DÉSORDRE TOTAL : LES IMAGES CHOQUANTES DE LA COMMUNE DE KEUR MASSAR
CES IMAGES DE LA COMMUNE DE KEUR MASSAR ONT CHOQUÉ PLUSIEURS INTERNAUTES. ETANT UNE VASTE COMMUNE, SON UNIQUE ENTRÉE EST TRANSFORMÉE EN MARCHÉ.
« la route est partagée par les habitants, les véhicules, les charrettes, transport en commun, vendeurs de café, arachides et pire encore par les voleurs, les vendeurs de drogue, des bandits… », tonne I.S.,un habitant de ladite commune.
Cette unique route de Keur Massar est aussi partagée par la commune de Malika, Niague, Niacourab, Tivaoune Peulh et Jaxaay et alentours. Pour entrer à Keur Massar, il faut patienter plus d’une heure de temps à cause de cette situation.
Commentaires (54)
De 1960 a nos jours, echec et mat rek!!!
Aucune planification!! On construit des maisons ensuite on se demande comment faire pour y faciliter l’accès!!
Au travail, le nombre de population ne fait pas la qualité d'une nation, c'est la qualité de ses homme qui fait une grande nation.
L'homme noir ne fera jamais sa propre revolution.
Toutes les personnes que vous voyez à Dakar sont une ressource à exploiter, comme le sel dans la mer, l'or de sabodala , le zircon des sable de djogo, le fer de la falemé.
Nos politiques doivent trouver un compromis entre la croissance economique et l'accroissement exponentielle de la population de nos pays.
La chine fait 1,6 milliards d'habitant, alors que l'Afrique toute entiere avec 55 états ne fait que 1,1 milliards d'habitants.
Il n'y a donc pas peril en la demeure, mais tout simplement un défaut de courage politique et d'audace dans l'action.
Nous sommes vraiment désolé de la situation à Keur Massar . j'ai démenager à NIACOURAP ,mais depuis je constate que Keur Massar est la commune ou le maire fait dans l’anarchie à chaque veille de fête il vend le trottoir aux commerçant et il met de gros bras et la ...... à ses service pour que personne ne puisse en découdre avec les occupants .
Il faudrait pour rendre la circulation fluide à Dakar de manière générale et dans sa banlieue particulièrement, tracer des voies en damier comme au Canada. AU croisements mettre des feux rouges. Pour cela il va falloir évidemment démolir des maison et les recaser ailleurs comme se fut le cas avec Diaxay. Pour Keur Massar, il n'ya que quatre voire deux voie principales; l'axe Thairoye Keur Masar qui continue sur Diaxay et la Zac Mbao, L'axe Natinale Station Shell de Keur Massar qui continue sur Sangalkam. C'est au niveau de ce croisement communément appelé "Crossma' que réside tout l problème. Une marée composées d'humains, de voitures, de charrettes, de pousse pousse, d'animaux (marhé à mouton), etc ont fii d'installer ce tohu bohu infernal de jour comme de nuit. Quel désordre indescriptible!!!!!
Si j'étais maire de cette commune, je ferai en sorte qu'un axe soit crée entre l'autoroute à péage et Keur Massar II passant par la forêt réservée de Mbao. avec deux fois deux voies. Dans la ville de Keur Massar, je créerai trois axes secondaires dans Médina Kelle et Darou Missette qui déboucheront respectivement par la cité Mame Dior, le quartier Arafat et le village traditionnel de Keur Massar. De l'autre côtés, (Darou Missette) ces voies continueront jusqu'aux parcelles aissanies KM (Unité 4, 5 et 6. Ai si la ville aura plusieurs voie de contournement et l'on allègera ce fameux croisement où le rond point constitue en soi un terrible goulot d'étranglement.
Dieu merci que j'ai desisté lorsqu'on ma proposer un terai par labas, non dakar bénène affaire la, non dakar dou dem, si on fait pas attention conakry sera mieux que dakar et dakar prendra la place de conakry en matière de ville sale dalr est sale vraiment , finalement on n'aura plus rien a dire a conakry
bouter les guinéens dehors est un début de solution. Regardez bien les piétons et envahisseurs: sur 10 personnes, 7 à 8 sont guinéens. Ils nous étouffent
Pour une question de sécurité il faut des à présent au moins 3 voies de contournement. De Yeumbeul à Sedime Péage il n'y à qu'une seule voie si croisement est bloqué toute la anéantie.En cas de catastrophe tout le monde est en danger
Ces gens-là ne mesurent pas les risques encourus par la propagation rapide d'un incendie qui détruirait à son passage tous ces abris et emplacements sauvages ou non. Il y a bien sûr d'autres risques qu'ils semblent méconnaître ou négliger liés au développement et à la contamination de certaines maladies que pourraient favoriser cette "promiscuité" qui fait vraiment peur
C ou le problème
Arrêtez de criticize en permanence subanallah il n'y a rien de mal
Diourbi nhen wara bayi.
la cause de tout ceci ,une demographie fulgurante. des usines ( carreaux gres cerames,tanneries, transformations fruits et legumes,etc....(, des grandes entreprises , des exploitations agricoles ,aquacultures etc pour fixer les jeunes et enrichir les terroirs. j' ai visite bcp de chambres de commerces , mais il n' y existe pas de nomemclatures ni de manuels qui reportorient les differends investissements qu'un jeune peut faire.on aurait pu dire qu' avec un investissente x milliiers de francs le jeune peut faire ceci( detailler ttes les depenses) ;
Nit kou nioul mo bougoul lou rafet lou set thie Likoweur à part yeré bimou sol didiagar diagari thie kaw saletés ki beugeu lou rafet lou set dey commencé thie liko weur dogeu sangou solou
Le maire de KEUR MASSAR n'a aucun respect pour ses concitoyens mais pour lui même. S'IL EXISTE UNE JEUNESSE CONSCIENTE,elle n,'a qu a se lever pour le bouter dehors lors des prochaines élections.
Ce qui me désole aussi c'est la forêt de MBAO.
Mr ALI HAIDARE de grâce faite quelque chose pour cette forêt. Le foirail de mouton n'a pas placé dans cette forêt de même que les jardiniers qui la déboiser.
C'est votre problème yena ka falaat vous allez souffrir ba mandawam diékh
Le symbole du désordre, de l'indiscipline et de je fais tout ce qui m'arrange. Le plus dramatique est que depuis que cela dure, aucune autorité n'a essaye de faire quelque chose.
Inquiétant pour un pays.
s'il y avait de l'emploi, on aurait pas eu cette situation. macky sale a gravement échoué
Keur Massar a connu un développement fulgurant ces cinq dernières années et à. Vu sa population passer double au triple.penser à construire des routes qui vont contourner vers Boum et Mame Dior facilitera la situation. Si cela n’es pas fait d ici les cinq prochaines années ça sera compliqué pour la population de Keur Massar.
IL FAUT ?MULTIPLIER LES AXES DE SORTI ET D'ENTRÉE DE CETTE LOCALITÉ
LES CHEFS DE QUARTIER DOIVENT S'INVESTIR POUR RÉGLER CES PROBLÈMES
IL EST TEMPS QUE LES CHEFS DE QUARTIER S'INVESTISSENT POUR LA SÉCURITÉ DE KEUR MASSAR
LA STRATEGIE: C'EST DE RECENSER TOUS CEUX QUI HABITENT DANS LES MAISONS ET SURTOUT LES LOCATAIRES EN LEURS DEMANDANT LEUR OCCUPATIONS PROFESSIONNELLES ;LEURS PIÈCES D'IDENTIFICATIONS LE LIEU OU ILS TRAVAILLENT D’OÙ ILS VIENNENT
AINSI ILS LOCALISERONT LES MALFAITEURS ET CRIMINELS A PARTIR DES INFORMATIONS QU'ILS RECUEILLERONT
ILS MÈNERONS CES INVESTIGATIONS SOUS LA COUVERTURE LA MAIRIE DU PRÉFET DE LA GENDARMERIE ET LA POLICES
C'EST UNE PROCÉDURE TRÈS STRATÉGIQUE QUE DEVRA MENER TOUS LES CHEFS DE QUARTIER DU SÉNÉGAL
c'est pourquoi macky sall est une deception....totale .....il n'a rien corrigè .....
c'est pourquoi macky sall est une deception....totale .....il n'a rien corrigè .....
Crise financière à la Senelec: L’urgence de combattre la presse de connivence
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La « subite » crise financière qui secoue actuellement la SENELEC permet opportunément
de s’interroger sur la présentation systématiquement idyllique dont cette entreprise
publique a fait l’objet, de l’arrivée de M. Mactar Cissé (juin 2015) jusqu’à son départ (avril
2019). Le traditionnel rôle de veille de la presse a plutôt laissé place à un exercice digne
d’un service de communication. Sous l’ère Mactar Cissé, ce qu’on pourrait appeler presse
de contribution a été tellement généreuse dans sa servitude volontaire qu’elle est tout
aussi disposée à servir aujourd’hui de passerelle à l’entreprise afin de juguler sa dette sur
le dos du contribuable.
Une presse de contribution
Ces dernières années, ni la communication de la direction de l’entreprise ni la
production de la presse dominante, pourtant super prolixe sur cette société nationale,
n’ont laissé entrevoir par des signaux objectifs annonciateurs la crise de la dette qui la
fragilise actuellement. Plutôt, les performances de l’entreprise ont été singulièrement
mises en avant. D’ailleurs, elles furent l’une des principaux thèmes de campagne de la
coalition au pouvoir lors de la présidentielles passée. Aujourd’hui, la communication de
crise consécutive aux difficultés financières aigues de l’entreprise ressemble clairement à
une forme de préparation de l’opinion vers une hausse des prix (c’est déjà le cas avec
woyafol) et le retour imminent des coupures d’électricité (c’est déjà le cas aussi dans de
nombreuses localités, même à Dakar).
Mais qui n’a pas remarqué les innombrables ‘‘Une’’ et articles de presse (écrite et
en ligne) ouvertement laudateurs tourné autour de la santé financière de l’entreprise et le
tout grâce à son top manager M. Makhtar Cissé ? En regardant le rétroviseur, seulement
de deux ans, c’est à peine croyable d’être en mesure de soutenir aujourd’hui que la presse
sénégalaise a, en fait, participé à une vaste opération de manipulation. Sans être
exhaustif, nous vous présentons la face visible de cette presse de contribution avec
quelques titres d’articles de presse assez évocateurs pour témoigner de cette logorrhée
médiatique aussi complaisante que trompeuse qui accompagné tranquillement M. Cissé :
Madiambal Diagne, « Les bonnes notes de Machtar Cissé », Le Quotidien , 13 mars 2017 ;
L’essentiel.sn, Mouhamadou Makhtar Cissé : les Secrets de la performance de la SENELEC,
13 mars 2017 ;
Yerimpost, Voici Pourquoi il n’y a pas de risque de délestages dans un futur proche ;
(2018) https://www.yerimpost.com/voici-pourquoi-il-ny-a-pas-de-risques-de-delestages-
dans-un-futur-proche/
F.R.A.P.P
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Senegal7.com, « Gestion de l’Energie: La SENELEC renaît de ses cendres et affiche une bonne
santé financière », 8 févr. 2017
Dakaractu, « Analyse des performances de l’Etat : pourquoi la SENELEC carbure à fond »,
13 Juin 2018 …
Cette exaltation par voie de presse des supposées ou réelles performances de la
SENELEC tout en occultant la réalité d’un endettement chronique de l’entreprise a-t-elle
quelque chose à voir avec la personnalisation de l’entreprise durant le ‘‘mandat’’ de
Monsieur Cissé ?
En tout cas, aussitôt est-il parti, aussitôt la SENELEC a commencé montré son vrai
visage, c’est-à-dire une société nationale comme les autres, en crise comme la Sonacos,
le Port, la Poste, la SAR, avec une dette colossale et les mêmes problèmes structurels.
Aujourd’hui, la communication de crise tourne plus autour de la dette de l’Etat envers la
SENELEC et moins autour de la dette que la SENELEC doit elle-même épurer. La créance
de la SENELEC auprès de l’Etat tournerait autour de 247 milliards. La structuration de
cette créance de 247 milliards est à ce jour « mystérieuse ». Sa composition ne devrait-elle
pas être exposée au public ? Du coté du F.R.A.P.P, nous avons consulté le dernier Rapport
d’activités de la SENELEC disponible et qui date de 2017. Une question aussi importante
que la précédente et qui est à peine explorée est la suivante : à combien s’élève la dette
de la SENELEC, c’est-à-dire celle qu’elle doit aux fournisseurs, aux banques, aux assureurs
ou encore à la sécurité sociale ? Dans le rapport précité le passif circulant de la SENELEC
était de 227, 82 milliards en fin 2017. Ce qui correspondait à une augmentation de presque
9 milliards du passif de l’entreprise par rapport à 2016 (219,05 milliards). Cette dette n’a
pu baisser que de 4 milliards, car elle était à la date du 31 août 2018, et d’après les
données du FMI, de 223 milliards.
En gardant le silence sur ces chiffres la presse sénégalaise inféodée a t-elle permis
à l’ancien de se tailler de performances très en deçà de la réalité. Pourquoi aussi l’ancien
DG n’a pas alerté depuis longtemps ? Il faut le dire, les dettes en question, aussi bien
celles que doit l’Etat à l’entreprise que celles que l’entreprise doit régler aux près de ses
nombreux créanciers, ne se sont constituées en un seul jour ni au bout de quelques mois
ou encore avec l’arrivée d’un nouveau DG en avril 2019.
Nous le savons, la situation énergétique post-2012 était plus que favorable pour
l’entreprise. Le prix du baril était passé de 140 $ 50 $. Pourquoi la SENELEC n’en a pas
profité ? Même aujourd’hui le prix du baril n’a pas sensiblement augmenté. Il est
actuellement entre 55 et 60 $. N’est-il pas temps d’agir sur les causes structurelles plutôt
que sur les conséquences.
Pourquoi la presse sénégalaise n’a pas fait son travail de veille et de contrôle sur ce
secteur comme jadis, entre 2000 à 2012 par exemple ? Cependant, dans cette marée de
connivence, il y a lieu de souligner quelques exceptions notamment le travail de fact-
checking effectué par des sites comme Africacheck.org sur le secteur de l’énergie mais
encore très peu connu du grand public. Le rôle de la presse devrait être d’interroger la
communication souvent mielleuse d’une l’entreprise publique aussi sensible afin de la
F.R.A.P.P
3
confronter aux vrais chiffres qui n’étaient pas pourtant tous synonymes de performances.
Oui, rien n’empêche à la presse de relever les points saillants d’une gestion surtout
lorsqu’ils sont positifs. La réciproque devrait aussi être en être de même lorsque les
risques de crise sont bien établis par les rapports financiers.
Avec cette dette qu’on nous « vend » depuis une semaine, nous prépare t-on
encore à supporter l’échec du gouvernement dans le secteur de l’énergie ?
Une presse passerelle
Dans ce jeu pouvoir-presse, le premier y trouve bien son compte. Par
l’instrumentalisation d’une partie significative de la presse, l’Etat produit lui même
l’information qu’il souhaite véhiculer même si celle-ci n’a qu’un contact superficiel avec la
réalité. L’objectif recherché étant de contenir la masse autour d’une information non
« électrique » et standardisée.
Dans ce contexte de privation de la bonne information, le citoyen-consommateur
n’y voit que du feu. D’une part, la fraude à l’électricité est constamment utilisée par la
presse inféodée comme excuse et exutoire afin de culpabiliser le ‘‘consommateur-
fraudeur’’. D’un autre coté, le même modus operandi employé pour augmenter
officiellement le prix du ciment semble se dérouler sous nos yeux en ce qui concerne
l’électricité. Le consommateur pourrait encore une fois être la victime de la même
technique de manipulation : problème – réaction –solution.
Etape 1 : soit l’entreprise avoue être en difficulté financière aigue, soit elle annonce
qu’une hausse est inéluctable, soit elle augmente les prix unilatéralement. Elle
peut aussi les employer de façon graduelle.
Etape 2 :L’Etat réagit soit pour dire qu’une hausse n’est pas à l’ordre du jour, soit
pour rappeler qu’il lui revient à lui seul de fixer les prix, soit encore il appelle à des
concertations entre tous les acteurs du secteur concerné.
Etape 3 : L’Augmentation est officialisée !
Cette technique de programmation politique et médiatique de la hausse des prix,
avec l’aide notamment de l’association pour la légitimation de la hausse des prix, ex
ASCOSEN, semble être l’expectative la moins incertaine qui attend encore une fois le
consommateur sénégalais inoffensif.
Et dans ce grand chamboulement des prix au détriment des ménages, le
syndicalisme est faible. Aucune réaction digne de ce nom. Il faut bien que les travailleurs
sachent que l’intégration des dirigeants syndicaux nationaux au Conseil économique,
social et environnemental est un frein à l’action syndicale vigoureuse. Ce n’est point dans
une assemblée consultative, qui se réunie à peine, que leurs revendications légitimes
seront satisfaites. Le syndicalisme c’est le combat et non la sinécure. Il ne faut pas se
voiler la face. L’augmentation des prix à la pompe, de la tonne de ciment, malgré nos trois
cimenteries, de l’électricité, malgré le prix raisonnable du baril au niveau mondial, ne sont
que les réponses faciles d’un gouvernement dispendieux en mal de solutions structurelles
F.R.A.P.P
4
et en face duquel il n’y a pratiquement aucune force de résistance sociale digne de ce
nom.
Abdou Karim Salam
F.R.A.P.P.
Je ne vis plus au Sénégal depuis longtemps et j'en remercie le seigneur
Bon débarras !!!!
Sans compter les gendarmes qui ne font que du rackettage toute la journée étant un témoin oculaire, chaque clando vient verser et repartir tranquillement je suis choqué ???? ce pays à un problème de gouvernance, la corruption à atteint un niveau grave .
je crois que tout est dit sur les commentaires.je regrette d'avoir investi sur Keur massar .
Macky a beaucoup investi sur KM Je le reconnais malgré mon opposition sur sa politique repressive.
cependant les commerçants analphabètes créent cette situation qui dépasse l'entendement .le maire est absent
et donne des autorisations à tout va aux vendeurs-
la police est dépassée et sans moyens-les voyous ont le sentiment d'impunité-
la liste est longue et macky n'est pas responsable de cette situation-c'est un probléme de civisme.
Macky libére GUY SAGNA.STP.
mon ami svp aider moi savoir un peu plus sur keur massar je m'apprette à acheter une maison à la sicap de keur massar j'espere que il y a labas un peu d'ordre.
mon ami svp aider moi savoir un peu plus sur keur massar je m'apprette à acheter une maison à la sicap de keur massar j'espere que il y a labas un peu d'ordre.
Bordel Dakar est hyper-méga peuplé. Tabarnac de calisse !
Et le Québécois!!!!! HAHAHAHAHA
Ça démontre l'incapicité de l'homme noir d'organiser une cité ou de développer un pays.C'est malheureux!
C’est à l’image du pays. Rien de nouveau.
Un maire député
Faut juste bouter ce maire incompétent aux prochaines locales ! Tout sauf sa réélection !!!
Mentalité de merde malheureusement! Daane dolé ba si lane ??? Avec cette mentalté on ne bougera pas d'un iota fii ba akiroulzaman
Et en plus il n'y a ke 14 gendarmes dans lunique gendarmerie
On a pas de gouvernants dans ce pays que des têtes brûlées ni projet pour un futur meilleur. Lâche
Avoir confié le pays à des incompétents comme MACKY sall est l’erreur mortelle du Senegal. Il a installé partout des nullards. À l’enviro, à l’urbanisme, à l’économie rien que des idiots. Pays de metde.
Un kilomètre carré , aménage et clôturé a Diamnadio serait idéal pour caser tous ces commerçants de Dakar qui ne peuvent payer une cantine......un autre pour les mécaniciens et menuisièrs.....et tout ce désordre terminerait !!!
Keur massar tout se mêle habitations,marchés, calandos,tata,Ndiaye Ndiaye, dem dikk,charettes,voleurs,prostituées,ivrognes...dans un vacarme de vuvuzela me rappelant la can sud africaine et ça la nuit comme le jour. Ces derniers jours ils ont improvisé un daral à perte de vue. J'arrête pas de galérer à moto dans ce parcours de combattant. Une véritable épreuve pour le motard.
L'enfer sur terre a un nom
Ces images représentent la normalité dans nos pays, c'est une faillite de la gouvernance centrale et locale
Nous sommes pauvres et majoritairement analphabetes donc inconscients de nos responsabilités, nous avons besoin d'être encadré eorienté et contraints sur nos devoirs,avec tous les moyens coercitifs nécessaires, Sous la gouvernance coloniale, on n'osait pas imaginer deux korites ou deux tabaski, parce que les gens n'osaient par crainte de subir les conséquences, les maisons étaient propres parce que le service d'hygiène qui avait un pouvoir de sanction veillait au grain. Si la crainte ou le respect de l'autorité est absente la pagaille s'installe,c'est le cas de nos pays
Si on déportait tous les habitants de cette ville à Singapour et on faisait de même les singapourien à Keur Massar. En quelques semaines keur massar deviendra une ville organisée avec des habitants disciplinés alors que Singapour deviendra une poubelle à ciel ouvert!!!
Sathiou niou fenou niou thiagatou wouniou daniouy daa' souniou doleh.
Mentalité de merde malheureusement! Daane dolé ba si lane ??? Avec cette mentalté on ne bougera pas d'un iota fii ba akiroulzaman
Le Fouta sera notre silicone valley
Macky va tout changer il faut juste assainir les finances pour redémarrer les investissements c'est le fast track!
Le foutaise sera notre silicone valley
Un incompétent comme maire et un autre comme président voilà ce que cela conduit !
ou est la Mairie, ou sont les policiers??????
QUE LE SENEGALAIS ET SALE ET INDR SERIES POD MARICHOU, MAITRESSE, GOLDEN ON PENSE QUE DAKAR EST SI BEAU , SI CLASSE. AHAHAHAHAHA.. LMAO
Le pire c’est la pollution l’air est irrespirable comme dans tout Dakar d’ailleurs
Non non gars yi keur massar est unique.je l'ai toujours dit. On dirait c'est un nouveau senegal qui se crée. Tabaski ou pas nuit et jour cette commune est tjrs bondée.
quelqu'un ma 1 jour parlé" d'embouteillage humain" sur cet axe .....
mon ami va visiter conakry tu oublieras le désordre et la saleté de Dakar.
Keur massar est gros village baol baol. avec les baol baol pas de discipline ni d'ordre si ce n'est envers le marabout
Toogal tofu di jaay boy dakar baolbaol yi nieuw dieunde sa keur baye di la ko louer. Maa lako wakh. Kou mer bokko
qu'est ce que la capitale d'un pays indépendant vient faire dans le malvivre d'une banlieue dakaroise? ce sont ces genres de "donneurs" de leçons ou de mépris de l'autre qui font le Sénégalais est de plus en plus mal vu en Afrique, car se considérant comme supérieur aux autres.
Moi je propose qu'on expulse tous les villageois. Kou merr bokko!
tu na rien compris Dakar appartient aux villageois légué les boy towns sont niamey doit toutes les belles maisons appartiennent aux villageois moi y compris chalet dur di da siman lol
Venez voir du cote de rufisque cest pire
Nos 2 alternances ont installé le chaos dans le pays. A commencer par Wade qui a paupérisé nos villes en appauvrissant les villages et en invitant tous les villageois à venir s'installer en ville, ce qui a créé les plus grandes exodes ruraux que le Sénégal ait jamais connu. Tout le monde vient désormais s'installer en ville et peu importe les conditions de vie et d'existence. Les loyers étant chers dans les quartiers résidentiels et dans les vieux quartiers de Dakar, la banlieue déjà pauvre a accueilli tout ceux qui ont débarqué à Dakar.
Ensuite Macky est arrivé avec ses néo-alternoceurs qui avaient "trop faim" et qui ne rêvaient que de voler et piller nos maigres ressources. Rien n'a changé, on continue les même pratiques de vol et de pillage des deniers publics. Les pauvres continuent de fuir les campagnes et les villages et continuent de débarquer dans la banlieue dakaroise.
La banlieue sans infrastructures, sans moyens sans protections et livrée à elle même se paupérise et devient un "no man's land" ou certains voyous, agresseurs se réfugient pour exercer leurs louches activités.
Nos banlieues sont surchargées, mal loties, mal aménagées avec des rues et des maisons étroites ou vivent des gens sans grands moyens. Ce sont de vraies poudrières ou il suffit d'une étincelle pour tout faire exploser.
Les habitants abandonnés par l'état y sont résignés, découragés et vivent dans la débrouille et dans le désespoir total. Les jeunes sont majoritairement au chômage, les écoles, colléges et lycées sont très mal loties et c'est le Goorgoolou quotidien. C'est triste à dire mais c'est la triste réalité !!!!!!
Tout ce que vous décrivez est vrai mais vous avez oublié la responsabilité de chaque sénégalais. Les populations ont une grande part de responsabilité sur ce qui leur arrive . Beaucoup de sénégalais n'ont pas de revenues capables de mettre leurs famille dans de bonne conditions mais ça ne les empêche pas d'épouser plusieurs femmes et de faire une ribambelle d'enfants pour après les jeter dans la rue et accuser le gouvernement. Si seulement les hommes étaient plus responsables vis à vis de leurs progénitures et ne pas se surcharger bêtement uniquement pour le plaisir de leur bas ventre il y'aurait moins de misère.
Il faut fermer les portes de Dakar après la Tabaski jajaja.
Blague à part dewenati à tous.
il faut créer des corniches qui centure la foret et qui servira à ceux qui partent vers bout ou vers cite Dior, de ne plus prendre la route de Keur Massar
Tu as parfaitement raison, ne l'ai toujours dit
TU MENS MON AMI
Ca c est tres dangereux, pas de securite: indicipline total. en cas d accident ou quelque chose arrive labas: c est la catastrophe.
Cest dommage.
6z{
CE BORDELLE
Pays de merde, Bordel
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