IA à l’école : des enseignants alertent sur les risques de ...
The Ministry of National Education (MEN) has announced the integration of artificial intelligence (AI) into teaching content starting this fall. This initiative includes the launch of a national training program for 105,000 teachers and the distribution of 5,000 laptops to students in the first and final years of secondary school.
While this approach is considered relevant, it nevertheless raises reservations from education unions. Ndongo Sarr, general secretary of the United Trade Union Framework for Middle and Secondary Education (Cusems), interviewed by L'Observateur, believes that "the continuing education program shows that learning about AI and mastering it by the various stakeholders will take time. AI is an extraordinary tool whose ethical and responsible use will allow our young people to reach the same level as their Western counterparts."
The source from the daily newspaper of the Future Media Group nevertheless points out that certain drawbacks may arise, such as the development of laziness among students, the risk of cheating and a form of robotization that could lead to job losses.
For his part, Elhadi Malick Youm, secretary general of the Autonomous Union of Secondary School Teachers (SAEMS), quoted by the same source, supports the initiative but warns: "AI is now essential in all educational systems around the world. It is an extraordinary tool that will contribute to revolutionizing the education and training service. Any system that wants to evolve without AI will irreversibly expose itself to difficulties." He also emphasizes that "connection tools will have to be disseminated more widely and more ambitious programs to provide students with the latest generation of digital kits will have to be developed."
Furthermore, union members emphasize the need for equitable digital inclusion, arguing that the distribution of equipment should not be limited to scientific series. They believe that a collaborative effort between the ministry and other organizations, such as telephone operators, is essential to ensure access to connectivity throughout the country, including in remote areas.
Commentaires (5)
IA ces pas seulement chatgpt🤣… il faut apprendre a programmer des le primaire sinon on va va encore chialer sur la facture numerique😢
Le Ministre Guirassy doit être plus humainement Intelligent que l'IA. Tellement de préalables prioritaires pour les enfants d'un Pays pauvre sous-développé. Faut pas copier Trump avec ses 500 Milliards de dollars qu'il veut mobiliser pour l'IA...
On debat pour debattre. Il n'y a pas d'IA dasn le systeme educatif sans support numeique, sans reseau, sans formation prealable des enseinants, sans reforme profonde du systeme d'apprentissage...Aucun prealable systemique ni infrastructurel n'est pose et le debat se hisse deja au niveau syndical !!! Il faut etre realiste et analyser froidement nos capacites reelles, definir une approche sur le moyen terme en coherence avec les moyens accessibles a la masse, prendre le temps de bien reformer le systeme educatif et viser un rattrapage progressif et realiste de notre retard. C'est facile de s'assoir a Dakar dans un bureau climatise avec un acces internet haut debit fibre et "decreter" comme par magie ladioption de l'IA. En plus qu'entendent-t-ils vraiement par "IA". Ce terme est mis dans toutes les sauces par nos politiciens. Technologie dou thiakhane dou discours. Soyons concrets.
C'est une bonne opportunité pour des structures publiques comme SENEGAL NUMERIQUE SA et FDSUT de développer la connexion en fibre optique sur tout le territoire national. Ceci assurera facilement la connectivité des écoles et lycées et une vulgarisation de l'enseignement de l'IA. L'accès à l'intérêt sera démocratisé et be sera plus un luxe. Il faudra aussi communiquer pour les opérateurs Télécom n'y voient pas une concurrence . S'il le faut meme mettre en place des politiques de filtrage de contenus poyr en faire un internet dédié à l'Éducation.
Les natives IA avancent plus vite que l'école ! Réveillez-vous !
Après l’Etat fédéral américain, Nvidia monte au capital d’Intel : le sauvetage de la gloire déchue des microprocesseurs, qui fit la fortune de la Silicon Valley à partir des années 1970, s’est poursuivi jeudi 18 septembre. La firme la plus valorisée du monde va investir 5 milliards de dollars (4,25 milliards d’euros) dans Intel, dans le cadre d’un accord de codéveloppement de puces pour centres de données et PC. La prise de participation de Nvidia se fait au prix de 23,28 dollars l’action. Le signal a été accueilli avec jubilation à Wall Street, qui a fait s’envoler l’action d’un quart à 31 dollars environ. Intel vaut 150 milliards de dollars en Bourse, contre 4 280 milliards de dollars pour Nvidia.
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