Al Mahdi a tout le temps considéré l'éducation religieuse comme une arme. La seule qui vaille. A tel point que les colons se sont finalement rendu compte qu'il ne saurait provoquer une quelconque insurrection. Contrairement à ce qui a été dit.
Auparavant, il a eu à séjourner à Beer (Gorée, désormais) Ngadiaga (Malika) et Ndingala (derrière la Cité Fadia) suite à la persécution des colonisateurs. Ce, avant de faire de ces lieux des oasis.
D'où, le pèlerinage de Ngadiaga, dans la commune de Malika. Lequel est le deuxième plus grand évènement des layènes après l'Appel plus connu sous le nom d'Adjibo Dahiya Lahi.
En effet, le premier site lui a servi de lieu de refuge, là où le second a été un site d'hébergement des fidèles de Mame Limamou Lahi ainsi que des Djins qui avaient répondu à son Appel. Gorée, également commémore le Madhi chaque année.
À Ndingala se trouve un puits dont l'eau douce possède de multiples vertus thérapeutiques. Toutefois, le fils de Mame Alassane Lahi, Abdoulahi Thiaw Lahi a dévoilé dans cette vidéo la différence de ce puits avec celui de Diamalaye.
Commentaires (3)
Mandou lenn
Nous aimerions avoir pour quels services rendus à la France coloniale, le marabout au turban porte-t-il si fièrement ces cinq médailles ? Ce n'est pas si difficile de nous dire cela !
Les tarîqa sont les négations même de l'islam
l'islam condamne la soumission complète des talibés aux marabouts, leur attitude passive, leur liberté aliénée comme des bêtes, négligeant complètement les préinscriptions de l'islam
qadriya, tidjiane ( plus ancien), mourides, layène tous d'obédiance soufi se sont développés au Sénégal vers le 18 siècle c'était un peu la mode pas plus.
Ahmadou Bamba meme avant de créer le mouridisme avait déjà embrasser le qadriya et le tidjiania, tout ça relève de la logique de lislam soufi, ( ascèse, méditation, privation chant, poésie, extase pour arriver à un état d'extintion de fusion avec Dieu), tout ces guides ont pris des wirds, ou en ont créé et on mis en place une confrérie ( tariqa)
Aujourd"hui les gens les suivent aveuglément sans essayé meme de sinformer sur leurs origines.
Ceux qui l'ont créé peuvent avoir tout de meme un crédit ( bou kouta, serigne touba, mame maodo, limamoulaye etc), par contre ceux qui sont ici aujourd'hui et la plus part de leurs décendants sont des profitards, des vagabonds, ne sont rien du tout, mais tant pis pour les cancres de talibé quils exploitent
qadriya, tidjiane ( plus ancien), mourides, layène tous d'obédience soufi se sont développés au Sénégal vers le 18 siècle c'était un peu la mode pas plus.
Ahmadou Bamba meme avant de créer le mouridisme avait déjà embrasser le qadriya et le tidjiania, tout ça relève de la logique de l'Islam soufi, ( ascèse, méditation, privation chant, poésie, extase pour arriver à un état d'extinction de fusion avec Dieu), tout ces guides ont pris des wirds, ou en ont créé et on mis en place une confrérie ( tariqa)
Aujourd'hui les gens les suivent aveuglément sans essayé même de s'informer sur leurs origines.
Ceux qui l'ont créé peuvent avoir tout de même un crédit ( bou kouta, serigne touba, mame maodo, limamoulaye etc), par contre ceux qui sont ici aujourd'hui et la plus part de leurs descendants sont des profiteurs, des opportunistes des vagabonds, ne sont rien du tout, mais tant pis pour les cancres de talibé qu'ils exploitent, ces eux qui foutent rien qui baisent les belles femmes conduisent les belles voitures habitent les beaux immeubles, sans travailler grâce a ses cancres qui parait il espèrent gagner le paradis après.
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