Babacar Fall (RFM) : «Je n’éprouve aucun regret»
Babacar Fall, the editor-in-chief of RFM radio, was released on Wednesday, a few hours after being arrested by police in his office, handcuffed, and taken to the central police station for having interviewed Madiambal Diagne earlier that day. Diagne is wanted by the authorities and is a fugitive in France. In an interview published Thursday in L'Observateur, the journalist stated that he had no concerns during his interrogation, "convinced he had done nothing wrong." He also told the newspaper that he felt "no regrets." "My colleagues at RFM feel none either," he emphasized.
And if he had to do it again? "If it were under normal conditions, I would do it again without hesitation," Babacar Fall replied bluntly to his interviewer. The editor-in-chief of RFM was quick to add, as if anticipating any accusation of disregard for the law, that he "would never conduct an interview where there were any professional lapses. [...] So there's absolutely no problem on that front; we are professional and responsible journalists, and I've been doing this job for 25 years."
However, he suggests, "the press must, more than ever, stand tall. The monster is here: in addition to the economic and financial difficulties that press companies are going through, some are trying to muzzle it. [...] But this will not succeed."
Commentaires (83)
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La presse sénégalaise est malade et doit se remettre en question au lieu de nous saouler avec des manifestations bidons sans aucun intérêt.
Corrompue, infiltrée par des “doulnalistes”, des chroniqueurs autoproclamés, de véreux investisseurs blanchisseurs d’argent sales, des maîtres chanteurs etc.
Et aujourd’hui qu’un nouveau régime est en place, refuse de céder aux maîtres chanteurs, traque les trafiquants et blanchisseurs d’argent sale, refuse les compromissions, supprime les conventions “tapalées”, les avantages, privilèges et malettes nocturnes du palais et applique une vraie traque des biens mal acquis, ce sont tous les corrompus et autres maîtres chanteurs qui voient leurs intérêts menacés et leurs complots misés à nue.
Bref, le Sénégal a changé et c’est l’ère du JJJ, de la reddition des comptes et des honnêtes citoyens. Les journalistes, patrons de presse, chroniqueurs tricheurs, arnaqueurs et autres corrompus sont à poils, voient toutes leurs magouilles tombées et en veulent à mort à Sonko mais heureusement que le peuple sénégalais est massivement derrière ses leaders qu’il soutient pour nettoyer le pays de ses saletés.
Vive le JJJ et la reddition des comptes
A Babacar FALL et à tous les journalistes les vrais, vous avez notre entier soutien face à ces dérives d'un régime paniqué, déboussolé et désorienté par la rancœur et la méchanceté. Le Sénégal avec ses vrais patriotes tiendront debout face à ces apprentis dictateurs qui veulent cacher leur incompétences.
Ayant compris qu'ils avaient affaire à des pacifistes hésitants ils ont mis en scelle badara gadiagua et babacar fallu pour attaquer et mordre comme des chiens affamés sans même réfléchir. Mais pourquoi diable ne pas appliquer la loi à Birane Ndour, parce qu'il est le fils à youssou Ndour ? C'est un vrai manquement envers le serment pris avec le peuple. Birane Ndour devrait être poursuivi et c'est cela la loi ainsi que la vérité.
Depuis que l'état a chassé l'armée française du territoire nationale la stratégie de déstabilisation a décuplée avec en tête de gondole le groupe gfm. Il y a tout d'abord eu l'histoire des sénégalais pris par des jihadistes au Mali diffusée par ce groupe alors que les faits devraient avoir lieu trois semaines plus tard. Ensuite la diabolisation du plan de relance économique avec des sorties journalistiques intempestives pour appeler le peuple à se rebeller. Tout ceci de la part d'un groupe de presse qui a déjà joué ce rôle sous Wade avec les accointances avec bollore et la France en arrière plan. Là madambal est de toute vraisemblance conseillé par cette même clique de déstabilisation. L'objectif étant de faire un bashing contre le Sénégal. Même si on s'en fout. Mais il ne faut pas laisser faire.
Un état doit être ferme. Pas d'atermoiement tel que Diouf avec ses prises de décisions en radiant les policiers, depuis lors ils sont rentrés dans les rangs. Il y a des choses intolérables et il faut battre le fer pendant qu'il est chaud. Birane doit être poursuivi.
...gooor dafay kham nawleme
TOKH NA TOKH BA TOKH
🚬 LES CROTTES DE CHEVAUX
Un excellent combustible pour l enfer
Il n'y a ici ni "débat", ni "liberté de la presse". Il n'y a que d'un côté la Loi, représentée par l'État, et de l'autre le délit, représenté par votre action criminelle de complicité avec un fugitif. Vos 25 ans de carrière ne sont qu'un pass pour l'impunité que vous croyez détenir.
L'État n'est pas un "monstre". Il est le GARDIEN de l'ordre et il écrasera sans pitié toute tentative de chaos. Votre arrestation n'était qu'un premier avertissement. La prochaine fois, les conséquences seront telles que votre radio tout entière en subira le poids.
Cessez de vous prendre pour des héros. Vous n'êtes que des fauteurs de trouble, et l'État vous brisera si vous persistez. La tolérance est terminée. La soumission à la loi est votre seule option. Sénégal sunu reew
Moutons 🐑🐑🐑🐑🐏🐏🐏🐑🐑🐑🐑🐏🐏🐏🐏🐑🐑🐑🐑🐏🐏🐏🐏🐏🐑🐑🐑🐑🐏🐏🐏🐏🐏🐏🐑🐑🐑🐑🐑🐑🐏🐏🐏🐏🐏🐏🐑🐑
La presse senegalaise travaille sciemment, dans sa grande proportion, pour nuire au pouvoir dans le climat confus que le pays vit actuellement. TOutes les corporations corrompues qui ne sont plus servies par les largesses du pouvoir pilleur de Macky Sall se sont coalises pour tirer a boulets rouges sur le pouvoir actuel parce qu'il a ferme leurs robinets. Ajoute a cela les pilleurs de deniers publiques qui font tout pour frener la reddition des comptes et qui financent les marches, payent pour les articles de presses contre le pouvoir, alimentent les pseudo chroniqueurs, et orientent les medias qui croient leur devoir une certaines reconnaissance tout en esperant les voir revenir au pouvoir pour perpetuer le partage des deniers et autres biens publiques. En plus de toute cette meute malheureusement protegee par les graces de magistrats complices parce que profitant du meme systeme,, tu verras des chefs religieux profiteurs se joindre a eux pour combattre le changement prone par le nouveau regime et pour lequel le peuple a vote. Car, ce qui preoccupe tout ce beau monde hostile a la rupture d'avec les pratiques d'avant, c'est ce qu'on appelle communement le "tokk mouy dokh", un amour de la vie facile financee par la corruption, la concussion, le copinage, et la corruption.
Avant les journalistes étaient cultivés, ne faisaient pas de fautes, n’étaient pas des mercenaires et étaient propres
Tout cela a disparu
Et une opposition aigrie et malsaine
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