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Culture

La Fédération des femmes comédiennes expose ses doléances à Bassirou Diomaye Faye

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La Fédération des femmes comédiennes expose ses doléances à Bassirou Diomaye Faye
Les femmes comédiennes du Sénégal ont organisé un grand rassemblement suivi d'une conférence religieuse, hier mercredi, à la maison de la culture Abdoulaye Douta Seck. Ces dernières ont saisi l'opportunité face à la presse de s'adresser au nouveau président de la République Bassirou Diomaye Faye, en lui exposant un certain nombre des problèmes auxquels sont confrontés les acteurs du théâtre. 

Notamment, la copie privée qui est un projet de longue date et qui tarde à voir le jour. Comme avec la loi sur le droit d'auteur et les droits voisins, elles appellent le président Bassirou Diomaye Faye à diligenter la signature de cette loi, pour permettre à tous ces professionnels de la culture de vivre de leur art. 

Ces comédiennes ont, par ailleurs, plaidé pour la mise en place d'un fonds d'appui exclusivement dédié au théâtre, au même titre que le cinéma et la musique, sans oublier de mettre à jour le statut de l'artiste. 

Des défis à relever attendent le nouveau président et son équipe dans le secteur de la culture. Là où son prédécesseur Macky Sall avait comme objectif de mettre en place un institut supérieur des arts et de la culture ultramoderne, après avoir renforcé des structures comme la Biennale de Dakar dédiée à la promotion de l'art africain contemporain et le Fopica pour les professionnels de l'audiovisuel et du cinéma. 


9 Commentaires

  1. Auteur

    Lebaolbaol Tigui

    En Avril, 2024 (13:27 PM)
    c'est pas ò Diomay que vous devez vous adressez mais au ministre de la culture......Ne repeter pas les fautes qui rendent fou le president ... on n'a pas encore un gouvernement vous etes là dejà..
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  2. Auteur

    Mimi

    En Avril, 2024 (13:36 PM)
    Du calme, à ces chères bonnes dames, dèf léen ndank, le président Diomaye, à peine, avoir dit Assalamou Aleykoum au peuple, que certains, à savoir cité, en exemple, ces dames artistes comédiennes, se précipitent, pour demander, des doléances, à chaque chose, son heure, bonnes dames.
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    Auteur

    Rire

    En Avril, 2024 (13:43 PM)
    Comédienne diekhalna wakh😬
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    Auteur

    Lea

    En Avril, 2024 (13:58 PM)
     Waa yénneu tamit, laissez le reduire le coup de la vie vous allez toutes en profitez, télnaa déh ndank métiwoul déh issh.
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    Auteur

    En Avril, 2024 (14:02 PM)
    comme l'indique leur NOM COMEDIENNE
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    • Auteur

      Reply_author

      il y a 2 semaines (14:40 PM)
      C'est vraiment abusé, il est lamentable de voire à quoi vous réduisez le théâtre, le président diomay devra faire face très souvent à ce genre d'interpellation qui ne sont qu'un moyen de rappeler au président les problèmes que subissent le théâtre sénégalais, et les projets qui depuis n'ont pas aboutit. le théâtre est un métier. 
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    Auteur

    Guilé De Ndangalma

    En Avril, 2024 (14:06 PM)
    Elle n'ont pas totalement tort: au Sénégal tout converge ver le PR et c'est le discours officiel qui a renforcé, voire même créé cette culture d'assistanat. En revanche, elle ont parfaitement raison d'interpeller l'Etat sur la mise en place et l'application de mécanismes de protection de la prpriété intellectuelle. Les Etats-Unis ont l'industrie culturelle la plus forte du monde et pourtant ILS N'ONT PAS DE MINISTERE DE LA CULTURE. 
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    Auteur

    En Avril, 2024 (14:40 PM)
    Le plus grand obstacle pour le nouveau régime c'est de changer la mentalité des gens. Le temps de l'aumône et du favoritisme est révolu, Messieurs Dames.
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    Auteur

    Jakson

    En Avril, 2024 (14:51 PM)
    Avant comedie ,dabord travail .y a des milliers de choses BCP plus importantes a attendre Au senegal que de.la.comedie.
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    Auteur

    En Avril, 2024 (19:11 PM)
    Le président ne doit pas tomber dans les travers qui consistent à être le seul interlocuteur   des populations 

    pour apporter des solutions aux multiples problèmes et demandes. 

    Le président devra se démarquer de vouloir être l'homme miracle.

    Ces artistes doivent s'adresser aux démembrements de l'état  de la région au ministère.

    Si on zape le ministère de la culture  l'institution est fragilisée.  et beaucoup d'institutions ont été fragilisées, décrédibilisées parce que chacun veut  avoir le président comme interlocuteur.

    Cette manière de procéder est le point de départ d'une mauvaise gouvernance.

     

     
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