Les espèces pélagiques sont les poissons les plus capturés et vendus aux usines qui en font de la farine. Une pratique qui mettra, à la longue, la pêche artisanale à terre, en plus d'envoyer au chômage les femmes qui s'activent dans la transformation des produits halieutiques.
Selon Libération, une rencontre entre les différents acteurs de la pêche artisanale du Sénégal et de la Gambie et de la Mauritanie a été organisée, sur initiative de Greenpeace Afrique, à Saly Portudal, pour "faire face à la disparition programmée de toute une filière sociale".
Commentaires (1)
Les pêcheurs sont complices, c'est eux qui vendent leur produits aux chalutiers en haute mer et reviennent avec du dérisoire pour dire que la pêche n'est bonne aujourd'hui. Tous des cons.
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