Pour rappel, des sextapes ont été tournés à la Cité Keur Gorgui et aux Maristes.
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Pour rappel, des sextapes ont été tournés à la Cité Keur Gorgui et aux Maristes.
Le "bombass"explosif de Dialika et Birame de la serie maitresse d'un homme marie
15 août à Saly ”bombass bou eup”
En Pleine Campagne électoral – Les jeunes de Mbao organisent une soirée bombass
Hélas, les cours d’éducation sexuelle ne vous en ont rien dit. Presque tous les jours, en consultation, des patients confient à leur sexologue des idées et croyances non seulement infondées et erronées, mais nuisibles à leur vie amoureuse
La chicha : c’est le tabac en vogue à Dakar. Dans les boîtes de nuit, les restaurants, cette cigarette venue d’Orient, fait fureur. Ses adeptes sont, pour la plupart, des mineurs, des adolescents et…la gent féminine dans l’antichambre de la majorité. Si certains l’utilisent pour faire le buzz, d’autres, par contre, en usent et abusent, en y malaxant de l’alcool ou de la drogue pour avoir la tête sur les étoiles
Entre la volonté pour certains de chercher des solutions à leurs problèmes de couple, d’ordre sexuel de surcroît, et celle pour d’autres, de révéler au grand jour ce qui devrait être intime, la pudeur sénégalaise a pris un grand coup. De plus en plus, sur les réseaux sociaux et autres nouvelles technologies de l’information de la communication, on voit du tout et on parle de tout. Un constat qui pousse aujourd’hui à s’interroger sur la pudeur et cette « banalisation » de la sexualité au Sénégal. Car l’anonymat d’internet est souvent un leurre, et même un piège.
Loin des regards indiscrets, certaines personnes désireuses d’assouvir leur besoin d’évasion trouvent leur compte dans les chambres, appartements et maisons meublées. Si ce ne sont pas les soirées estampillées ‘’hot’’ organisées par des ‘’fils à papa’’ et autres ‘’enfants gâtés’’, ce sont des adultes qui s’y échappent pour plus ‘’d’intimité douteuse’’.
De prime abord et à l’évidence, les affaires Ndèye Guèye « Guddi Town », Diomboss Diaw, Cheikh Yérim Seck, Tamsir Jupiter Ndiaye, Serigne Bara Doly, les jeunes filles de Grand Yoff et aujourd’hui ces jeunes mineures prises à flagrant délit d’attentat à la pudeur à la plage de Hann, n’ont rien à voir entre elles.
Rentrant d'une soirée dansante organisée par un disc-jockey d'une station radio communautaire de la commune de Diourbel, trois gamines domiciliées au quartier Keur Gou Mack ont échappé de justesse à des viols collectifs. Interpellées par une "meute" d'individus aux intentions suspectes à quelques encablures du théâtre de verdure où se déroulait la soirée, les gamines aux tenues extravagantes ont été poursuivies par leurs assaillants jusque vers le Cdeps.
Le pays de la «Teranga» (hospitalité) est encore secoué par un nouveau scandale à caractère sexuel. De jeunes élèves sont arrêtés le week-end dernier à Diourbel par la police au moment où ils se mettaient à danser le «Bombasse» dans la salle ViP du CEDEPS de ladite ville.
Suite à leur arrestation par la police, le procureur près le tribunal régional de Diourbel a ordonné hier la relaxe des 37 mineurs dont 11 garçons et 26 filles âgés entre 12 à 16 ans. «Ces mineurs arrêtés par la police à l’occasion d’une soirée de «Bombass» et de ViP sont libres après leur audience en présence de leurs parents. Le maître des poursuites judiciaires a sermonné ces enfants avant de les relaxer»
Trente sept jeunes dont vingt six filles et onze garçons ont été mis aux arrêts par la police de Diourbel. Les personnes interpellés ont été surprises au Cdeps en train de s'adonner à des danses obscènes du genre "Bombass", informe Le Quotidien. Ce groupe d'adolescents, dénommé 808, âgés entre 13 et 18 ans auraient demandé à leurs parents l'autorisation de participer à des chants religieux organisés par des établissements publics d'enseignement. Ces jeunes qui ont passé la nuit du samedi au dimanche en garde à vue seront présentés aujourd'hui au procureur de la République. Ils sont poursuivis pour destruction de biens publics et d'attentat à la pudeur.
Le "Bombass", la nouvelle danse lascive décriée par des vois soucieuses de la préservation de la morale et des bonnes mœurs, peut légitiment relever de la "citadinité subalterne", selon une formule dédiée à l’analyse des mutations de la société sénégalaise par l’anthropologue et chercheur Thomas Fouquet.
A l’issue de notre entretien avec le guide religieux Ahmed Khalifa Niass, ce dernier a donné aussi, son appréciation sur la dégradation de la société et les danses indécentes créées dernièrement du genre « Bombasse ». Mais contrairement à ceux qui la critiquent, lui pense que cette danse n’a rien d’un « gros pêché »
L’adolescence, c’est la période où le paraître prend de l’importance pour les enfants. Les jeunes sont très vite fascinés par de nouvelles danses érotiques. Bombass est leur nouvelle trouvaille, Venue des Jamaïque. Elle fait des ravages chez les jeunes. D’hier à aujourd’hui, la danse sénégalaise dans son ensemble est en pleine évolution mais en même temps elle subit une profonde mutation.
Oustaz Iran Ndao parle de la nouvelle danse « Bombass »
BOMBAS: cette danse qui fait fureur dans les boites de nuit