Depuis 2009 qu’il a émis l’idée de construire un centre des grands brûlés à Dakar, le Lions Club tarde à voir son projet voir le jour. La raison ? L’Etat du Sénégal, qui devait contribuer à hauteur de trois milliards de francs Cfa, n’a toujours pas inscrit les créditas dans le budget national.
«Aujourd’hui, le projet, qui a reçu l’aval des plus hautes autorités, attend toujours d’être inscrit au budget de l’Etat et que celui-ci donne la lettre de conforte et les garanties financières des 3 milliards pour que les bailleurs qui se sont proposés de préfinancer, parmi lesquels la Cdc et une banque de la place, puissent débloquer le financement du centre», a indiqué Denis Ndiaye du Lions Club.
En effet, le coût du projet est de 4.2 milliards de francs Cfa. Le ministère de la Santé et de l’Action sociale, désireux d’apporter sa contribution, s’était engagé à financer la partie infrastructure qui est de 3 milliards. Le Lions Club, lui, devait se charger du volet équipement et formation médicale pour 1.2 milliard de francs Cfa. Mais le projet est bloqué par la contribution étatique.
Et pourtant, le Lions Club veut bâtir avec l’Etat un centre de brûlés qui «répondra aux normes internationales». Car au Sénégal, expliquent-ils, les structures de santé recevraient en moyenne 20 000 brûlés par an, dont 10% dans un état grave. Et pour ces derniers, le taux de mortalité peut monter de 71 à 100%.
«Selon les autorités, la prise en charge de ces derniers est très difficile et nécessite des structures d’accueil spécialisées qui leur sont dédiées. Ce type de centre n’existant pas en Afrique de l’Ouest, il est le plus souvent nécessaire d’évacuer les victimes au Maroc ou en Europe. C’est donc sur la base de ce constat que le Lions Club a décidé de porter le projet de création de ce centre», explique Denis Ndiaye face à la presse.
Commentaires (7)
merci le répondeur automatique de l apr
Que ce club aille se faire trousser: si vous voulez faire dans l'humanitaire, faites le tours de vos collègues Lions du monde et collectez les sous pour votre projet!
Il n'y a pas de raisons pourquoi le contribuable Sënëgalais devrait vous allouer 75% du coût de votre projet! Surtout que l'on sait que le service ne sera pas gratuit, et on sait pour qui vous roulez; pas pour l'intérêt de l'Homme Noir en toius cas!
INCROYABLE ! Le LIONS CLUB se bat pour Servir et vous nous débitez une telle histoire ?
ET PENDANT CE TEMPS ON DONNE 3 MILLIARDS DE BUDGET AUX LIONS POUR LA CAN QU'IL NE VONT PAS REMPORTER.
ET PENDANT CE TEMPS LA ON MET 1000 MILIARDS POUR LE TER QUI DEVAIT ETRE PRET LE 14 JANVIER 2019
ET PENDANT CE TEMPS LA ON MET 400 MILLIARDS POUR ILA TOUBA QUI N'EST PAS RENTABLE SELON LE MINISTRE
ET PENDANT CE TEMPS LA MACKY SALL DEPENSE 3 MILLIARDS POUR SA RE-ELECTION
ET PENDANT CE TEMPS LA ON DEPENSE 9 MILLIARDS POUR LE HCCT DONT LE PRESDIENT DORT A PARIS DEPUIS AVRIL ALORS QU'ILS N'ONT PAS DE LOCAUX, TOUCHENT DES SALAIRES TOUS LES MOIS ET NE SE SONT REUNIS QU'UNE FOIS EN 2 ANS DANS UN HOTEL
ET PENDANT CE TEMPS LA ON DEPENSE 39 MILLIARDS POUR REFECTIONNER LE BUILDING ET ON DEPSNE 25 MILLIARDS POUR DES SPHERES MINISTERIELLES A DIAMNIADIO.
ET PENDANT CE TEMPS LA ON VEUT DEPENSER 30 MILLIARDS DE LA CDC POUR 2 TOURS DE 12 ETAGES AUX ALMADIES.
CHERCHEZ L'ERREUR CAR DANS CE PAYS ON N'A PAS LE SENS DES PRIORITES ON SE FOUT DU BIEN ETRE DES POPULATIONS.
ET AUSSI NOUS AVONS 6000 ABRIS PROVISOIRES QUI SERVENT DE CLASSE D'ECOLE SOUS LE SOLEIL ET LA CHALEUR
Je propose qu'on supprime la machine à riba de Tanor Dieng HCCT et l'autre machine à riba leCESE d'aminta Touré avec on pourra même acheter un nouveau scanner pour l'hôpital de Ziguinchor et les ambulances pour l'hôpital de ndar
Pas d'argent et pas d'intérêt non plus pour cet État. La Santé et le bien-être de la population est le cadet de leur soucis. Ils préfèrent mettre quelques milliards pour juste pouvoir se pavaner sur leur TER.
Les caisses sont vides l’états raquette les citoyens les commerçants tout le monde pour remplir ses caisses donc faudra attendre encore
Les promesses de l'état ne coutent pas cher
Participer à la Discussion