Arrestation de Maimouna Ndour Faye et de Babacar Fall : Moundiaye Cissé dénonce des mesures arbitraires
Le directeur exécutif de l’ONG 3D, Moundiaye Cissé, s’est indigné de l'arrestation de Maimouna Ndour Faye et de Babacar Fall, deux journalistes actuellement en garde à vue.
Dans un post sur X, il a qualifié ces interpellations d’"arbitraires et préoccupantes", estimant qu’elles constituent une atteinte grave à la liberté de la presse au Sénégal.
« Depuis quand est-il interdit à un journaliste d’interroger un citoyen, présumé innocent jusqu’à preuve du contraire ? », s’interroge Moundiaye Cissé, rappelant que la liberté de la presse et le respect de la présomption d’innocence sont des piliers essentiels d’un État de droit.
Le responsable de la société civile appelle à la libération immédiate des deux journalistes et invite les autorités à faire preuve de sérénité et de retenue, afin de préserver la cohésion nationale et de rétablir la confiance entre les institutions, les médias et les citoyens.
Commentaires (52)
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d’adopter une vision du monde simpliste et manichéenne,
d’ignorer la séparation des pouvoirs, de basculer facilement
dans l’autoritarisme, de professer la haine des élites,
de fustiger la démocratie et de confier à un leader
tout-puissant l’incarnation de la souveraineté populaire
fin de reigne
JUSTE PARCE QU’ON A TOUCHE À SON COPAIN YOUSSOU NDOUR,IL OSE L’OUVRIR.
IL FAUT AUSSI ÉTUDIER SON RÔLE DANS LES MARCHÉS DOUTEUX À L’ASER.
Alioune Tine soutient ceux qui insultent sonko mais menace de plainte dès le 1er commentaire désagréable, Boubacar Ba l’ouvre aujourd’hui alors qu’il l’a toujours fermé toutes ces années d’assassinat des jeunes et Moundiaye Cissé qui l’ouvre alors qu’il n’a jamais ouvert sa gueule pendant qu’on tuait et que les medais de son copain passaient des dessins animés pendant ce temps.
Mais peine perdue, ce pays a changé et pour de bon.... Les vieux roublards ayant ruiné ce pays n'y peuvent rien, soit trop vieux, soit chroniquement malade de pathologies incurables maname, ils ont un pied dans la tombe et veulent continuer à nous sucer tok mouy dokh diekhna. Force aux jeunes vertueux de ce pays gathie gnalama notre jeunesse, le combat continue, peu importe d'où viennent les complots et coups montés faire face et rester intraitable c'est le seul Salut pour redresser ce pays. Wasalam
L'article 5 combiné avec l'article 57 du Code de la presse qui interdit à un journaliste d'interviewer une personne qui est sous le coup d'un mandat d'arrêt international. "L'article 5 du Code de la presse dispose carrément que le secret de l'instruction ne doit pas être violé par le journaliste. L'article 57 dit qu'il y a dans ce cas trouble à l'ordre public. Madiambal est un fugitif. Il est sous le coup d'un mandat d'arrêt international et est recherché par la justice sénégalaise. Donc, le journaliste qui l'interviewe viole les dispositions des articles 5 et 57 combinés du Code de la presse".
On ne fait qu'appliquer la loi, parce qu'il est interdit à un journaliste de faire une émission avec une personne qui est recherchée par la justice, sans pourtant demander la permission express aux autorités judiciaires sur la nature de l'émission, son objectif et le contenu envisagé.
I
Avant de critiquer, renseigne-toi un minimum. Tous ceux qui le connaissent savent qu’il n’a jamais couru derrière le luxe ni les privilèges. Ce genre d’homme dérange parce qu’il est vrai, tout simplement.
Avant de critiquer, renseigne-toi un minimum. Tous ceux qui le connaissent savent qu’il n’a jamais couru derrière le luxe ni les privilèges. Ce genre d’homme dérange parce qu’il est vrai, tout simplement.
Le luxe dont tu parles, c’est peut-être celui de la dignité et du travail bien fait. Parce que lui, au moins, il a une vision, une conscience et une réputation bâtie sur l’honnêteté. Alors avant de juger, commence par faire le quart de ce qu’il a fait pour ce pays.
Le luxe, c’est peut-être celui d’avoir une réputation propre, ce que beaucoup ne peuvent pas se permettre !
Parler de « crise d’autorité » alors que l’on défend des dérives, c’est justement prouver qu’on confond respect et soumission. La liberté d’expression, c’est aussi le droit de questionner, de dénoncer et de ne pas être d’accord, sans être traité d’ennemi ou de traître.
L’histoire ne retiendra pas ceux qui ont crié le plus fort, mais ceux qui ont su garder la tête froide quand tout le monde s’agenouillait.
Il est facile de critiquer sans connaître. L’ONG de Moundiaye Cissé existe par conviction, pas par dépendance. Son sérieux, sa rigueur et son indépendance dérangent, c’est tout. Pendant que d’autres courent derrière les financements de l’État, lui reste fidèle à ses principes. Voilà la vraie différence.
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- depuis quand on arrête la femme et les enfants d'un homme recherché par la justice ?
- pourquoi cette justice arrête la famille de Madiambale Diagne alors qu'elle ne l'avait pas pour la famille de Ousmane Sonko quand il a fuit à Ziguinchor?
- pourquoi cette justice arrête Maïmouna Ndour Faye et Babacar Faye alors qu'elle ne l'avait pas pour Pierre Edouard Faye quand il était parti interviewé Sonko à Ziguinchor?
C'est triste et dommage. La dictature rempante est en marche au Sénégal et Diomaye a intérêt à surveiller ses arrières.
Ne vous fatiguez pas avec Trump la plupart des ONG vont mourir de leur belle mort et il restera très peu d' ÔNG capables de s'auto financer sans compter sur les fonds étrangers.
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