Itinéraires et réflexions d’un enfant du Walo
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Itinéraires et réflexions d’un enfant du Walo
À moins d’un an de l’élection présidentielle au Sénégal, la pratique de la transhumance politique semble atteindre des propensions, à la limite, inquiétantes. De l’avis du professeur en Science politique à l’Ugb, Amadou Kah, le Sénégal fait face à que l’on appelle « blanchiment de légitimité», d’autant plus que ceux qui ont été sanctionnés par le peuple se font recycler par le régime en place. Toutefois, le professeur soutient, sans ambages, que cette pratique n’a jamais été payante par leurs auteurs, tout comme pour ceux qui l’encouragent.
Le tollé constaté après la formation du gouvernement n’est pas un phénomène nouveau dans l’espace politique sénégalais. Pour l’Enseignant-chercheur à l’Université Gaston Berger (Ugb) de Saint Louis, Amadou Kah, c’est en partie un manque d’autorité de la part des chefs d’Etat, notamment Abdoulaye Wade et Macky Sall, qui expliquerait la récurrence de certaines contestations, à chaque remaniement ministériel. Tirant la sonnette d’alarme, le Pr Kah trouve qu’il faut que les gens sachent raison garder, afin d’éviter certaines revendications qui peuvent porter préjudice au pays.
La première alternance réalisée en 2000 et tant souhaitée par les Sénégalais s’est vite émoussée à l’épreuve des pratiques politiques désuètes et dévastatrices pour les maigres ressources publiques.
« Les forces de Gauche ont encore un rôle important à jouer dans le combat pour la défense des moins nantis. » C’est la conviction d’Amadou Kah, enseignant-chercheur à l’Ugb et auteur du livre
Le peu d’engouement des électeurs sénégalais à aller voter doit être analysé comme "la conséquence" d’un déficit de qualité de la classe politique nationale, a estimé le professeur Amadou Kah, enseignant-chercheur à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, dans un entretien au quotidien Le Populaire.
Professeur de Droit public à l'Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis et spécialiste des questions de décentralisation, le professeur Amadou Kah pense que la mise en oeuvre de l'acte 3 de la décentralisation ne serait pas nécessaire.C'est en effet dans un entretien qu'il a accordé à nos confrères de Libération que le Professeur Kah a déclaré que « La réforme c'est bien, mais il serait plus important de faire connaître aux acteurs locaux, les contours fondamentaux de cette réforme.»
L’universitaire Amadou Kah, auteur de «Désir de République», commente, dans l’entretien qu’il nous a accordé, hier, la composition du premier gouvernement du président élu, Macky Sall. A en croire M. Kah, «c’est une sorte de gouvernement d’équilibre de la terreur». Entre autres observations, l’analyste politique estime que «Wade doit avoir le courage d’une autre vie et libérer l’espace public».
Tête bien faite sur un corps d’athlète qui se moule aussi bien dans un costume européen que dans un boubou africain comme dans un gant, M. Amadou Mahtar Ba est le directeur général de l’Initiative pour les Médias d’Afrique (AMI, sigle en anglais).
LERAL.NET - La liste publiée par New African, ne suit aucun ordre en particulier mais classe les africains les plus influents par catégories politique, religion science etc.
Omar Mbodj, chargé des revendications, Amadou Kah, chargé des questions juridiques et extérieures, Mamadou Woury Sall, pour les revendications, tous du Syndicat autonomes des enseignants du supérieur (Saes), section Saint-Louis, font partie de ceux qui combattent depuis des années pour exiger la réforme des grades à l’Université Gaston Berger (Ugb). Ils avaient, face au dilatoire des autorités et à des rendez-vous plusieurs fois manqués de la part de celles-ci, décidé de ne plus assurer des cours magistraux pour s’en limiter aux strictes obligations de la loi.