Selon L'AS, l'Inspection d'académie de Dakar rencontre ce vendredi la direction de l'institution Sainte Jeanne d'Arc pour qu'elle s'explique sur la mesure d'interdiction du port du voile qui serait en vigueur dans son établissement.
En attendant cette rencontre qui s'annonce décisive pour la suite des événements, l'inspectrice d'académie de Dakar, Aidara Sy Diagne, reprise par Le Soleil, rappelle un principe : "Nous sommes dans un pays laïc, donc l'éducation est aussi laïque. Nos enfants fréquentent, sans discrimination mais aussi sans aucune considération religieuse, les structures catholiques ou franco-arabes."
Elle invite les différents acteurs à s'en tenir aux textes réglementaires et législatifs, qui régissent le système éducatif sénégalais.
À rappeler que l'école Sainte Jeanne d'Arc a décidé, dès la prochaine rentrée, d'interdire le port du voile dans son établissement.
21 Commentaires
Nuz
En Mai, 2019 (09:33 AM)Pas de bol de nos jours, vous etes du mauvais cote bayyilen tek yalla nit.
Cést une decision politique du consul de nicee en 325 contre les l'autre opinion de l arianisme.
Jesus cooeternel a Allah
Ben voyons
Conseiller
En Mai, 2019 (10:01 AM)Posez vous juste une question : En quoi l'interdiction du voile pourrait améliorer les résultats des élèves ou pas et leur éducation ? Je pense qu'il n y'a aucun rapport. Cela ne va créer que des polémiques inutiles.
Donc bayyil mou séde. Nous vivons bien au Sénégal en tout cas pour ce qui est de la religion.
Diadieuf !
Citoyen Lamda
En Mai, 2019 (10:33 AM)Yanncik
En Mai, 2019 (11:41 AM)Y a par contre une loi contre la discrimination
Le règlement intérieur de l'établissement en 2017 autorisé le voile mais aux couleurs de l'établissement
Je n’ai pas fini, ce qui est dangereux, c'est ce débat et c'est dommage d'en arriver là.
Nous en sommes réduit à dire pourquoi le musulman fait ci ou fait çà, idem pour les catholiques ne nous laissons pas faire les amis soyons plus fort que satan et montrons à ces occidentaux à qui je pense qu'ils sont en train de nous manipuler que nous vallons plus que çà *
Guène balma akh et que Dieu vous bénisse
Ceddo1
En Mai, 2019 (12:43 PM)LAICITE OU PAS LA GRANDE MAJORITE DU SENEGAL SE CONSIDERE MUSULMAN ET PRATIQUANT.
DANS LE CLIMAT ACTUEL CETTE ECOLE DECIDENT DE BANIR LE VOILE COMME EN FRANCE.ERREUR!ICI CE N EST PLUS LA FRANCE.
NOS PARENTS SE DISAIENT PETIT TOUBAB "CIVILISES EVOLUES" LAICS AVEC LEURS COSTUMES ET LEURS CROISSANTS.
PAS NOTRE GENERATION.
NOUS SOMMES DES MUSULMANS ET ON LE CLAME HAUT ET FORT.NOS PARENTS DES ANNEES 70 ET 80 A DAKAR ETAIENT DES COMPLEXES EMULANT LES BLANCS.
PAS NOUS.ET JEANNE D ARC VIENT DE FAIRE UNE GRAVE ERREUR AUX LOURDES CONSEQUENCES.
ON VERRA SOUS PEU.C EST UNE PROMESSE
Foufon
En Mai, 2019 (12:44 PM)Nous ne sommes pas comme les Europeens..Nous les africains sommes tolerants et je ne sais pas ce qui est passée par la tete des administrateurs de Jeanne d'arc
Foufon
En Mai, 2019 (12:44 PM)Nous ne sommes pas comme les Europeens..Nous les africains sommes tolerants et je ne sais pas ce qui est passée par la tete des administrateurs de Jeanne d'arc
Man
En Mai, 2019 (13:52 PM)Bouba
En Mai, 2019 (13:54 PM)le problème est simple pour ceux qui critique ..arrêtez d'envoyer vos enfants dans un institut qui vous convient pas
Billyjoe
En Mai, 2019 (14:14 PM)Ce n’est meme pas envisageable en olus cet Abbé s’enfonce plus avec ces histoires a dormir debout !
Quil fasse profil bas car ca prend de l’ampleur ce truc avec tous les troubles que ca peut apporter !
Mais ils sont tombés sur la tete ou quoi!
Cette mere de famille qui est décédée avec ces 2 filles en voulant faire du ngallakh a ces voisins musulmans comme depuis toujours dois se retourner dans sa tombe.:.
Réveillez vous Abbe ici c’est lafrique .:.
Je suis musulmans d’origine libanaise et je suis choqué et croyez moi je ne suis pas extrémiste je suis plus que modéré
Je vais en boite de nuit je me met en maillot donc je parles uniquement pour botre bien car nous avons cette union avec nos freres chretiens ...
Gardons la!!!!
selon les conditions sociologiques et historiques qui l’ont accompagné. L’observateur est souvent dérouté par la situation dans les pays musulmans. Il ne sait pas si le voile est une obligation religieuse – au même titre que la prière, le jeûne et la profession de foi – dont l’abandon entraîne l’excommunication ou un phénomène sociologique qui apparaît à un moment donné, puis disparaît, puis réapparaît à nouveau.
A supposer que le voile soit une obligation religieuse, pourquoi dans ce cas les musulmans l’ont-ils délaissé à certaines époques, chose qui n’est pas arrivée à d’autres obligations, inébranlables celles-là ? S’il faisait effectivement, véritablement et indubitablement partie de la religion, pourquoi n’est-il pas affirmé en tant que norme au même titre que les autres obligations ? C’est peut-être parce qu’il s’agit d’un phénomène sociologique relatif aux conditions sociales, économiques et politiques. Dans ce cas, il est logé à la même enseigne que les autres modes vestimentaires, variables selon les cultures et les époques.
Avant la conquête musulmane, la femme égyptienne allait cheveux au vent et parée d’accessoires de beauté. Elle participait au processus de production, les pieds dans la boue, accompagnant son mari dans les champs, entretenant les canaux d’irrigation ou régulant leur débit en compagnie des autres paysans. Les conditions de travail étaient telles que le voile aurait entravé le travail agricole. Ce n’était pas une honte, ni une tare, ni même quelque chose qui attirait l’attention qu’une femme découvre son sein pour allaiter son enfant au marché. Ou qu’elle montre ses cuisses en pétrissant la glaise ou en lavant les vêtements au bord du Nil. Cette situation a duré après la conquête musulmane, compte tenu des conditions économiques. C’est seulement parmi les classes possédantes, plus aisées et qui n’avaient pas besoin de travailler de leurs mains pour vivre que les femmes portaient le voile. Ce mimétisme avec l’envahisseur arabe était un moyen d’affirmer leur statut social.
L’Egypte a subi d’autres invasions, dont certaines plus rigoristes, que ce soient celles des Fatimides chiites, des Ayyoubides sunnites, des Mamelouks ou des Ottomans, mais la paysanne ne partageait pas les habits de la classe dirigeante. Quant à la classe moyenne, elle cherchait à se rapprocher de l’aristocratie. Les femmes des commerçants ou des grands propriétaires se sont revêtu le visage d’un fin tissu transparent, appelé bicha. A l’époque de la colonisation ottomane, le bicha s’est réduit à quelques fils entrecroisés qu’on appelait yechmek. Il ne cachait rien, mais faisait partie des attributs d’un statut, au même titre que les bijoux en or.
Lors de la révolution de 1919, menée par la classe moyenne, l’égalité des citoyens a été déclarée. Le voile, signe de classe, n’était plus de mise. La plupart des pays arabes et musulmans ont suivi l’exemple, conformément à une volonté affichée et formulée par le penseur de la nahda [mouvement de renouveau intellectuel arabe de la fin du XIXe siècle] et éminent militant des droits des femmes Qasim Amin et, bien sûr, par Hoda Shaarawi, la femme qui a publiquement enlevé son voile [en 1923], un geste qui poussera l’ensemble des Egyptiennes à faire de même. C’est donc la société qui a voulu que le “sexe faible” sorte de l’espace protégé et intime de la vie privée pour participer à la vie publique, concourant aux côtés des hommes à la construction de la patrie. Cela a constitué, jusqu’à une date récente, l’une des grandes fiertés de la révolution de 1919. Les historiens parlent à ce propos de “l’époque du renouveau et des Lumières”, dont l’influence a dépassé les frontières de l’Egypte. Ainsi, dans les pays voisins, de nombreuses femmes, et notamment les étudiantes, ont elles aussi enlevé le voile.
Si le voile était un élément essentiel de l’islam, celui-ci se serait effondré le jour où les femmes égyptiennes – et, plus généralement, arabes – l’ont enlevé. Ce qui mérite également d’être souligné, c’est que le renoncement au voile a eu lieu lors de la période du renouveau et des Lumières, tandis que la reprise du port du voile va de pair avec la décadence de la nation arabe et se produit à l’époque des régimes militaires, qui, en établissant leur tyrannie au nom des causes nationales, ont provoqué des défaites historiques et un désenchantement si violent qu’il a entraîné des réactions tout aussi violentes, à savoir l’islam politique et terroriste. Celui-ci avait besoin pour s’imposer de symboles tels que le voile, dont le retour est allé de pair avec l’essor pétrolier. C’est ce qu’on appelle la sahwa [l’éveil], un mouvement au parfum de pétrole et à l’esprit aussi sec et rude que le désert d’où il vient.
On voit avec quelle facilité tout un peuple passe d’un consensus social à un autre, de l’adoption d’un vêtement à son rejet. Si un peuple fait une chose et son contraire à quelques années d’intervalle, cela signifie qu’il est perturbé et incertain sur la voie à suivre. Il ne va jamais jusqu’au bout et ne fait jamais de pas en avant sans ensuite en faire autant en arrière.
Cette valse-hésitation prouve que les musulmans ne sont plus sûrs de rien. Nous savons parfaitement pourquoi nos mères et grands-mères ont piétiné leur voile en public. A l’époque, les idées des Egyptiens étaient ouvertement laïques. Ils voulaient qu’un contrat social affirme que la patrie est commune à toutes les communautés et confessions, que tous les citoyens sont égaux en droits et en devoirs. Ils voulaient un Etat moderne avec des institutions civiles et un système parlementaire au sein duquel la volonté populaire aurait pu imposer des alternances entre des partis politiques forts. Bref, il s’agissait d’emprunter le modèle occidental, qui était jugé supérieur malgré le rejet du colonialisme, qui, en 1919, dominait le pays. C’était une volonté collective de s’accrocher au train de la modernité des pays développés. Ce qui est étrange, c’est que le voile fait son retour quand la nation est vaincue et humiliée, au moment précisément où elle aurait besoin de respirer un air de liberté afin de sortir de son marasme, de son sous-développement et de l’insoutenable défaite de sa civilisation.
Sayed El-Qemani
Foufon
En Mai, 2019 (14:27 PM)Nous les africians noire Devons savoir que l'islam et le christianisme sont des religions importé et forcées presque partout en africque..
Nos Religions et coutumes Noire nous ont permis jusqu'A present de vivre partout en afrique noire dans la tolerance..continuons de cultiverces coutumes qui sont noire.
Car les europeens et Arabes vont se faire la guerre par Noire interposé Car ELS SOIS DISANT RELIGIONS REVELÈS N'ont presque toute qu'un seul pbut " LE POUVOIR..!!" .
Nous les africians avons notre spirutualité et nous ne l'avons forcé a personne sinon c est meme cette spiritualité qui fait que etant convertis a L'islam ou a la chretiennté nous remplissons les eglises et mosque´.
Sachez que las religions importé sont des objets purement politique et instumrnet de pouvoir ..Cest la Raison pour laquelle les religieux ont toujours fricotté Avec les politique ou le pouvoir quel qu'il soit..
SOYEZ NOIRE AVNAD D'ETRE MUSULMAN..
SOYEZ NOIRE AVANS D'ETRECHRETIEN..
LA TOLERANCE EST NOIRE CAR C 'est ce qui a meme Permit que ces relgions qui ont ete importé viennent s#oinstaller aussi facilement chez nous..
Ne faisont pas le jeux des Arabes ou erueopeeen qui se sont toujours servir de notre savoir faire en nous endctriant pour mieux nous dominer ..Ne laissez pas cws gens nous diviser.. soyez solidaire a un Beninois, A un Ivoirne plus qu 'a un Marocain, Algerien ou Francias , Allemenand ..Ayez la solidarité de la Melanine CAR C'EST LE SECRET DE LA SPIRITUaLITÈ .
Si dieu a fait Que Adam et Eve etaient Noire c'est parceque l'homme Parfait dois etre noire..
Si cet homme a perdu sa Melanine en allant dans des contrées froides et hostil et sombre ce dernier est devenu mechant et a perdu la spiritualité et s'est transformer en Bete avide d#interet '..
C 'est homme noire devenu blancs par changememtn climatique a reemigrée vers les terre plus clementes et meilleur tel qu l'afrique du nord et a ete acceuillis par des peupels tres sympa qui sont les noire ..Parcointre le Nore deven ublancs est deven u mechant et a chassée les noire des contrées ou il vivait a l'origine en creeant un concepte pour dominer ce noire qui naturellement avait l grace de dieu . Cest pour cela vous avez en afrique du nord des Arabes..Ces sont des Blancs qui ont immigrée et fuit la misere pendante les peridoes de guerres et de froid..
La meme Chose en Inde, au Jemen , jeusqu'en afganistant.
Le noire a le secret de dieu sur sa paux ..C'est la malenine.. Nous n'avons pas besoin de religions sois disant reveleé alors que dieu a cree le Noir depuis des milliions d'année en se revelant a lui.
Les meme concepte utlisé dans la tora juifs , sont utiliser dans le coran et le bible..Ce sont des Concepte Pharaonique et africians noire qui nous sont revendu par l'islam, Le Judaisme et la Religion chretienne..
De mee qu'on vend nos ressosurces Mons cher et importons des pays blancs des produits soi disant finis dont 'nous n'avons pas besoin ..De La meme maniere nous consomns des religions qu'on nous vend et dont nous devrions realiser que 'est nous qui les avons pensé et restons maitneant alllièné comme des drogué
Quiconque ose dire le contraire le démontre !!!!
Quels sont les cinq piliers de l'islam?
Les cinq piliers de l'islam constituent le fondement du mode de vie islamique. Ces piliers sont: la profession de foi, la prière, la zakat (soutien financier aux pauvres), le jeûne du mois de Ramadan, et le pèlerinage à la Mecque une fois dans la vie pour ceux qui en ont les moyens.
1) La profession de foi:
La profession de foi consiste à déclarer, avec conviction, “La ilaha illa Allah, Mohammadour rasoulou Allah.” Cette déclaration signifie: "Il n'y a pas d'autre dieu qu'Allah1 et Mohammed est Son messager (prophète)." La première partie, "Il n'y a pas d'autre dieu qu'Allah" signifie que nul n'a le droit d'être adoré à part Dieu, et que Dieu n'a ni partenaire ni fils. Cette profession de foi est appelée la shahada, une formule toute simple qui doit être prononcée avec conviction par celui ou celle qui veut se convertir à l'islam (comme nous l'avons expliqué précédemment sur cette page). La profession de foi est le pilier le plus important de l'islam.
2) La prière:
Les musulmans font cinq prières par jour. Chacune d'elles ne demande pas plus de quelques minutes. La prière en islam crée un lien direct entre Dieu et la personne qui Le prie, car il n'y a pas d'intermédiaire entre Dieu et cette personne.
Lorsqu'une personne prie, elle ressent au fond d'elle-même du bonheur, de la paix et du bien-être, et elle sent que Dieu est satisfait d'elle. Le prophète Mohammed a dit: {Bilal, appelle les gens à la prière, que nous soyons réconfortés par elle.}2 Bilal était un compagnon de Mohammed à qui on avait confié la tâche d'appeler les gens à la prière.
Les prières se font à l'aube, à midi, au milieu de l'après-midi, au coucher du soleil, et dans la soirée. Un musulman peut prier à peu près n'importe où, que ce soit dans un champ, au bureau, dans une manufacture ou à l'université.
3) Donner la Zakat (soutien aux pauvres):
Toute chose appartient à Dieu, et les richesses ne sont donc que gérées par les êtres humains. Le sens premier du mot zakat est à la fois "purification" et "croissance". Donner la zakat signifie "donner un certain pourcentage de la valeur de certains biens à certaines catégories de nécessiteux". Le pourcentage qui est dû sur l'or, l'argent et les fonds en argent qui équivalent à la valeur du poids de 85 grammes d'or, et dont une personne a été en possession pendant toute une année lunaire, est de deux et demie pourcent. Nos biens sont purifiés lorsque nous en mettons de côté une petite partie pour ceux qui sont dans le besoin et, comme lorsque nous taillons une plante, ce prélèvement a pour effet d'équilibrer et de favoriser une nouvelle croissance.
Une personne peut aussi donner autant qu'elle le veut en charité non-obligatoire.
4) Le jeûne du mois de Ramadan:
Chaque année au mois de Ramadan,3 les musulmans jeûnent de l'aube jusqu'au coucher du soleil en s'abstenant de manger, de boire et d'avoir des rapports sexuels.
Bien que le jeûne soit bon pour la santé, il est surtout considéré comme une façon de se purifier spirituellement. En rompant ses liens avec les commodités de la vie, même pour une courte période de temps, la personne qui jeûne ne peut que ressentir de la compassion envers ceux qui ont faim, en plus de grandir spirituellement.
5) Le pèlerinage à la Mecque:
Le pèlerinage annuel (Hajj) à la Mecque est une obligation, une fois au cours de leur vie, pour ceux qui sont physiquement et financièrement capables de le faire. Près de deux millions de personnes, provenant des quatre coins du monde, se rendent chaque année à la Mecque. Bien qu'il y ait toujours de nombreux visiteurs à la Mecque, le hajj annuel doit être fait au douzième mois du calendrier islamique. Les pèlerins de sexe masculin portent un vêtement spécial d'une grande simplicité qui élimine toute distinction de classes ou de culture afin que tous soient égaux devant Dieu.
Des pèlerins entrain de prier à la mosquée Haram à la Mecque
Des pèlerins entrain de prier à la mosquée Haram à la Mecque. Dans cette mosquée, il y a la Kaaba (l'édifice cubique noir sur la photo) vers laquelle se tournent les musulmans pour prier. La Kaaba est le sanctuaire que Dieu a ordonné aux prophètes Abraham et son fils, Ismaël, de construire.
Parmi les rites du Hajj, il y a l'obligation de tourner sept fois autour de la Kaaba et de faire sept fois l'aller-retour entre les collines de Safa et Marwa, comme l'avait fait Hagar lorsqu'elle cherchait de l'eau. Ensuite, les pèlerins se rejoignent à Arafa4 où ils prient Dieu et Lui demandent pardon; pour beaucoup, ce moment fait penser à un aperçu du Jour du Jugement.
La fête de l'Aïd Al-Adha, qui est célébrée avec des prières, marque la fin du Hajj. Cette fête et celle de l'Aïd al-Fitr, qui est un jour de fête marquant la fin du Ramadan, sont les deux célébrations annuelles du calendrier musulman.
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