
Ainsi, des personnes des établissements prestataires de soins après avortement ont confié avoir traité des patientes souffrant de différentes complications de l’avortement, y compris des hémorragies, avortements incomplets choc septicémie et d’autres complications, telles que l’insuffisance rénale ou les infections.
Présentant sa communication sur l’incident de l’avortement au Sénégal lors de l’atelier de renforcement de capacités des journalistes spécialisés en santé des 14 régions du Sénégal sur le thème de l’avortement médicalisé, ce lundi, le consultant Amadou Hassane Sylla a apporté des éclairages sur cette question.
Dakar, capitale de l’avortement provoqué
Il a indiqué qu’en général, les avortements chirurgicaux sont considérés les plus courants parmi les femmes urbaines non pauvres (qui disposent d’un meilleur accès aux médecins et autres professionnels médicaux), tandis que l’ingestion de substances caustiques ou de solutions à base de plantes sont plus courantes parmi les femmes pauvres et parmi celles des milieux ruraux.
Le consultant de soutenir qu’à Dakar, le taux d’avortement clandestin est plus élevé que dans le reste du pays. La différence, dit-il, s’explique probablement par le fait que les résidentes de Dakar désirent moins d’enfants et sont plus motivées à éviter les naissances non planifiées que les femmes des autres régions du Sénégal. « Les femmes des régions avoisinantes se rendent vraisemblablement aussi à la capitale pour se faire avorter et pour obtenir les soins après avortement nécessaires », ajoute Amadou Hassane Sylla.
Qui avertit qu’il est clair que ces femmes ne représenteraient que le sommet de l’iceberg de toutes les femmes qui ont subi des avortements.
4 Commentaires
Anonyme
En Septembre, 2019 (15:09 PM)D’accord
En Septembre, 2019 (15:57 PM)Morray
En Septembre, 2019 (16:03 PM)Si on continue de laisser les feministes developper leur projet la consequence sera plus de morts de bbs, plus de nudisme, plus de perversitè pour etre concis.
Si vous leur dites que ouvrir ses jambes et abriter une bite exige la consequence d'admettre le resultat , elles te diront que y'en qui ont subi le viol et ne voudraient pas du bb donc on devrait permettre l'avortement astakhfiroul lah le meutre. Cette coherence voudrait egalement qu'une femme non fiere d'un enfant nè vilain puisse le tuer.
Le ventre de la femme n'est que processus pour la naissance des hommes et nous males devrions tout faire pour laisser prosperer ce processus.
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