Bref, alerte Le Témoin, la tension est plus que vive et la moindre étincelle peut mettre le feu aux poudres. Et, pas plus tard qu'hier, la ville de Thiès a encore vécu des heures difficiles -avec une atmosphère d'Intifada faite de pneus brulés et de routes barrées- dans les quartiers Cité Senghor, Hersent, Silmang…
Les manifestants de scander : "Nous demandons une seule chose : qu'on nous laisse travailler. Nous ne sommes pas des trafiquants de drogue, mais d'honnêtes citoyens qui gagnons à la sueur de notre front le minimum nous permettant de garder notre dignité et subvenir aux besoins de nos familles".
Commentaires (3)
mensonge! il n y a pas de tension à thiès
laissez les travailler! !
cest mieux que de voler. mais naak Jakarta men yi , respectez a loi: MANAM PERMIS DE CONDUIRE, ASSURANCE ET AUTRE PAPIERS. ET SOYEZ PROPRES, SANGOU, SOL LOU SET, TEH YIW, KHEGNE LOU NEKH, BAYI SAGA NDEYE.. SOLENE KO DEFER LEGUI NIOU RESPECTEZ LENN.
WA MANNÈ DOU MA DIEKHAL SANS WAKH EXPRESSION SOIT DISANT JOURNALISTE SENEWEB BI : MOUNÈ ATMOSPHERE D'INTIFADA. ahahaha very funny
conduire une moto jakarta c'est mieux que de risquer sa vie dans les oceans. Puisque nous avons un gouvernement fantoche.
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