en juillet dernier, répondant aux questions des journalistes de Radio Omega à Ouagadougou, l’ambassadeur de France au Burkina Faso, Xavier Lapeyre de Cabanes, s’est emporté : « La France ne gagne pas d’argent avec le CFA. Le jour où il n’y aura plus de CFA, vous arrêterez de raconter n’importe quoi sur le sujet, et de nous accuser de tous les maux ! On arrêtera de fantasmer ! »
Critiquer le franc CFA depuis certains postes administratifs parisiens est parfois risqué. En janvier 2019, un incident a fait couler beaucoup d’encre. L’économiste togolais Kako Nubukpo, dont les positions sont hostiles à la monnaie de l’UEMOA, est suspendu de son poste de Directeur de la francophonie économique et numérique à l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), officiellement pour son « incapacité » à n’avoir pas su respecter « son droit de réserve ». Il venait de publier une tribune incendiaire dans Le Monde Afrique.
La présidence française, quant à elle, adopte un discours public bien plus conciliant tout en rappelant son attachement à la zone franc. À la mi-juillet, le président français Emmanuel Macron appelait de ses vœux un débat serein sur la question. Pour lui, le franc CFA est « un sujet qu'on doit pouvoir ouvrir et qu'on a décidé d'ouvrir ensemble avec nos partenaires africains, de manière apaisée, sans culte du symbole, sans tabou ni totem ». Il répondait au président ghanéen, Nana Akufo-Ado, qui estimait nécessaires des transformations dans « l’arrangement monétaire de ces pays » (avec la France, NDLR).
Ambiguïtés ivoiriennes
Mais cette position ne reflète pas l’âpreté du débat qui se joue en coulisse. On peut la mesurer à travers les ambiguïtés de certains dirigeants comme l’Ivoirien Alassane Ouattara. Alors que la Cédéao a décidé que l’éco bénéficierait d’un taux de change flexible, par rapport à un panier de devises, le président ivoirien a affirmé le contraire à l’issue du dernier sommet de l’UEMOA, le 12 juillet dernier.
Pour Alassane Ouattara, le taux de change fixe entre le franc CFA et l’euro a « fait ses preuves » pour apporter de la stabilité et réduire l’inflation. « Il faut que cela soit maintenu. » À travers les propos du chef d'État ivoirien transparaît l’idée que la zone CFA pourrait devenir le noyau dur de la future zone monétaire ouest-africaine. Le CFA serait alors rebaptisé éco et conserverait sa parité fixe avec l’euro « dans l’immédiat », c’est-à-dire tant que la zone ne serait pas élargie à d’autres pays.
Alassane Ouattara avance d’autant plus aisément ses arguments que la Cédéao, reconnaissant que la convergence des économies de la région est encore insuffisante, préconise désormais une approche « graduée ». Ce qui revient à démarrer l’éco avec un petit nombre de pays. Sans doute à l’exclusion du Nigeria.
Reste qu’un simple tour de passe-passe consistant à débaptiser le franc CFA ne suffira sans doute pas à une partie des opinions publiques des pays concernés, bien déterminée à voir s’opérer un changement de paradigme. Les arguments techniques et économiques, si valables soient-ils, seront toujours plus faibles, aux yeux d’une frange de l’opinion, que les slogans politiques.
Commentaires (30)
Moi je ne suis pas d'accord. L'ECO va juste permettre aux dirigeant Africains de voler plus que d'habiude. Ca imprime et ca vole partout. Au moins le CFA est controlle. Ce sont tous des voleurs ces dirigeant Africains.
Tous les pays en voie de développement d'Amérique du Sud, d'Asie, et même les tout petit pays de l'ex Yougoslavie et de l'ex URSS ont tous eu leur monnaie moins de deux mois après leur accession à la souveraineté internationale sans difficulté, or les pays de nègres ne semblent pas être capables de faire comme partout hors du continent. C'est quoi la différence entre nous et ces pays du même niveau que nous ??????????????????????
heureusement k l senegalais est tres intelligent sans le nigeria cfa=eco et encore pire .eco est un gateau piege.un an apres devaluation 1cfa=1million eco
quand on est petits on reste modeste l'éco ne fera pas le poids sur un marché mondial dirigé par le dollar, l'euros et le yen, la dévaluation est inévitable , alors continuez vos bêtises de frustré , vous aviez la chance d'être rattaché à l'euros alors réfléchissez
Pourquoi le Ghana et le Nigéria qui n'utilisent pas le C.F.A. se portent mieux que nous?Les Mauritaniens,les Gambiens,les Marocains,les Algériens sont ils plus capables que nous à gérer une monnaie?
Le CFA est important pour la France, ca c'est sure. Mais pas pour une raison coloniale. La France protège ses investissements en Afrique de l'Ouest en garantissant le CFA. Le réserve en or est juste une protection supplémentaire, ou cas ou l'économie des pays de la zone FCA est si faible que les français perdent a la conversion CFA et EURO. Sans le CFA, les Européens vont demander de plus de garantie pour investir en Afrique de l'Ouest ou prêt bancaires.
Sans le CFA, les Européens vont tourner le dos a l'Afrique de l'Ouest, amenant avec eux les Américains. L'ECO sera faible parce que les pays développés n'ont pas confiance aux gouvernent Africains. Il peut y avoir du pétroles dans tous les pays de la zone ECO et ca ne va rien changer...Le problème est la gestion des dirigeant africains qui sont plus ou moins corrompus.
L'ECO sera une erreur grave.
Macron a réussi, aidé par Outtara et Macky Sall pour tromper leurs frères Africains. Pour rien au monde , la France ne voulait prospérer l'idée d'une monnaie unique, autre que l'éco dans ses limites. La France a gagné sur les Africains, et les économiste du camp pour la suppression du FCFA n'ont rien vu venir grâce à l'intelligence de MACRON !
je peux fournir l'imprimante ? Aliou S Guediawaye
Je peux fournir l'encre ? Thione S.
Je peux compter les coupures ? :Koudou ou Mame Mbaye Prodac
Cette nouvelle monnaie ECO ne m'inspire pas confiance, moi non plus. D'ailleurs, rien qu'à y penser me donne la.chair de poule. Je crains qu'au bout d'une seule année d'exercice, notre rêve d'avoir notre monnaie forte et bien à nous ne se transforme en cauchemar, avec entre les mains notre ECO, devenu une monnaie de singe, autrement dit un vulgaire rectangle de papier sans aucune valeur .On pourrait alors connaître une situation irréaliste, à force d'être chaotique, avec une monnaie totalement dépréciée et une inflation des prix galopante, où pour aller toucher son salaire l'on aurait d'une brouette pour transporter un énorme paquet de billets de banque ! Mon Dieu, ayez pitié, pour que ça ne nous arrive jamais, que notre orgueil, sans doute légitime d'avoir notre propre monnaie, bien à nous, ne cède la place à de terribles et mortels remords, puisqu'il ne sera pas possible, hélas, de revenir en arrière, c'est-à-dire à notre cher CFA, puisqu'il n'y aura plus de CFA, ndeysane ! COMME QUOI, LE MIEUX EST L'ENNEMI DU BIEN, selon un adage français, qui ajoute, comme pour se moquer : QUAND ON EST BIEN, ON S'Y TROUVE ! Mon Dieu, ayez pitié.
Allah bénisse et protège le Sénégal. Amin.
AFRO PESSIMISTE
AFRO PESSIMISTE
Afrique centrale est encore dans le CFA et est en cessation de paiement.
Pourtant eux aussi ont la garantie de leur monnaie par la France.
Ils devraient engager des poursuites pour escroquerie
Afrique centrale est encore dans le CFA et est en cessation de paiement.
Pourtant eux aussi ont la garantie de leur monnaie par la France.
Ils devraient engager des poursuites pour escroquerie
En tout cas l'état doit revoir comment travaillent les agents des Impôts et domaines c'est la croix et la bannière ( des années) pour obtenir son titre foncier pour une surface de 150 m2 à 300 m2. Le fast track dont parle le Président doit commencer par là bas..le mal c'est que pratiquement il y'a que des personnes du 3ème âge qui font des interminables vas et viens. J'ai mal parce qu'il y a trop de magouilles...il faut des dessous de tables pour voir son dossier sortir des tiroirs.
Cherche les RAA, les répondeurs automatiques de l'APR. ILS sont ou? Signe encore une fois que le Senegal ne les intéresse pas ni son devenir.
Macky, le président des RAA n'est pas enchanté par l'ECO, comme il l'a dit. J'aimerais bien connaitre la position des RAA à ce propos.
Ils sont ou? Ha je comprends, ils sont dans leur trous.
ils attendent le prochain article sur Abdoul Mbaye, Guy Sagna ou Sonko.
eternel enfant ex colonie de la France, 60 ans apres les pseudo independance vous etez incapable d'avoir votre propre monnaie, donc Trump a raison, pays de m*rde, toujours à gueuler incapable de faire quoi que se soit sans l'aide des ex colonisateur. Reveiller vous
des 'Africains rêvent de leur monnaie unique alors qu'ils ont été incapable de développer et faire vivre Air Afrique (1ere et seule entreprise Panafricaine ) un camion met 3 ou 4 jours pour aller à Bamako avec toutes les tracasserires policiere et douaniere .....il n'y a toujours pas de pont entre la Mauritanie et le Senegal 60 ans apres les independances , guéguerre entre Touaregs , Dogons et Peulhs au Mali , incertitude avec la prochaine élction Presidentielle en Cote d'Ivoire , des pays endettés comme le Senegal .....je suisd'accord avec le post de Rl : changeons l'appelation du Franc CFA , que l'on réduise la part versé au Térsor Français et que l'on baisse le taux de convertilité par rapport à l'Euro qui est trop élevé !
luttons contre l'immigration clandestin en investissant dans l'agriculture
https://www.leetchi.com/c/pour-thiaka-et-sa-recolte-pour-des-emplois-en-afrique
Hey guys est ce que c plus sur de ne plus mon argent dans les banques du Senegal en attendant qu on nous eclair sur l eco d baord?
Je suis en dehors du senegal. Je suis un peu concerne
Depuis 1960 a nos jours, pour toutes les intégrations africaines, regarder tous les discours des chef d’état francophones, chaque fois après 10 ans ils disent que vous avons promis a la France de saboter ce projet intégration. Avec l'éco, c'est sur et certain que l'Afrique va sortir de la Pauvreté: 300 Millions de personnes pour une marché, c'est l'accroissement des devis et les niveaux de vies? c'est pour quoi la FRANCE bat CORPS et AME pour garantir cette Monnaie. Le but de la France est que l'afrique sombre dans la pauvreté.
Le cfa est mort VIVE l'éco!!
200mil barils de petrole n est pas une quantite modeste c est le seuil fixe pour entrer dans le tres select club des pays producteurs ce seuil est franchi par le ghana en 2012 la cote d ivoire est a 150mil barils
« Nous sommes désormais exportateur de pétrole. » Déclaration du président Kenyatta qui ne cache pas sa joie. 200 000 barils acheminés par camion dans le port de Mombasa sont prêts à être exportés d’ici septembre. C’est ce qu’espère en tout cas la société pétrolière britannique Tullow Oil qui a découvert les gisements pétroliers en 2012 dans le Turkana, une région au nord-ouest du pays. Les réserves sont estimées à environ 560 millions de barils.
L’exportation prochaine de 200 000 barils, une quantité modeste, vise dans un premier temps à tester l’appétit du marché international pour le brut kényan. La production commerciale ne débutera pas avant 2023. D’ici là, un oléoduc devrait être construit pour acheminer le pétrole vers la côte. Montant de l’investissement : un milliard de dollars. Le président kényan compte sur cet or noir pour assurer la prospérité du pays et, dit-il, éradiquer la pauvreté.
Une monnaie c'est pas seulement de la convertibilité en devise la monnaie permet de favoriser les exportations et le consommer local.La zone CFA ne peut pas continuer avec une monnaie arrimé a l'euro .Des pays plus riches ont des monnaies plus faibles et ça permet a la France de maintenir nous pays dans une colonisation deguisee
Les débats mettent l'accent uniquement sur le CFA, mais ne ressortent pas aussi le manque de volonté des pays anglophones à entrer dans l'ECO, le Nigeria en tête. Au fait dans tous ses pays, c'est le dollar leur principale monnaie de fait. Allons y ensemble vers l'eco avec plusieurs scénarios possibles dont peut être une première d'une a deux ans de monnaie virtuelle uniquement (appellee fiduciaire) et pas de circulation de billets. On y reviendra plus tard si necessaire
* le nigeria (qui a déjà une monnaie stable généralement)
quelle rigolade.......formulation A PEU PRES..............
https://tauxdechange-euro.fr/devises/NGN-naira-nigeria/
Ces africains francophones et leurs soient disant "présidents" qui ne sont que des sous préfets sont et resteront d'ETERNELS ENFANTS"incapables de penser avec leur cervelle.ils méritent leur sort actuel.
Les grandes gueules qui ne veulent plus de la France et ne veulent plus du franc CFA, moi français ne souhaite qu'une chose, que la France dégage de ce pays et vous laisse avec la monnaie de votre choix. Et ce propos est des plus sincère croyez moi !
Abandonnez le FCFA.... allez ayez du courage.. Pour une fois.... je viendrai voir le résultat dans un an.
Abandonner le CFA, qui dans la pratique est de l’Euro pur et simple, géré par la BCE, pour une aventure monétaire sans lendemain, équivaut à un suicide économique, financier et social.
Il faut plutôt renégocier à la baisse le pourcentage des devises déposées au Trésor français ou revoir à la hausse leur rémunération plutôt que de s’aventurer vers une expérience qui aboutira, à 100%, vers un chaos économique, financier et social irréversible.
La monnaie est un instrument d’echange. Basta!
Walaye ECO fi mou gnou djeumé amoul ndokhe !
Une monnaie solide exige une gouvernance vertueuse.
Ce n’est avec des Premières Dames qui se promènent avec des sacs Hermès à 25 000 000 francs CFA et distribuent des enveloppes de plusieurs millions à leur clientèle que nous allons y arriver.
Dans un pays où Farba Senghor a. Été ministre , Cisse Lo Vice President de l’Assemblée et Idy Seck PM, il vaut mieux faire garantir la monnaie par un pays sérieux.
La monnaie stable , c’est la seule chose qui nous reste. Si on fait les cons, il ne sera plus loin le jour où une Première Dame drianké demandera au Directeur de la Banque Centrale de lui imprimer toutes affaires cessantes 100 millions de francs pour faire son batré au nguèneté de sa petite sœur ou aller au Magal de son marabout.
Deukou nègres amoul tankou kaname.
Bien dit. Ce que je conseillerais aux Sénégalais est de convertir leur CFA en EURO ou Dollars parce que l'ECO va dégringoler surtout sans le Nigeria (qui a déjà une monnaie stable généralement). L'ECO sans le Nigeria sera une suicide des le départ et ca va prendre des années de développent pour juste revenir a la valeur du CFA. Avec le Nigeria, ca sera plus stable au début mais sera très instable.
Fête tabaski mingui nieuw mé il faut veiller sili xalé yi di sol ak makgni si marque yi ak couleur yi mo xam dalle la wa t-shirt la nansiy bayi xél pask dansi profiter di dialélé sén publicité gor djiguén baxout tourwi rek dafa rouslou
Vous avez oublié les baol-baols qui vont se faire imprimer des milliards en chines. Quid du marabout qui demandera que les dons se fassent en euro ou en dollars. Ne vous foutez pas de nous avec vos révolutions à la con.
et voila quand c important pas de commentaire bienvenue au pays des singes
Il faut plutôt dire: quand c'est important les répondeurs automatiques de l'APR désertent le forum.
Quand on voit comment les économies Africaines sont gérées il est bien évident qu'avec la monnaie unique ECCO peu de pays seront respectueux des déficits et de l'inflation et bonjour la planche à billets.....! sans compter que le Mali et le Burkina-Faso sont déstabilisé par les djihadistes et les élections Présidentielles toujors agitées dans la région !
Walaye ECO fi mou gnou djeumé amoul ndokhe !
Une monnaie solide exige une gouvernance vertueuse.
Ce n’est avec des Premières Dames qui se promènent avec des sacs Hermès à 25 000 000 francs CFA et distribuent des enveloppes de plusieurs millions à leur clientèle que nous allons y arriver.
Dans un pays où Farba Senghor a. Été ministre , Cisse Lo Vice President de l’Assemblée et Idy Seck PM, il vaut mieux faire garantir la monnaie par un pays sérieux.
La monnaie stable , c’est la seule chose qui nous reste. Si on fait les cons, il ne sera plus loin le jour où une Première Dame drianké demandera au Directeur de la Banque Centrale de lui imprimer toutes affaires cessantes 100 millions de francs pour faire son batré au nguèneté de sa petite sœur ou aller au Magal de son marabout.
Deukou nègres amoul tankou kaname.
L'UEMOA doit etre vigilant avec les politiques de diviser et conquerir qui peut etre utiluser contre eux.
OUAIS C RFI QUI GUEULE ON A TOUT COMPRIS...
Macky et Ouatarra travaillent pour un Euro des Colonies Ouest-africaines, c’est-à-dire ECO. Qu'ils quittent le pouvoir tous les deux en 2020! Des vendus. Des néo-spahis au service du néocolonialisme. C'est ce que l'histoire retiendra de ces deux complexés atteint par le syndrome du larbin.
franceDEGAGE
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