Madagascar: Andry Rajoelina écarte toute démission
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Madagascar: Andry Rajoelina écarte toute démission
Le Tribunal des référés de Dakar a rendu, ce lundi, sa décision dans l’affaire opposant Africa 7 à Solo Média, qui exploitait depuis septembre 2025 la licence de la chaîne de télévision.
La prise de parole du président malgache Andry Rajoelina, très attendue après le ralliement de militaires aux manifestants contestant le pouvoir, a été reportée lundi à 20H30 locales (17H30 GMT) en raison de l'arrivée d'un "groupe de soldats armés" au siège de la télévision publique, a indiqué la présidence.
Attrait devant le tribunal des flagrants délits de Dakar, ce lundi 13 octobre, le porte-parole adjoint de l’Alliance pour la République (APR), Pape Mahawa Diouf a été condamné à une peine d'un mois avec sursis.
Le porte-parole adjoint de l’Alliance pour la République (APR), Pape Mahawa Diouf, a été condamné, ce lundi, à un mois de prison avec sursis, par le tribunal des flagrants délits de Dakar. Le juge a, par ailleurs, débouté l’Agence sénégalaise d’électrification rurale (ASER) de sa demande de constitution de partie civile.
Tribunal de Dakar : Pape Mahawa Diouf condamné, l'Aser déboutés
L'Institut Nobel a indiqué que la fuite ayant précédé l'annonce de l'attribution du prix Nobel de la paix à la cheffe d'opposition vénézuélienne Maria Corina Machado pourrait «très probablement» être liée à de l'espionnage.
(BFM Bourse) - Les cours de l'or ont franchi cette semaine la barre symbolique des 4.000 dollars l'once.
Le Burkina Faso a affirmé jeudi avoir refusé d’accueillir des personnes expulsées des Etats-Unis, une des mesures phares du président américain Donald Trump depuis son retour à la Maison Blanche.
Affaire Ngoné Saliou : interrogations sur le rôle du CNRA
Le 9 septembre, la nouvelle ministre de la Santé suédoise, Elisabet Lann, a été victime d'un malaise lors d'une conférence de presse à laquelle elle participait avec d'autres membres du gouvernement. Les images ont été largement partagées sur les réseaux sociaux, notamment sur TikTok, où certains utilisateurs ont affirmé que l'incident avait eu lieu juste après que la ministre eut révélé face à la presse une prétendue relation amoureuse secrète avec Emmanuel Macron. Mais la ministre n'a pas tenu de tels propos, et elle explique avoir été simplement victime d'une crise d'hypoglycémie.
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs"
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
Non, une ministre suédoise n'a pas révélé une relation avec Emmanuel Macron avant de s'évanouir
Un international togolais se brise le cou contre un panneau publicitaire et risque d’être handicapé à vie
Le président américain a annoncé dans la nuit du 8 au 9 octobre qu'Israël et le Hamas ont approuvé la première phase de son plan de paix.
Selon la Note de conjoncture économique régionale de l’UEMOA, le chiffre d’affaires du commerce au Sénégal a plongé de 32,6 % au deuxième trimestre 2025 par rapport au trimestre précédent.
Contre les dangers de la sédentarité, marcher un peu toutes les 30 minutes est désormais recommandé
Rappel à Dieu de Serigne Modou Mamoune Amar : La RTS perd un homme de foi
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