A côté des enquêtes tous azimuts sur les audits, la Division des Investigations Criminelles (Dic) gère naturellement d’autres topos. Nos confrères de Libération rapportent que le nommé Phata Diop a été alpagué par les enquêteurs dans une chambre de la Médina. Connu dans le milieu de la contrefaçon, ce dernier disposait d’un « vrai labo » installé dans sa chambre et à partir duquel il faisait son business, avant de ventiler les produits à Sandaga et à Colobane.
Pour vous dire, Phata Diop disposait d’un matériel High Tech saisi par les enquêteurs en même temps que plusieurs Cd dont certains ne sont pas encore… officiellement sur le marché. De la musique aux pièces de théâtre, le gars faisait dans le tout. Tout laisse croire que Phata Diop, qui a été déféré au Parquet ce mercredi 13 juin, risque gros.
6 Commentaires
Artiste
En Juin, 2012 (11:56 AM)Mouton
En Juin, 2012 (12:19 PM)Raciste
En Juin, 2012 (12:39 PM)Ils ne font que rendre accessible les produits, qui sont hors de portee pour une bonne partie de la population!!!
Je suis contre ces traques!!!! Que la DIC aille fouiner chez les gros bonnets qui passe leurs temps a détourner 1 a 5% du PIB du pays! Foutu pays!!
Mami-s
En Juin, 2012 (13:14 PM)Je vends une collection de 10 livres électroniques arlequin à 1000 franc seulement.
Intéressé ? Contactez-moi à [email protected]
Pa Nen
En Juin, 2012 (14:06 PM)Waoulata
En Juin, 2012 (17:40 PM)Participer à la Discussion