Une solution, par et pour les enfants, aux problèmes de mendicité et autres maltraitances, c'est bien possible. Pour ce faire, Sky pictures entertainment a opté pour un concours de courts métrages. Objectif: "donner l’opportunité aux enfants d’exprimer leur opinion et leur créativité, et de contribuer au changement des comportements de la société, à travers la réalisation par les adolescents eux-mêmes, de films abordant des thèmes tels que : l’éradication de la mendicité des enfants talibés, la traite des enfants, la scolarisation des jeunes filles, les mariages d’enfants, les grossesses précoces, les violences faites aux femmes, les viols des enfants, l’excision, etc".
"Le concours m'a permis de m'exprimer sur la mendicité, la traite des enfants et surtout sur le banditisme", confie Bachir Bailo, un des finalistes.
2 Commentaires
Qe
En Octobre, 2019 (08:11 AM)Sénégalais
En Novembre, 2019 (20:15 PM)- les géniteurs qui ne méritent pas le titre de parents. Les premiers responsables, ce sont des animaux au vrai sens du terme. Aucune forme de pauvreté ou de croyance ne justifie cette fuite de responsabilités. Quand on ose dire au supposé maître coranique de son enfant "ay yakham la-la ladj" cela signifie implicitement qu'ils ne lui demanderont jamais de comptes à plus forte raison lui porter pleinte quel que soit le traitement infligé.
- les supposés maîtres coraniques de vrais tortionnaires sans état d'âme, sortis tous droit des entrailles de l'enfer. Ils me rappellent le capitaine Domato dans Kunta-Kinté. C'était à eux d'aller mendier sils étaient convaincus de leur mission.
- Nous sénégalais lambda, nous qui croyons que notre avenir sera d'autant plus belle que nous aurons de bons marabouts chargés de nos "kharfa-foufa". On nous apprend à croire dès le bas âge à l'importance du marabout "guissané" à travers les gris-gris dont on nous barde, les "sarakh" et bains mystiques de notre entourage proche, les "nawétanes" et entre autres les pratiques mystiques de la lutte. Tout ceci justifie l'existence de ces talibés premières cibles des "sarakh".
Comme on est au Sénégal, je n'ose pas parler des grands propriétaires terriens multimilliardaires que sont nos chef religieux ou "serignes tarikha" mais il est de notre devoir de souligner leur complicité tacite à travers un silence assourdissant. Entre construire une mosquée à coup de milliards et investir ces mêmes milliards dans l'implantation de darras suivant la subdivision territoriale, à l'instar de la case des tous petits, respectueux des besoins de la petite enfance ou se trouve la priorité ?
Je suis encore désolé de le souligner mais des gens comme Khadim Samb de "thiakhabal" et Iran Ndao ne peuvent constituer des références en terme de réussite sociale pour justifier le maintien de ces pratiques d'un siècle révolu.
Excellent gamou à tous
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