Assemblée nationale : Diomaye Faye accélère l’adoption de trois projets de loi
Le Président Bassirou Diomaye Faye a convoqué une deuxième session extraordinaire de l'Assemblée nationale pour ce lundi 15 septembre, afin de faire voter en urgence trois projets de loi majeurs. Ces textes, récemment adoptés en Conseil des ministres, concernent le projet de loi portant Code des investissements, la modification du Code général des impôts, et la révision de la loi instituant la redevance sur les télécommunications publiques (Rutel).
Selon Les Échos, cette décision a été prise pour ne pas avoir à attendre l’ouverture de la session ordinaire en octobre. Libération souligne de son côté que le recours à cette procédure d’urgence illustre la volonté du chef de l’État d’accélérer l’adoption de ces textes importants, le décrivant comme étant en mode « fast-track », en référence à la méthode utilisée par son prédécesseur, Macky Sall.
Commentaires (21)
C est inacceptable cette façon de faire de ce nouveau régime.
A défaut d avoir la science et les compétences pour mener à bon port ce pays, maintenant c est le forçage de mesures catastrophiques pour les sénégalais
Finalement la question q j m pose chaque fadiar sur ma natte de prière: Pourquoi ces gens qu on a élu, sur qui reposait bcp d espoir ; pourquoi ils nous méprisent tant ?
Le pays se noie dans une crise institutionnelle aussi silencieuse que létale, une gangrène qui travaille les fondations et dont les fruits pourris éclateront au grand jour dans cinquante ans.
Ce que l’on appelle encore « acquis » n’est déjà plus qu’une illusion, une poussière dorée dans les livres d’histoire, tandis que le présent s’acharne à effacer toute mémoire de grandeur.
La numérisation des activités économiques était ainsi bloquée au Sénégal pendant plus dix ans et l'opérateur principal en situation de monopole envisageait de s'élargir dans l'ensemble du Fintech la finance numérique: banking, Credits etc il voulait élargir son monopole sur l'ensemble de l'avenir de ce secteur de la finance digitale partant de sa position de force avec un total contrôle des infrastructures Hardware et des applications Software. Et c'est là que je parle de que "Nous l'avons échappé belle" n'eut été l'arrivé d'un dernier Larron WAVE qui nous a permis par ses frais à 1% de rentrer pleinement l'économie digitale. Aujourd'hui il devient de plus en plus un réflexe de paiement et d'autres activités de création d'emplois et de revenus sur les plateformes numérique se sont suivies
La finance numérique au Sénégal revient de loin sortie des mains d'une multinationale qui l'utilisait comme un moyen de pillage, L'ÉTAT DU SÉNÉGAL pour le bien commun et notre sécurité financière veut en des proportions acceptable en user pour équilibrer le budget national et le rendre moins vulnérable à l'emprunt et la dette, nous sommes à 100% en phase avec lui, ce qui était accepté pour une structure néocoloniale nous pouvons bien le faire pour notre Patrie.
Un vra minable ce type .
Attention précision importante , je parle du dirigeant de notre groupement et personne d autre ..
Faut que ça soit clair .
Lors de son briefing de presse hier, la Directrice du Département de la communication du Fonds monétaire international (FMI) a clairement indiqué que des points restent encore à éclaircir avant que son institution n’envisage un accord avec le Sénégal.
Offre 1
Entre le Sénégal et le FMI, les choses commencent à ressembler à de l’amour vache. À chaque voyage à Washington de notre tandem de l’Immeuble Peytavin, ou à chaque rencontre de nos dirigeants avec une mission du Fonds, l’opinion espère des nouvelles rassurantes sur la reprise prochaine d’un appui pour notre pays… et on déchante aussitôt. Le point de presse de Mme Julie Kozack, Directrice du Département de la communication du FMI, tenu hier, n’a pas dérogé à cette règle, rapporte Le Quotidien.
Interrogée sur les suites à attendre de la récente visite d’une mission du Fonds au Sénégal, Mme Kozack, tout en rappelant les grandes lignes publiées dans le communiqué du mardi 26 août de ladite mission, a expliqué que « d’autres mesures ont été discutées entre les autorités et la mission, et ces discussions doivent d’abord aboutir à une conclusion avant que le Conseil d’administration ne puisse songer à en finir avec la question des déclarations erronées ».
Pour l’essentiel, ces mesures en discussion devraient permettre, selon Mme Kozack, de restaurer la transparence fiscale et d’obtenir un rapport budgétaire fiable. Mais la patronne du Département de la communication n’a donné aucune précision sur une éventuelle échéance, ni indiqué si les pourparlers étaient en bonne voie ou non. Comme le rappelle Le Quotidien, en juillet dernier, elle avait déjà laissé entendre que le Fonds devait d’abord étudier le rapport Forvis Mazars sur l’ampleur de la dette du pays avant de se prononcer. Ce rapport, une fois reçu, n’a pas fait l’objet de commentaire public défavorable.
Néanmoins, il semble que les équipes du FMI ne soient pas pressées d’aboutir à une conclusion dans cette affaire qui suspend toujours les relations du Sénégal avec ses partenaires multilatéraux. Mme Kozack a eu beau réaffirmer hier que l’objectif de son institution est « d’aider le Sénégal à retrouver sa transparence et sa crédibilité, afin de regagner la confiance du public », les inquiétudes demeurent
Participer à la Discussion