La dégradation des mœurs a atteint des proportions inquiétantes au Sénégal. Aujourd’hui, les jeunes sont exposés à toutes sortes de perversion. Entre l’homosexualité, la prostitution, le lesbianisme, la jeunesse est en danger. Le premier grand scandale de mœurs médiatico-judiciaire qui s’est produit ces dernières années est l’affaire « Goudi town » qui avait valu, en avril 2007, à Ndèye Guèye, Ndèye Gaye, Fanta keïta dite Fatima, le gérant de la boite Alexandra et à l’homme qui tournait la cassette de cette rocambolesque scène de danse pornographique d’être arrêtés par la police.
Par la suite, des homosexuels, regroupés dans le cadre d’un « Mbotaay » (association), s’illustrèrent à Petit Mbao dans un mariage gay qui est toujours resté au travers de la gorge des Imams et autres personnalités religieuses. Ce jour-là, Pape Mbaye, du nom de ce célèbre « goorgigën » sénégalais émigré aux Usa, Serigne Mbaye et leurs amis avait convié l’essentiel de la communauté gay sénégalaise à un mariage entre personnes de même sexe. Une première au Sénégal ! Plus tard, en début de l’année 2012, la lesbienne Khady Ndoye et sa bande seront arrêtées pour divers délits sur fond de cette tare à l’encontre d’un bijoutier qui les accusait de l’avoir séquestré, extorqué des fonds à hauteur de 100 millions de francs. Les mêmes personnes étaient également poursuivies pour violence et chantage à l’égard de ce bijoutier du nom de Ass Malick Tall.
Dans la moyenne banlieue dakaroise, au mois d’avril dernier, c’est un groupe de 40 filles, toutes des collégiennes, qui seront arrêtées dans une opération de salubrité publique conduite de main de maître par le commissaire Dramé des Parcelles assainies. L’affaire des filles de Grand-Yoff n’est donc que le dernier cas d’une série de violations des mœurs où homosexuels, lesbiennes, pédophiles et autres violeurs se sont illustrés à travers des actes prohibés par la morale et les lois du pays. La dégradation généralisée des mœurs et la baisse flagrante des valeurs sont devenues un phénomène qu’on observe un peu partout au Sénégal.
A quelques exceptions près, le phénomène étend ses tentacules jusqu’aux tréfonds de notre société. Aussi est-il devenu commun et même « normal » de voir des septuagénaires se pavaner au bras de fillettes encore à cheval entre l’enfance et l’adolescence. Très souvent, leurs proies sont choisies dans le cercle d’influence du monsieur : dans la famille, en périphérie de son lieu d’habitation, etc. Si les progrès en matière de protection de l’enfance ont permis de protéger la jeunesse mineure du pays, l’astuce n’a pas encore été trouvée pour leur éviter un éventuel détournement. Vivement donc que les choses s’arrangent avant que les prochaines générations n’entrent dans le marché de la dépravation.
Ndiogou CISSE
Source Lesenegalais.net
22 Commentaires
Ppp
En Mai, 2012 (11:56 AM)1 Béneu
En Mai, 2012 (12:00 PM)Colombus
En Mai, 2012 (12:17 PM)Saf Sap
En Mai, 2012 (12:18 PM)Weweeeeeeeeeee
En Mai, 2012 (12:20 PM)Ofejban 222
En Mai, 2012 (12:28 PM)Agriculteur
En Mai, 2012 (12:30 PM)Wolof_yi
En Mai, 2012 (12:45 PM)Tout à fait d'accord avec vous. Je n'ai cessé de dénoncer ce fort lobby anti - islamique, anti - sénégalais, qui s'est emparé du net sénégalais et le manipule à son gré et à son aise.
Faites le décompte du nombre effarent d'articles consacrés au sexe, mais aussi aux " stars jet - setseuses ", ainsi qu'aux articles anti - religion.
Même les commentaires et les blogs les plus insolents, et les plus - à - polémique sont favorisés et mis au devant.
Mame diarra et Peuls en sont des exemples concrets.
Gege
En Mai, 2012 (12:53 PM)Na Rafet
En Mai, 2012 (12:55 PM)+
12 Millions
En Mai, 2012 (13:03 PM)Wolof_yi
En Mai, 2012 (13:09 PM)De Passage
En Mai, 2012 (13:16 PM)Les parents doivent également revoir leur mode d'éducation. Elle se fait dès le plus jeune âge et les adultes ne doivent pas hésiter à briser les "tabous" comme par exemple parler de sexe avec son enfant de la manière la plus claire et la plus délicate possible.
Aujourd'hui, nos jeunes connaissent tout du sexe à travers Internet sans le connaitre. Curieux et sans repères ni valeurs, ils essayent d'expérimenter des choses sans en connaitre les conséquences.
De plus au Sénégal, on se dit croyant alors qu'on ne connait rien de notre religion. Ce qui nous amène à agir de la pire des façons jusqu'à en devenir des êtres pire que des animaux.
Repentons-nous avant la fin de ce bas monde qui n'est qu'une illusion. La mort c'est la réalité!!! Que Dieu nous vienne en aide. Amiin!!!
Mana Serigne
En Mai, 2012 (13:25 PM)Penda Diop
En Mai, 2012 (13:26 PM)Toub Léne
En Mai, 2012 (13:30 PM)Doul
En Mai, 2012 (15:17 PM)Oui
En Mai, 2012 (16:17 PM)MAMADOU DIA MAODO L'AVAIT COMBATTU
EN DONNANT LA CHANCE DE BEAUCOUP DE TCHAAGGAS DE MARIEES
ET DE FONDER UNE BONNE FAMILLE
MAIS NOTRE POETE SENGHOR ET AVEC SON PARTI ONT INSTAURE CETTE MAUVAISE EDUCATION A NOS ENFANTS QUI FONT BAANRANE
SENGHOR MINI-JUPES
ABDOU DIOUF LAMBADA
WADE TEEYI DEEF TCHEYYI SENEGAL
Amine Al
En Mai, 2012 (18:45 PM)B
En Mai, 2012 (21:37 PM)Reply_author
En Mai, 2023 (13:18 PM)Par ce que en jusice on juge que sur la base des actes bien notés
Le Senegalais
En Mai, 2012 (09:51 AM)Anonyme
En Mai, 2016 (09:41 AM)Participer à la Discussion