Elle accuse son mari d’avoir volé les 5000 Fcfa qui étaient sur une table.
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Elle accuse son mari d’avoir volé les 5000 Fcfa qui étaient sur une table.
la fuite de Baye Modou Fall alias Boy Djinné est une affaire qui repose sur la table les cas d’évasion qui sont souvent notés dans les lieux de privation de liberté.
Elle accuse son mari d’avoir volé les 5000 Fcfa qui étaient sur une table.
la fuite de Baye Modou Fall alias Boy Djinné est une affaire qui repose sur la table les cas d’évasion qui sont souvent notés dans les lieux de privation de liberté.
Le caïd repenti Aboubacar Sy dit Bouba Chinois invite les autorités publiques à ouvrir les portes des prisons aux organisations et associations islamiques, pour leur permettre de semer la graine de la foi dans le cœur des détenus et leur permettre de retrouver le droit chemin comme il est parvenu à le faire grâce à l’islam.
La chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Dakar vient de rendre son verdict : Boubacar Sy alias « Bouba Chinois » n’est pas reconnu coupable de tentatives d’assassinat. Il échappe ainsi aux travaux forcés à perpétuité, peine requise, hier, par le Procureur.
Né le 26 septembre 1956, divorcé et père de deux enfants dont l'aîné a 42 ans et la cadette 16 ans, Boubacar Sy alias “Bouba chinois” a comparu ce jeudi devant la chambre criminelle du tribunal de grande instance de Dakar. Il sera fixé sur son sort ce vendredi.
La session de la chambre criminelle du tribunal de grande instance (Tgi) de Dakar débute le lundi 7 mars prochain. L'interrogatoire des accusés et la désignation des avocats commis d'office a eu lieu ce matin à la salle 4. Cette session sera présidée par le juge Ndary Diop, président de chambre au Tribunal de grande instance de Dakar, imam ratib de la mosquée de Thiaroye Azur.
Des nouvelles de l’imam Alioune Badara Ndao, inculpé et placé sous mandat de dépôt par le Doyen des juges, Samba Sall, à la suite de son arrestation avec 4 personnes (dont 2 femmes) dans une enquête sur le terrorisme.
De hauts murs protègent un entrepôt chinois d’arachide à Dinguiraye (centre du Sénégal) où ce produit devient “l’or” des paysans qui la vendent plus cher avec l’arrivée des Chinois mais les huiliers locaux, boudés par les cultivateurs, parlent de “concurrence déloyale”.
De hauts murs protègent un entrepôt chinois d’arachide à Dinguiraye (centre du Sénégal) où ce produit devient “l’or” des paysans qui la vendent plus cher avec l’arrivée des Chinois mais les huiliers locaux, boudés par les cultivateurs, parlent de “concurrence déloyale”.
Le quartier de Rebeuss était une cité hybride au flanc immédiat du Dakar des affaires et de ce qui reste du Plateau historique, dont il était une partie intégrante avant d’en être déconnecté à la faveur d’une paupérisation devenue endémique de ces milliers d’âmes qui y ont trouvé refuge. Cette conurbanisation qui défie toutes les normes urbanistiques modernes est un Sénégal en miniature. Le creuset d’une confluence socio-ethnique et réceptacle bigarré, mais riche de toutes les influences portées par les diversités dont Reubeuss est le lieu de convergence.
"Apprends-moi à pêcher au lieu de me donner du poisson tous les jours " comme le dit le proverbe chinois. En pays soninké, être jeune donne le droit à plusieurs passions. Il y a des amoureux du football,
Il n’y pas eu, ces dernières décennies, de phénomène plus antipathique que ce Mamadou Massaly. Ses lettres de noblesse, il les a acquises dans la forfanterie et l’insolence pure, après une scolarité ratée. S’il est donc un objet de préoccupation pour ses contemporains, c’est bien en raison des dangers que cet écervelé fait courir à son pays. Ce n’est pas de lui, mais de la Justice qu’il s’agit. Ce n’est pas l’avenir des Jeunesses wadistes -sa création de génie- qui se joue au tribunal, mais l’avenir de la Justice sénégalaise.
Un détenu de la maison d’arrêt de rebeuss a réussi à sortir de la prison dimanche dernier aux environs de 23h 15minutes, mais il a été vite rattrapé par les populations riveraines, rapporte ce lundi le journal dakarois Le populaire. L’évadé n’a pas été au bout de sa course, rattrapé et ramené de force à la case départ pour y poursuivre sa détention. Selon les témoins, c’est à l’aide d’une corde de fortune faite de draps et de serviettes noués que le détenu a fait la belle, descendant le long de la muraille pour prendre l’air.
Les ministres qui étaient présents au Conseil présidentiel de mercredi savent déjà pourquoi ils y étaient. C’est pour l’annonce. Pour que l’on dise après, dans toutes les chaînes de radio et de télévision, que le président de la République a tenu un « Conseil présidentiel sur les inondations ». Après cette messe eucharistique avec leur gourou, quand vous les interrogés, les ministres vous disent tous avec la conviction d’un nouveau repenti que « ça ne sert à rien ». C’est la première fois, depuis l’avènement de ce que nous appelons l’alternance, que je vois des ministres avoir honte de leur gouvernement et des responsables du Pds avoir honte de leur parti.
Fraîchement sorti de prison, Boubacar Sy, alias Bouba Chinois, a accepté de se confier à nous. En revenant sur son passé, les raisons de sa dernière arrestation. Mais surtout, sur les propositions indécentes qu’il a eu à refuser dans sa vie. Présentez-vous à nos lecteurs ? Je m’appelle Boubacar Sy, plus connu sous le nom de Bouba Chinois. Parce que ma mère est Vietnamienne et mon père Toucouleur. Je pense que c’est à cause de mes traits asiatiques que les gens ont préféré le nom Chinois à Boubacar Sy. Quelles sont les raisons de votre dernière incarcération ? D’après ce que les médias ont dit, et ce que la Division des investigations criminelles (Dic), a voulu faire croire aux gens, c’est une histoire de chanvre indien, qu’on avait saisi avec mon jeune frère. Mais je sais qu’il y a des dessous politiques dans cette affaire.
Selon des sources pénitentiaires établies au camp pénal qui ont suivi de près Bouba Chinois et Barthélemy Dias, ces deux détenus leur ont fait des confidences. Le premier en l’occurrence Bouba Chinois a très mal pris les informations faisant de lui l’initiateur d’une mutinerie pour justifier le transfèrement de Barthélemy Dias à la maison d’arrêt et de correction de Tamba. Quant à Dias-fils, il met ses sorties virulentes et fracassantes contre le chef de l’Etat Me Abdoulaye Wade sur le compte de la révolte. Pas plus. Bouba Chinois a été très affecté par les informations parues dans la presse, faisant état de son intention d’organiser une mutinerie à la prison du camp pénal avec Barthélemy Dias.
Depuis la Maison d’arrêt et de correction de Tambacounda où il est détenu, Barthélémy Dias a fait des révélations. Le leader de Convergence socialiste est revenu sur les raisons de son transfert de la Maison centrale d’arrêt et de correction de Rebeuss à la prison de Tambacounda. Mais aussi il parle d’un l’accident que le véhicule de l’administration pénitentiaire qui le transportait a eu sur la route de Tambacounda. Barthélémy Dias revient également sur le contenu des discussions qu’il a eues avec les autorités américaines qui lui ont rendu visite en prison, Barthélemy ayant aussi la nationalité américaine. Source : Le Populaire