
"Il ne parle pratiquement à personne, ne reçoit que quelques visiteurs triés sur le volet et ne va pratiquement nulle part. Pour autant, Famara Ibrahima Sagna, nommé à la présidence du Comité de pilotage du Dialogue national, ne doit pas être dans une situation enviable. Critiqué presque chaque semaine pour son immobilisme supposé, voire pour son mutisme, si ce n'est pour le blocage de ce dialogue dont il serait responsable, il encaisse sans broncher. Stoïque. Et même si ces critiques injustifiées lui font mal, c'est du moins ce qu'on suppose, il n'en laisse rien transparaitre. Car, pour qu'il puisse agir, entrer en action, encore faudrait-il qu'il soit auparavant installé officiellement comme indiqué dans le décret officiel de sa nomination", écrit, dans sa parution de ce mercredi, Le Témoin.
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