A travers un communiqué de presse, sanctionnant leur rencontre de ce samedi 2 novembre, Abdoulaye Diagne et ses camarades "encouragent le gouvernement, en particulier le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (Mesri) pour la diligence et l’efficacité dans l’orientation des nouveaux bacheliers qui vont tous rejoindre les universités publiques". Ils demandent, dans la foulée, à tous les centres des œuvres universitaires d'"accompagner cette dynamique pour une année académique apaisée".
Ces étudiants de la majorité présidentielle se sont par ailleurs réjouis du lancement des travaux du Bus-Rapid-Transit (Brt) qu'ils considèrent comme un "moyen de transport traduisant la modernité, la rapidité, la sécurité et le confort mais aussi et surtout la fluidité de la circulation avec à la clé une vision écologique pour notre cadre vie, et qui générera beaucoup d’emplois".
D'ailleurs, le secrétariat exécutif du Ceemp a invité les membres de la grande majorité "à se concentrer sur l’exécution du programme 5 -3-5 plébiscité par le peuple sénégalais lors de l’élection présidentielle de février 2019 pour l’intérêt supérieur de la nation".
9 Commentaires
Anonyme
En Novembre, 2019 (15:11 PM)tout a été dit !
ils sont orientés d'office avec bourse...et les autres ???
Des milliers de nouveaux étudiants rattrapés par la session de rattrapage qui fera grossir le nombre d'idiots qui polluent les universités.
Les 3/4 sont quasiment illétrés , juste bon à fomenter des grèves et assumer le bordel.
des caïds qui font le commerce payant des chambres et exigent de manger gratuitement.
leur bourse sert à entretenir leur famille .
Quelle mascarade quand on connait le résultat de "leurs prouesses intellectuelles au Bac " pointé moins zéro !
Anonyme
En Novembre, 2019 (16:06 PM)Moustapha
En Novembre, 2019 (16:08 PM)C est teiste pour vous
Météo
En Novembre, 2019 (16:22 PM)Fode
En Novembre, 2019 (16:28 PM)Déjà trop de monde dans ces universites et peu d enseignants.
Ces memes enseignants ont d ailleurs dit a qui veut l entendre l impossibilite de mettre en oeuvre une telle decision de parquer ces nouveaux bacheliers dans les structures existantes.
Trop de nafekhs
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