"Quand je vois un jeune comme Carlou D je suis fier, parce qu’il sait danser et chanter. On s’est vu récemment lors des obsèques de son père, je l’ai encouragé et lui ai dit qu’il lui reste encore des choses à réaliser. Je vois en lui mon héritier, parce qu’il a aussi un look de Roots et chante comme un Roots, comme je le faisais d’ailleurs". C’est le serment, si on peut parler ainsi, de celui qu’on surnomme Père Ouza. Il faisait face au quotidien Les Échos, lors d’un entretien riche en révélations. Morceaux choisis : "Je suis au crépuscule de ma vie musicale. J’ai décidé, depuis longtemps, de ne plus jouer dans les boîtes de nuit parce que Adiouza est là. Mes fils et moi avons décidé de reprendre l’ensemble de mes chansons avec de nouveaux arrangements. On voulait ouvrir une école de musique, mais mes partenaires et moi n’avons pas pu, malheureusement, entrer en possession du terrain que nous avions à Diass".
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