Oter la vie à un mouton, le jour de la Tabaski, n’est pas chose aisée pour des personnes comme Mapenda Seck. Lui-même l’a avoué. «Egorger un mouton, n’est pas une tâche à laquelle je peux me plier. Très franchement, je ne peux pas le faire. Et je n’ai jamais essayé. Et je ne sais pas pourquoi. Etant jeune, j’avais l’habitude d’assister mon père lorsqu’il égorgeait son bélier.
Mais je m’en limitais à ça. Je maîtrise bien le Coran et je connais les versets à réciter avant d’égorger une bête. Mais pour vous dire la vérité, je ne peux pas tuer un coq, encore moins un mouton», dit-il. Il ajoute aussi que la vue du sang l’insupporte. «C’est comme ça et je ne saurais l’expliquer. C’est ma nature», indique le frère de Thione Ballago Seck. Celui-ci précise, à titre d’exemple qu’à la télé, devant un film d’horreur, il zappe automatiquement.
4 Commentaires
Khel Khol Kham
En Septembre, 2016 (09:25 AM)Anonyme
En Septembre, 2016 (10:38 AM)Anonyme
En Septembre, 2016 (11:21 AM)Anonyme
En Septembre, 2016 (02:42 AM)Participer à la Discussion