L'audition du député Farba Ngom, prévue le jeudi 27 février 2025, risque de se dérouler sous une forte tension.
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L'audition du député Farba Ngom, prévue le jeudi 27 février 2025, risque de se dérouler sous une forte tension.
Un suspect a été inculpé lundi au lendemain de la tentative d'assassinat présumée sur Donald Trump.
Les avocats du leader de l’ex parti Pastef sont visiblement contrariés par le refus de la Direction Générale des Élections (DGE)
Vendredi, Le groupe Bolloré a remporté une première bataille dans une affaire intentée contre lui par 145 Camerounais, qui...
Nommé Agent judicaire de l’État, des membres du conseil municipal dénoncent un conflit d’intérêts.
Le Président de la République, son Excellence Macky SALL a réuni le conseil des ministres ce Mercredi 04 Novembre 2020 au Palais de la République.
Nommé Agent judicaire de l’État, des membres du conseil municipal dénoncent un conflit d’intérêts.
Contrairement à l’avocat de l’ex-maire de la ville de Dakar qui apprécie le rapport de l’Union interparlementaire (Uip) sur l’affaire Khalifa Sall, Me Ousmane Sèye a déchiré le document.
Au procès en appel de Khalifa Sall et Cie, les parties ne se sont pas fait de cadeau.
La présence de l'avocat du Sénégal dans le procès en appel de la caisse d'avance de la mairie de Dakar indispose les avocats de la défense.
La bataille de procédure entre défense et accusation dans le procès de Khalifa Sall et de ses co-accusés pour un présumé "détournement de fonds" portant sur 1,8 milliard de francs CFA dans l’affaire dite de la "Caisse d’avance" de la mairie de Dakar est le principal sujet abordé par les quotidiens reçus jeudi à l’APS. "Le procès (de Khalifa Sall) s’enlise dans la bataille de procédure" sur la recevabilité ou non de la constitution de partie civile de l’Etat et de la Ville de Dakar, remarque Vox Populi qui note que le procureur, l’Agent judiciaire de l’Etat et les avocats de l’Etat "se frottent à la défense".
L’affaire des marchés fictifs au ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement, les relations entre Dakar et Tel-Aviv, la crise postélectorale en Gambie sont les sujets en exergue dans les journaux reçus mercredi à l’APS.
Le gouvernement du Sénégal a finalement décidé de décaisser la somme de 300 millions pour dédommager les travailleurs des agences dissoutes. La décision a été prise à l'issue de la rencontre tenue ce mardi en présence du ministre des Finances, Amadou Bâ, du ministre du Budget, Birima Mangara, de l’Agent judicaire de l’Etat, Antoine Diome, du Coordonnateur du Trésor, Abdoulaye Samb, du Directeur général des finances, Mouhamadou Moustapha Bâ, des 4 représentants du «Collectif des ex-travailleurs des agences dissoutes» (Ablaye Ciss, Ousmane Kâ, Madia Séne et Moctar Dabo) ainsi que du facilitateur, Mame Mactar Guèye de Jamra.
Dans ses réponses aux interpellations de Wade, le Premier ministre avait publié les documents de l’accord entre l’Etat du Sénégal et Mittal en nettoyant volontairement des noms des avocats. Au départ, Me Rasseck Bourgi et Sébastien Bonnard défendaient les intérêts de Dakar avant de céder la place à François Meyer qui a finalisé l’opération. Et l’argent aurait été versé dans son compte. Alors que Mes Bonnard et Bourgi avaient chiffré à plus de 2000 milliards de F Cfa le préjudice subi, Dakar s’est contentée de 72 milliards. Et ça fait rager Wade.
La volonté des autorités sénégalaises de maintenir l’interdiction de sortie du territoire national notifiée à des dignitaires de l’ex-parti au au pouvoir, malgré la décision de la Cour de justice de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) ordonnant à l'Etat de lever cette mesure, est largement abordée lundi par les journaux.
L’agent judicaire de l’Etat sénégalais, Aïcha Gassama Tall, a annoncé samedi que les responsables de l’ancien régime suspectés d’enrichissement illicite se verront formellement notifier ‘’très rapidement’’ une interdiction de sortie du territoire national, une mesure en bonne et due forme prenant en compte les arguments d’une décision rendue à ce sujet par la Haute cour de justice de la CEDEAO, que les concernés jugent en leur faveur.
Les prochains jours seront surchargés pour les députés. Car, ils auront à adopter ou rejeter huit projets de loi dont les plus inédits restent la création de Chambres africaines extraordinaires ainsi que leurs statuts au sein des juridictions sénégalaises pour juger des crimes commis au Tchad entre 1982 et 1990. Bref, le procès de Hissène Habré se précise de plus en plus au Sénégal.
"Donnez-moi dix hommes et je tiens l'Etat", disait Napoléon. Ils sont dix hommes et femmes à avoir une confiance totale de leur chef et à être, de jour comme de nuit, consultés régulièrement. Incontournables dans le processus décisionnel de Macky Sall, le Pays au Quotidien a percé leur mystère.
Dire que le Sénégal est un «Etat de torture» n’est pas exagéré partant de ce qui se passe dans les lieux de privations de liberté, avec les méthodes utilisées par les officiers de police judicaire pour extorquer des preuves. Les défenseurs des droits de l’homme sont catégoriques. Durant les 10 dernières années, on assiste à une récurrence de la pratique des mauvais traitements dans les commissariats et brigades avec à la clé, plus d’une dizaine de morts.
Dans les confidences de ma regrettée grand-mère Mbayame, j’appris dès ma prime enfance l’histoire des noms des villages lébous qui entouraient Dakar ; Ndakaaru, « Dëkk, raw » ; espace de liberté et de refuge des victimes de la tyrannie des rois du Sénégal durant trois siècles.