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Un homme poignardé à la sicap Baobab : les habitants témoignent « Amna kouko wakhone nala defal bagages… »

Auteur: youtube

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Un homme poignardé à la sicap Baobab : les habitants témoignent « Amna kouko wakhone nala defal bagages… »

Auteur: youtube

Commentaires (8)

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    Kaas il y a 6 ans

    Habib sa wakh rafetna. Ziarnala bou weer. La police na qua aller ceuillir le gars soupçonnè pour enquete c simple.

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    Diankalar il y a 6 ans

    Baobab ay mandikatt la beuri confederation des sudistes et cap verdiens. Niom Fodé ak Jean. Karack tamitt les mandikatt de la sicap frequentent ces 2 quartiers. À boabab la rue principale porte le nom de Rue sans sécurité

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    il y a 6 ans

    defaal bagasss

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    Lily il y a 6 ans

    Imaginer ne lene gnou appliquer Charia avec toute la fornication qui existent dans ce pays? conne deh gniye dess dou bari

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    Yatt il y a 6 ans

    Lily,
    pas d'amalgame peine de mort pour les prédateurs reconnus coupables de meurtre !
    Pourquoi quand l'Arizona, l'Arkansas ou la Californie exécutent les criminels de sang pourquoi vous ne convoquez pas la charia ?
    Tout comme la Chine d'ailleurs ?
    Ce n'est pas sérieux !!!

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    il y a 6 ans

    Moi aussi je vote peine de mort !!!

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    Lucide il y a 6 ans

    Quand les victimes sont des hommes des petits talibés des nourissons étranglés par leurs mères personne ne sort dans les médias pour dénoncer c'est ça le sénégal

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    il y a 6 ans

    a cause du yamba que des yambar partout

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    reply_author il y a 6 ans

    Qu en sais tu des effets du yamba sur le comportement du fûmeur ??? Vas au Canada ou en Suède etc, l'utilisation du yamba a été dépénalisé !!!! Et c'est là oû on a le taux de criminalité parmi les plus bas du monde ! Le yamba ne rend pas du tout violent, au contraire !

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    il y a 6 ans

    Suite à l’accession du Sénégal à la souveraineté internationale, le 04 avril 1960, Mamadou Dia, tout nouveau président du Conseil (Premier ministre) était une des personnifications au sommet de l’État d’un singulier système politique bicéphale. Il avait en charge la sécurité intérieure et la politique économique, pendant que la politique extérieure était dévolue au Président de la République, Léopold Sedar Senghor.

    Mamadou Dia, qui militait pour une rupture radicale d’avec l’ancienne puissance coloniale, concocta un désengagement progressif du Sénégal du modèle de production agricole, imposé par la Métropole, et qui fondait toute l'économie du pays sur une seule culture de rente (essentiellement destinée à l'exportation, en raison de la masse de devises qu'elle génère) : la culture arachidiére. Ce qui desservait les intérêts de l’ancien colonisateur. Et indisposait également une certaine élite politico-maraboutique.


    Mamadou Dia prôna, dans un discours historique radical, tenu le 8 décembre 1962 à Dakar, axé sur «Les diverses voies africaines du socialisme», le «rejet révolutionnaire des anciennes structures» et une «mutation totale, aux fins de substituer à la société coloniale et à l’économie de traite une société libre et une économie de développement». Cette déclaration motiva des députés à déposer une Motion de censure contre le gouvernement, qu’il dirigeait. Jugeant cette motion irrecevable, Mamadou Dia tenta d’en empêcher son examen par l’Assemblée nationale, préférant que cette tâche fût dévolue au Conseil national de son Parti (Ups).

    Il fit évacuer manu militari le Parlement, le 17 décembre 1962, et en fit bloquer l’accès par la Gendarmerie. Mais l’Assemblée nationale fut rapidement dégagée par l'Armée, restée fidèle au président Senghor, pendant que le président de l'Assemblée, Me Lamine Guèye, était «protégé» par une foule de manifestants, venue en bouclier envahir l’Hémicycle. La tentative du Président du Conseil, Mamadou Dia, de démettre le Parlement de ses prérogatives ayant échoué - en dépit de son coup de force, alors qualifié de «tentative de coup d'État» -, la motion de censure fut votée dans l'après-midi au domicile du président de l’Assemblée, Maître Lamine Guèye.


    Arrêté le lendemain, avec quatre de ses compagnons (Valdiodio Ndiaye, Ibrahima Sarr, Joseph Mbaye et Alioune Tall), par un détachement de paras-commandos, le Président du Conseil, Mamadou Dia, fut traduit devant la Haute Cour de justice. Lors de son procès, qui s’est tenu du 9 au 13 mai 1963, il compta parmi ses avocats Me Robert Badinter (ancien Ministre de la Justice du Gouvernement de François Mitterrand), et un certain… Me Abdoulaye Wade. Mamadou Dia fut lourdement condamné, à la perpétuité. Peine qu’il devra purger dans une enceinte fortifiée à Kédougou, après une courte transition à la Prison de l’Ile de Gorée.


    Durant son incarcération, des personnalités occidentales de premier plan et de célèbres intellectuels, dont Jean-Paul Sartre, François Mauriac, René Cassin (Prix Nobel de la Paix), Aimée Césaire et le Pape Jean XXIII, ont demandé sa libération. Mais Senghor resta de marbre. Ce n’est que 12 années plus tard, le 26 Mars 1974, qu’il consentit à le gracier, avant de l’amnistier, en avril 1976, à la faveur d’une réforme constitutionnelle, qui institua le multipartisme au Sénégal – alors limité à quatre courants de pensée (Socialiste, Libéral, Marxiste, Conservateur).


    «Celui qui, en tant que Président du Conseil, détenait presque tous pouvoirs entre ses mains, avait-il véritablement besoin d'un coup d’État», s’interrogera plus tard le Général Jean Alfred Diallo (chef d’État-major des Armées au moment des événements du 17 décembre 1962): «Mamadou Dia n'a jamais fait de coup d’État contre Senghor. C'est de l’affabulation»!


    Il n'empêche que le (1er) Premier ministre du Sénégal, Mamadou Dia, fait toujours l'objet d'un ostracisme qui ne dit pas son nom. Aucun édifice public (avenue, stade, école...) ne porte son nom. Son œuvre est quasiment occulté par certains historiens, au point qu'il est presque un inconnu pour la génération montante.


    Il est grand temps de réhabiliter la mémoire et l’œuvre de ce grand patriote, qui s'est battu sans relâche pour notre véritable indépendance économique; pour la liberté des peuples d'Afrique de décider par eux-mêmes et pour eux-mêmes des modèles de développement qu'ils estiment les mieux adaptés à nos réalités socio-culturelles

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    reply_author il y a 6 ans

    MachaAllah.... Je ne savais pas tout ça de lui... Vraiment un brave

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