
Durant les périodes électorales, les hommes politiques sollicitent des gros bras pour assurer leur sécurité. Une pratique qui n’est pas souvent sans conséquence. Et parmi ces gros bras sont le plus souvent des lutteurs et la plus part du temps, la rémunération est dérisoire. D’après eux, même que pour être payés, c’est tout un combat. Et ce n’est pas tout, quand il y a problème ou mort d’homme, les recruteurs n’assument pas leur responsabilité.
Mor Sitteu, un lutteur qui connait bien le milieu, se confie au micro d’Iradio. « Quand les politiciens recrutent, ils dégagent toutes leurs responsabilités quand il y a blessé ou mort d’homme et même pour recouvrir son argent, c’est tout un problème », soutient ce lutteur.
Du côté de la banlieue, l’on se rappelle encore le cas de Ndiaga Diouf du nom du jeune lutteur tué en décembre 2011. Et, pour Amadou Lamine Ba, président du Conseil local de la jeunesse (Clj) de Ndiaréme Limamoulaye, l’Etat ferait mieux de prendre en charge la question de l’emploi des jeunes afin de lutter contre ce fléau. «Il faut sensibiliser et voir les hommes politique qui leur proposent des opportunités comme agents de protection rapprochée et/ou de milices. On se rappelle le cas de Ndiaga Diouf». Alerte M. Ba.
7 Commentaires
Anonyme
En Janvier, 2019 (21:12 PM)WTF is wrong with you Senegalese?
Anonyme
En Janvier, 2019 (21:13 PM)Anonyme
En Janvier, 2019 (00:01 AM)Anonyme
En Janvier, 2019 (00:01 AM)Niang
En Janvier, 2019 (06:35 AM)Anonyme
En Janvier, 2019 (07:09 AM)Anonyme
En Janvier, 2019 (08:02 AM)Participer à la Discussion