La décision est prise. Le marché de Sandaga sera fermé. Président de «And Taxawu Sandaga », Daouda Diouf explique la position des commerçants sur cette décision et lance un appel à l’Etat et aux commerçants.
ON EN PARLE
La décision est prise. Le marché de Sandaga sera fermé. Président de «And Taxawu Sandaga », Daouda Diouf explique la position des commerçants sur cette décision et lance un appel à l’Etat et aux commerçants.
14 Commentaires
Portnawak
En Août, 2019 (12:23 PM)LES 98% VIENNENT DUN VILLAGE. ILS VEULENT REMETTRE DES CANTINES APRÈS RÉNOVATION.
C'ESTINADMISSIBLE.
ILS ONT TRANSFORME DAKAR EN SOUK. SONT ENCORE DANS L INFORMEL ,BRASSENT DES DIZAINES DE MILLIONS VOIRE DES MILLIARDS PAR AN ET NE PAIENT PAS D IMPÔTS COMME NOUS AUTRES QUI AVONS DES ENTREPRISES FORMELLES.
LA MAIRIE DE DAKAR PLATEAU , LE MINISTÈRE DES FINANCES, LE MINISTÈRE DE L URBANISME DOIVENT FAIRE DES EFFORTS POUR Y REMÉDIER.
CES COMMERÇANTS NE PEUVENT PAS VOUS IMPOSER UN MODÈLE DE PLAN À LEUR FAÇON ET VOUS DEMANDER DE LE VALIDER.
Pourquoi ? Parce que dans les pays africains, il y a l’Etat et les citoyens et quand l’autorité politique décide, dans l’intérêt de la collectivité, tous les citoyens s’executent..
C’est le cas au Maroc, c’est le cas en Côte d’Ivoire, c’est le cas au Rwanda, tous ces pays étant nommé à dessein , pour des faits similaires que le Sénégal voudrait pratiquer , notamment la propreté exemplaire des villes du Rwanda, vantée partout en Afrique et même en Europe.
Le goulot d’étranglement Sénégalais est qu’entre l’Etat et les citoyens, il y a dés strates, car nombre de Sénégalais sont d’abord des talibes, avant d’etre citoyens, ils défendent plus leurs intérêts particuliers, corporatistes, que ceux de la collectivité.
Voilà pourquoi nous aurons énormément de problèmes pour émerger, car nous n’avons tous l’esprit citoyen, l’amour delà patrie avant tout et c’est ce qui explique l’anarchie, la pagaille qui régent partout dans ce pays et que des politiciens, opportunistes, arrivistes et peu courageux n’essaient même pas de juguler.
Ce monsieur a proféré des menaces...
L'état doit prendre ses responsabilités
Sandaga doit être rasé et reconstruit et on ne veut plus voir de cantines aux alentours.
Les trottoirs aux piétons ,la route Au voiture
Les commerçants dans leurs boutiques
Dersde
En Août, 2019 (13:13 PM)Même en Alaska.
Je me demande vraiment ce qu'ils ont appris dans leurs Daras.
UN VÉRITABLE PROBLÈME DE MENTALITÉ SE POSE AVEC CES COMMERÇANTS.
LA VIE DANS UNE VILLE RÉPOND À DES RÈGLES.
ON SE DEMANDE SI NOS MAIRES D ARRONDISSEMENT L ONT COMPRIS.
ON NE VEUT PLUS DE CANTINES SUR LES TROTTOIRS ,PLUS DE MARCHANDS AMBULANTS QUI ÉTALENT LEUR MARCHANDISE À MÊME LE SOL.
SANDAGA C'EST TOUT UNE ÉCONOMIE. MAIS QUI EST GÉRÉ PAR DES GENS INCULTES QUI NE CONNAISSENT RIEN DE LA VIE EN VILLE
Volai414
En Août, 2019 (14:32 PM)Qui est propriétaire de Sandaga ? La ville de Dakar ou l’état du Sénégal?
Les commerçants qui y sont actuellement sont-ils locataires ou certains sont-ils propriétaires ?
Ma dernière question peut paraître saugrenue car, en règle générale, un marché doit appartenir une collectivité territoriale. Mais nous sommes au Sénégal ou l’impossible n’existe pas.
Si le propriétaire et entre la ville de Dakar et l’état du Sénégal, il y a longtemps que ce propriétaire pouvait être poursuivi en justice par n’importe quel collectifs d’usagers pour défaut de mise en sécurité. Ce n’est pas seulement une question d’esthétique ou d’hygiène mais bien de sécurité avant tout. Par ailleurs, un locataire a-t-il le droit ou le privilège d’exiger de son bailleur de le consulter pour se mettre en conformité avec une loi ? Evidemment, tout cela est synonyme de discipline et les sénégalais que nous sommes ont un sacré problème avec cette valeur fondamentale dans une Nation qui aspire à l’émergence, serpent de mer chez nous. Je vous parie que dans les jours à venir il sera question de demander à un ou des guides religieux de jouer les intermédiaires. On le fait même dans des situations purement régaliennes alors une fois de plus ou de moins….
Pour que ce pays avance un peu, il faudrait que chaque fois que quelqu’un sort du civisme on ose le lui dire. Je peux quand même faire l’hypothèse que dans chaque famille il y a au moins quelqu’un de bon sens pour tirer sur la sonnette d’alarme. Je rappelle qu’au lendemain du naufrage du Joola, tout un peuple s’est levé pour crier « plus jamais ». Là aussi j’ai la drôle d’impression que « jamais » n’existe pas chez nous.
TOUS CES VILLAGEOIS FOUTENT TROP DE BORDEL DANS LES VILLES.
ÇA NOUS COÛTE TROP D ARGENT.
Saloum Saloum
En Août, 2019 (18:04 PM)Dakar Capitale Anarchique
En Août, 2019 (22:52 PM)Participer à la Discussion