Alternance à la CNTS : la réponse sèche de Mody Guiro
To those outside the movement who are calling for a generational shift at the helm of labor unions, particularly the one he has led for decades, the CNTS Secretary General, Mody Guiro, tells them to mind their own business. "I would like to remind everyone that non-members have no right to interfere in the affairs of our confederation. These detractors who wish for the collapse of our leading union should leave decision-making power solely to dues-paying members," he stated bluntly in an interview published this Friday in Le Soleil, ahead of the CNTS congress this Saturday and Sunday.
Guiro continued: "This is the foundation of union democracy: allowing members to make their choice freely and without influence, and then respecting that choice."
Despite this defensive response, the CNTS general secretary intends to address the issue with his constituents. "I will address this issue in my conclusions at the congress. To guarantee its strength and sustainability, a union cannot limit itself to a small circle of insiders; it must absolutely open itself up, renew itself, and integrate young people," he concedes.
Commentaires (20)
Pathétique, toi même tu sais que aucune démocratie interne, vous sucez le sang des travailleurs aucun mérite. Le sort de votre collègue de lunsass devrait te faire réfléchir que rien n'est éternel.
Nous qui cotisons disons il faut quitter. Tu peux pas rester á vie dans cette centrale syndicale.
Ils doivent sortie et laisser les jeunes. Il faut les forcer a le faire.
La patronat aussi.... C les memes têtes depuis Senghor
Mafia rek. Il s'accroche s'accroche á la CNTS depuis plus de 20 ans comme une sauve souris.
Normalement un retraite ne devrait p1s diriger un syndicat.
Respect Doyen Guiro, digne successeur de feu Madia Diop. Mais cependant Quid du renouvellement des CA et PCA au niveau des Institutions sociales CSS-IPRES. L'expérience doit conduire à la Vérité Juste. A votre respectable âge, vous ne devez plus couvrir les pratiques de Mal gouvernance au sein de ces Institutions. La Sécurité Sociale appartient au Peuple Sénégalais et aux travailleurs. Elle ne doit pas être confisquée par Une personne ou un groupe privilégié de personnes.
Le rapport des africains avec le pouvoir est un thème intéressant. On critique beaucoup les politiciens professionnels, mais les syndicalistes et la société civile sont pires. Tcham waay !
Fameux mody guiro, depuis ma commencé ragné ba tey aujourd'hui j ai 40 ans j entent ce nom, doyna
Ki du rouss. Il s'accroche depuis 40 ans la CNTS
Le senegalais a un problème avec le pouvoir. Dés qu'il est élue, il pense rester á vie
Va te reposer et va à la mosquée..il ne croit pas en Dieu.C'est pathétique
Honte à ces hommes qui s'accrochent à des privilèges, ils sont gracement payés au niveau des conseils d'administration de IPESS et CSS. Ils vivent comme des pachas avec les Check Off. Ils devaient prendre exemple sur les syndicalistes français qui après 2 mandats cèdent le fauteuil et disparaissent dans la vie civile. Bernard Thibault de la CGT, Laurent Berger ont tous quitté la direction des syndicats et fédération et on entend plus parler d'eux. Ici ce sont des syndicalistes à vie malgré leurs retraites en tant que travailleur depuis belle lurette.
Il fait pire que son mentor, feu Madia Diop. Lui au moins avait passé la flambeau après une éternité à la tête de la CNTS. Ces individus se servent de la démocratie mais ne la servent pas
Le flambeau
Son parrain et prédécesseur a occupé ce poste de SG jusqu’a sa mort, feu MADIA DIOP, paix a son âme
Paul biya à 92 ans brigue un 8eme mandat a la tête du cametoun
Sui de près par les president de guinee équatorial, du Congo Brazzaville, de l’ouganda et de l’Algérie.
On dirait que , en afrique les bon crû s’allongeant et se bonifient vers les 100 ans
Monsieur GUIRO doit céder la place aux autres.
Nous ne sommes pas dans une monarchie.
Tout citoyen peut parler de son départ. Par contre, beaucoup ne peuvent pas voter.
Il doit donner le Bon exemple en cédant La place a d autres.. Il faut respecter les autres.
S il ne fait pas de son propre gré, cela se fera un jour, peut être dans 40 ans.
Pourquoi les syndicalistes ne vont jamais à à retraite ? Ce sont les vieux charognards qui son aux affaires depuis Senghor et qui refusent de dégager le plancher et l’on s’étonne du chômage endémique de la jeunesse.Pourquoi aussi les jeunes acceptent d’être dirigés par des retraités à la solde du patronat ?
L’africain et le pouvoir c’est une longue histoire d’amour..Suivez mini regard Diomaye moy Sonko seul le simple slogan demeure encore
Allez le chasser...../enkuleur de guenon....
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