
Un double attentat à la voiture piégée a visé ce jeudi dans le nord du Niger le site d'extraction d'uranium du groupe nucléaire français Areva à Arlit et un camp militaire à Agadez, où une prise d'otages est toujours en cours. Le groupe jihadiste Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao) a revendiqué l'attaque. «Grâce à Allah, nous avons effectué deux opérations contre les ennemis de l’islam au Niger», a déclaré Abu Walid Sahraoui, porte parole du Mujao, à l'AFP. «Nous avons attaqué la France et le Niger pour sa coopération avec la France dans la guerre contre la charia.» Le Niger est engagé au sein de la force africaine au Mali déployée à la suite de l’offensive lancée en janvier par l’armée française contre les groupes islamistes, dont le Mujao, l’un des groupes armés qui occupait le nord du Mali depuis 2012 avant d’en être chassé depuis janvier.
7 Commentaires
Bomb
En Mai, 2013 (17:35 PM)Oussama Bénito
En Mai, 2013 (19:52 PM)Africain221
En Mai, 2013 (21:02 PM)- garantir 3 repas à sa famille
- se loger, se soigner, et pouvoir envoyer ses enfants à l' école
- arrêter les coupures d'eau et d'électricité
- garantir la sécurité des biens et des gens face aux agressions
le sénégalais de tout les jours n'a que faire de vos états d' âme, vos fantasmes et de vos délires et pour la
plus part des gens vivant en dehors du pays et fantasmant sur les films des autres.
On veut mange a notre faimr, se loger, se soigner, électricité et eau, éducation sécurité des gens et des biens face aux agressions.
ma ko waax
@africain
En Mai, 2013 (21:28 PM)Alvario
En Mai, 2013 (21:56 PM)Constat56
En Mai, 2013 (08:12 AM)Dès lors, se pose la question de savoir si le Sénégal peut être dans une stabilité dans ce contexte d’instabilité. Surtout que le rapport s’est en outre interrogé sur l’existence au Sénégal de mouvances religieuses radicales qui pourraient entreprendre des actions violentes à la faveur du contexte régional et de circonstances imprévisibles.Le Sénégal est traversé par les courants religieux les plus radicaux comme les plus tolérants. Le Sénégal ne peut pas être un ilot de stabilité dans un océan d’instabilité. On ne peut plus se permettre de fermer les yeux et dormir sur le mythe du Sénégalais naturellement non violent », lâche l’enseignant-chercheur au Centre d’études des religions à l’université Gaston Berger de Saint-Louis.« Les idéologies violentes de l’islam sont présentes au Sénégal »
Le sénégalais inconscient et cartainiste est convaincu que ce qui arrive aux autres pays ne peut pas nous arriver. Mais il reconnaît que « depuis un certain moment, il y a une mutation profonde du champ islamique sénégalais. Une mutation qui n’a pas été étudiée depuis très longtemps », avant de lancer l’alerte. « On se rend compte que toutes les idéologies violentes qu’on retrouve dans l’islam et dans le monde musulman sont aujourd’hui présentes au Sénégal. C’est l’exemple du salafisme et du wahhabisme qui ont conduit au saccage du patrimoine de Tombouctou dans le nord du Mali. Dès lors que cette idéologie qui a conduit à la situation actuelle du Mali est présente au Sénégal, l’opérationnalité ne peut qu’être une question de circonstance ». Suffisant pour se demander si le renforcement actuel de la sécurité au Sénégal, notamment dans la capitale sénégalaise ne serait pas lié à cette question de la ramification du terrorisme. L'obscurantisme de développe chez les jeunes, les enseignants par leurs grèves incessantes font le lit des salafistes car l'éducation devient absente à 80 % et les islamistes se cachant derrière les confréries en profitent pour enroler les jeunes désoeuvrés.
Doxondem
En Mai, 2013 (11:04 AM)Participer à la Discussion